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c'est une question qui me gêne souvent. j'espère trouver une réponse.

2007-03-22 11:29:43 · 7 réponses · demandé par Anonymous dans Arts et sciences humaines Philosophie

7 réponses

Si tu veux mon avis : le mieux c'est de ne pas se poser la question et simplement de suivre ton destin et d'apprécier ce qu'elle te donne de bon et il y a plein de choses à apprécier si on ouvre les yeux et qu'on sait regarder ou écouter. Le mauvais, il faut essayer de l'oublier.

2007-03-22 19:47:07 · answer #1 · answered by mimi 5 · 0 0

à toi de tout faire pour qu'elle en vaille la peine...

2007-03-22 11:39:34 · answer #2 · answered by maeva 7 · 1 0

et elle a intérêt de te gêner, you bet ! oui chérie et comment !

c'est surement la question la plus intelligente qui a été posée jusqu'ici et il y a forcément mille et une possibilités d'y répondre. toutes seront vraies pour ceux qui aiment la vérité, toutes seront fausses pour ceux qui ne l'aiment pas, ainsi voyons-nous lesquels s'enrichissent et lesquels non.

Je sais bien ces moments où les mensonges sont tellement opressants que la colère qui en résulte est pratiquement insupportable, mais celà ne change pas une seconde qu'aucune seconde ne nous appartient, nous la vivons et celà implique qu'elle est toute pour chacun de nous. De ce dialogue constant, qui dépasse largement et absolument la fourmilière des hommes, est issue la conscience et tout ce que tu vis apporte son lot d'expérience unique, qu'il soit heureux ou malheureux. Malheureusement, on aurait envie de dire, parce que ce jeu duel nous empêche de voir l'unité du vivant tant qu'on persiste à séparer au lieu d'unir.

Mais nous apprenons, nous sommes braves, nous voulons tous améliorer ce qui est parfait... nous sommes donc fous et constatons que cette manière de véhiculer l'esprit dénature le monde, le déséquilibre et les créatures meurent aussi de souffrances, d'abandon, elles ne sont pas des créatures d'écran et tout celà nous alourdit de tous les cris qu'on ressent dans le monde. Mais au fond de nous, nous ne sommes même pas, un vide prodigieux qui est tellement vaste qu'il peut accueillir en son sein toute la grandeur et la folie de l'esprit, inimaginable. Et la seule chose qui nous permet de ne pas se perdre irrémédiablement dans la gueule de Shiva c'est d'accepter que nous ne pouvons vaincre ce qui non-seulement ne nous agresse pas, mais nous porte infiniment comme nous portons souvent ce qui nous a agressé, comme un poids qu'on recevrait sans l'avoir demandé, un bagage plein de parfums.
. Mais tout ce que nous vivons, quels que soient nos choix se trouvent allégés si nous pouvons, quelque part en nous, donner un nom à ce qui justement n'en avait pas avant d'être soi-même, mais que nous savons sans le nommer et celà dans la plus grande crainte: nous ne comprenons rien, quoi que nous fassions, nous peinons de voir comme nous sommes portés, mais c'est le cas et si nous accordons aux autres la possibilité de se montrer sous leur meilleur jour, le meilleur jour est vite là. Voici, tous nos rêves sont vifs et trop nombreux, accepter un cadre est une nécessité pour trouver de la liberté, mais ce cadre on doit le dessiner soi-même car trop de cadres sont vraiment trop étroits. Il ne tient qu'à nous-mêmes de les agrandir ou de changer nos rêves. Mais il est absolument essentiel de se rendre compte que tout ce que nous vivons provient de la manière dont nous le regardons. Je sais aussi que ce que je dis est déjà entendu, mais le vivre signifie, au-delà de le comprendre, toutes les vies que le vivant engendre et dont nous sommes inséparables.

2007-03-22 12:58:04 · answer #3 · answered by bubbledom 6 · 0 0

Tiré du journal intime de Etty Hillesum :

"Je trouve la vie belle et je me sens libre. En moi des cieux se déploient aussi vastes que le firmament.
La vie est difficile mais ce n'est pas grave.
Je suis une femme heureuse et je chante les louanges de cette vie, oui, vous avez bien lu, en l'an de grâce 1942, la énième année de guerre."

"Bon, on veut notre extermination complète : cette certitude nouvelle, je l'accepte. Je le sais maintenant.
Mais je travaille et je vis avec la même conviction et je trouve la vie pleine de sens, oui, pleine de sens malgré tout, même si j'ose à peine le dire en société."

"Je suis intérieurement si légère, si parfaitement exempte de rancoeur, j'ai tant de force et d'amour en moi. J'aimerais tant vivre, contribuer à préparer les temps nouveaux, leur transmettre cette part indestructible de moi-même ; car ils viendront, certainement. Ne se lèvent-ils pas déjà en moi jour après jour ?"

2007-03-22 12:39:49 · answer #4 · answered by troubadour 2 · 0 0

ooooohhh que oui !!!!

Ne te poses surtout pas la question. La réponse est claire. Et dis toi que la vie est courte, alors profites-en.

2007-03-22 12:30:24 · answer #5 · answered by abal 1 · 0 0

vaste question!! mais oui! la vie vaut toujours la peine d'être vécue!!! l'amour, la musique, les potes, la famille, les rires, les engueulades, les moments de découragements les gens chiants, les sympas, le soleil, la pluie, le vent, les gosse... ne te pose plus la question et vit!! bonne route!

2007-03-22 12:11:36 · answer #6 · answered by saray 4 · 0 0

1) La vie n'a pas de sens, elle n'a que des interdits... à transgresser, évidemment. Comme ça, on passe de l'autre côté du miroir... et on jouit de la Vie. Et, de toutes façons :

2) On n'échappe pas à son Destin

2007-03-22 12:09:01 · answer #7 · answered by Klag 6 · 0 1

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