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François bayrou et son double
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-823448,36-885485@51-825418,0html

2007-03-20 06:57:30 · 12 réponses · demandé par joke 4 dans Politique et gouvernement Élections

12 réponses

voici le bon lien :
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-823448,36-885485@51-825418,0.html

ouf ... je sauve les meubles ...

bayrou est un loup en politique et un agneau dans une église !

l'article en résumé : bayrou est un très intelligent glandeur bordélique qui a beaucoup d'ambition ....

2007-03-20 07:17:23 · answer #1 · answered by Anonymous · 2 0

le tartuffe serait-il démasqué ? Ce ne serait pas trop tôt....

2007-03-20 14:37:47 · answer #2 · answered by festival 1 · 1 0

Le Monde ne l'aime pas?
la belle affaire, grande surprise !!!

2007-03-20 14:01:37 · answer #3 · answered by Philippe B 6 · 1 0

lien mort

2007-03-20 14:01:22 · answer #4 · answered by Anonymous · 1 0

Page inexistante

2007-03-20 14:01:06 · answer #5 · answered by Al91 7 · 1 0

Rien.

2007-03-20 14:00:57 · answer #6 · answered by stoll36 6 · 1 0

Pour ceux qui ne trouveraient pas la page, la voici ci-dessous.
_________________
François Bayrou et son double
LE MONDE | 20.03.07 | 14h04 • Mis à jour le 20.03.07
| 14h04

"Compte trop sur ses dispositions naturelles"
(Bulletins scolaires)
La remarque est revenue souvent dans la bouche de ses
professeurs. C'est ensuite ce que ses amis lui ont
répété. Enfant, le jeune François Bayrou était bègue,
mais il discourait tout de même au point d'être appelé
ironiquement "l'orateur". Doué, convaincant, il est
pourtant longtemps passé pour un parfait dilettante.
Parfois même, il semble tenir le travail pour une
mauvaise manie. "Pendant des années, il n'a pas bossé,
témoigne Pierre-Christophe Baguet, député UDF qui
soutient aujourd'hui Nicolas Sarkozy, mais son culot,
sa culture lui permettaient de s'en sortir." On l'a vu
dîner tard, avec sa bande, dans des bistrots au coeur
de Paris ; jouer au tarot jusque tard dans la nuit ;
écrire ses discours aux petites heures du matin dopé à
l'adrénaline de l'improvisation. Deux ou trois fois,
il a effacé par inadvertance le texte qu'il venait de
rédiger sur son ordinateur, a dû monter à la tribune
les mains dans les poches... et s'en est sorti.


"C'est un bordélique", reconnaissent ses amis. Il
débarque systématiquement en retard à ses rendez-vous,
ne s'excuse pas et peut même vous engueuler. Marielle
de Sarnez, sa principale conseillère, a pourtant
considérablement réorganisé son équipe, parfois en
tranchant dans le vif et en se faisant beaucoup
d'ennemis. Mais François Bayrou a fait sienne la
devise d'Henri IV, dont il écrivit la biographie : "Ce
qui doit arriver ne peut pas manquer."

"Un jour, il pétera de vanité" (Jacques Chirac)

Il se juge beau, séduisant, intelligent, formidable
stratège. Les élus, les journalistes, ses amis, ses
adversaires en savent quelque chose : François Bayrou
a parfois la tête comme une montgolfière. Il a
longtemps assuré : "Je suis le nouveau Mitterrand."
Lorsqu'il obtint le secrétariat général de l'UDF,
alors présidée par Valéry Giscard d'Estaing, il
expliqua tranquillement devant tout le bureau
politique du CDS : "Giscard a trouvé en moi quelqu'un
à sa mesure." Au moment où le premier ministre anglais
était la coqueluche de la droite, il répétait partout
: "J'ai un avantage sur tous les autres : je ressemble
physiquement à Tony Blair." On l'a vu admirer
longuement sa photo dans des magazines, en soulignant
: "J'ai un regard profond." A la journaliste sportive
Estelle Denis qui lui demandait il y a quelques
semaines ce que sa femme préférait en lui, il a
répondu sans sourciller "ma virilité". Jacques Chirac,
qui en a beaucoup ri, s'en est aussi très souvent
agacé : "Un jour, il pétera de vanité."

Une chose est sûre : le candidat UDF s'est toujours vu
en haut de l'affiche. Son ami le député des
Pyrénées-Atlantiques Jean Lassalle l'entendit
expliquer en 1983, alors qu'ils n'étaient tous deux
que conseillers généraux : "Dans trois ans, je serai
député. Ensuite, je serai un ministre important." Dans
les années 1990, tous ceux qui l'ont côtoyé l'ont vu
dresser ses plans : "Je me présente en 2002, je fais
un score à deux chiffres en 2007, je suis élu en
2012." A sa biographe, Violaine Gelly, il expliquait
en 1996 : "Entre ce que j'étais et ce que je suis, il
y a moins qu'entre ce que je suis et le sommet."
Bernard Bosson, qui fut son rival malheureux chez les
centristes et le soutient aujourd'hui, assure pourtant
gentiment : "Son immodestie a considérablement
diminué."

"Dans les moments de choix, il se confie à Dieu" (Un
ami)

Longtemps, chaque 15 août, la famille Bayrou a fait à
pied le pèlerinage qui mène de Bordères, son berceau
béarnais, jusqu'à Lourdes. Etudiant, le jeune François
a consacré son mémoire de maîtrise au Mystère de la
charité de Jeanne d'Arc, de Charles Péguy. Nommé pour
la première fois ministre en 1993, il donna une fête à
Bordères, précédée d'une messe. L'église est attenante
à la maison, ses vitraux ont été rénovés en partie sur
ses deniers. "Dans les moments de choix, il se confie
à Dieu", assure l'un de ses amis. Bayrou a
indéniablement la foi. Pratiquant régulier, il assure
ne "fréquenter que le côté sombre de la paroisse",
mais les Ecritures lui sont un secours. Le 11
septembre 2001, il répéta vingt fois à son équipe :
"C'est l'Apocalypse !", avant de mettre sa campagne
présidentielle entre parenthèses, persuadé que plus
rien n'avait d'importance. S'il a appris à distinguer
la foi du militantisme politique, ce ne fut pourtant
pas sans mal. En 1990, il explique lors d'une
convention centriste : "Mon engagement chrétien est
plus important que mon engagement politique. Et je ne
tiens pas à ce qu'ils se mélangent."

Pour l'avoir oublié, il connaît trois ans plus tard
son plus gros échec gouvernemental. Nommé ministre de
l'éducation nationale par Edouard Balladur, il
entreprend de réviser la loi Falloux pour permettre le
financement public des dépenses d'investissement des
écoles privées. Valéry Giscard d'Estaing l'a pourtant
prévenu : "Méfiez-vous, c'est une bombe." François
Bayrou réplique avec superbe : "Il y aura 200 000
personnes dans la rue." Près de 1 million de
manifestants défilent le 16 janvier 1994 pour la
défense de l'école de la République. Les catholiques
le soutiennent du bout des lèvres, le cardinal
Decourtray regrette tout haut qu'il ait rallumé "la
guerre scolaire". A sa biographe, Bayrou lâchera : "Il
faut beaucoup aimer le bon Dieu pour supporter les
curés."

"Etre étiqueté démocrate-chrétien vous empêche d'être
entendu" (François Bayrou aux cadres du CDS)

La leçon sera retenue. C'est lui qui va entreprendre
la déconfessionnalisation du Centre des démocrates
sociaux (CDS). En 1995, il explique devant les patrons
de fédération du petit parti centriste : "Etre
uniquement étiqueté démocrate-chrétien vous empêche
d'être entendu. Parce que, dans la société française,
il y a une séparation entre les ordres, tradition que
pour ma part je trouve heureuse et approuve. Nous
allons être le mouvement des humanistes, chacun avec
sa tradition." Lorsqu'il marie le PSD, Parti
social-démocrate, mouvement laïque largement fourni en
francs-maçons, et le CDS, André Santini s'amuse : "Le
triangle est tombé dans le bénitier." Dix ans plus
tard, François Bayrou se bat contre une partie de
l'Eglise pour que la Constitution européenne ne fasse
pas référence aux racines chrétiennes de l'Europe.


_________________________________________________

2007-03-20 14:20:28 · answer #7 · answered by coco 3 · 0 0

Page inexistante.
De qui ou de quoi cela parlait?

2007-03-20 14:09:40 · answer #8 · answered by Anonymous · 0 0

Francois a déménagé...

2007-03-20 14:04:44 · answer #9 · answered by KIKI 93 6 · 0 0

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2007-03-20 14:02:06 · answer #10 · answered by Anonymous · 1 1

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