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2007-03-20 01:40:17 · 7 réponses · demandé par 100zanfazay style 2 dans Arts et sciences humaines Histoire

7 réponses

si je me rappelle bien, il devait y avoir l'Ouganda, Madagascar ou l'Argentine comme pays proposés afin d'établir un « foyer national juif ». Ce n'était pas après la guerre, mais bien avant. À partir des années 30, le sionisme ayant renforcé l'immigration juive en Palestine, il est clair que l'on ne pouvait proposer d'autres solutions sans se mettre automatiquement à dos toute la communauté sioniste. Ils ont pratiqué cette politique qui leur a si bien réussi : le fait accompli.

2007-03-20 05:35:25 · answer #1 · answered by Anonymous · 3 1

Je crois qu'il y avait une colonie française, que de Gaulle a refusé; laquelle ? (Madagascar?)

2007-03-20 01:51:47 · answer #2 · answered by Ghislain 4 · 1 0

il y avait Madagascar mais ils sont malin pour soit disant leur religion détournée par 1000 et 1 rabbins ils ot choisi la meilleur terre car en Palestine la terre est fertile et c'est un beau pays

2007-03-20 01:47:45 · answer #3 · answered by Le Gitan 5 · 1 1

Je sais que Hitler pensait à Madagascar. Mais c'était bien avant la deuxième guerre mondiale. Pour le reste, aprés la guerre, je ne vois que la Palestine!

2007-03-20 23:40:00 · answer #4 · answered by jack 4 · 0 1

la question est intéressante. il faudrait la prolonger en évoquant les raisons de la création de l'Etat d'Israel et les positions des "grandes puissances", notamment celles de l'URSS et des E-U.
la longue réponse est bien documentée sur le processus et le mérite de la question a été de la susciter.

2007-03-20 07:24:56 · answer #5 · answered by Anonymous · 0 1

Il y a des juifs africains qui pratiquent leur foi tout le long de la côte est de l'Afrique et ce jusqu'à L'Afrique du Sud.

2007-03-20 05:43:15 · answer #6 · answered by gerard e 4 · 0 1

Le 29 novembre 1947, le plan de partage de la Palestine (ou plus exactement de ce qui restait de la Palestine, une partie ayant déjà été séparée afin de constituer la Transjordanie) élaboré par l'UNSCOP est approuvé par l'Assemblée Générale de l'ONU, à New York (résolution 181 de l'assemblée générale). Ce plan, destiné à résoudre le conflit entre Juifs et Arabes à propos du mandat britannique sur la Palestine, propose le partage de ce territoire entre deux États, l'un juif, l'autre arabe, avec Jérusalem sous contrôle international. Le refus de ce plan par les pays arabes ainsi que la détérioration des relations entre juifs et arabes en Palestine conduit à la Guerre israélo-arabe de 1948.

Les Nations unies, qui ont succédé à la Société des Nations, tentèrent de résoudre le conflit entre Juifs et Arabes à propos du devenir du mandat britannique.

En février 1947, le gouvernement Britannique de Clement Attlee, ne parvenant plus à maintenir l'ordre en Palestine, décida de remettre son mandat aux nations Unies.

L'ONU désigna le 13 mai 1947 les membres d'un comité, l'UNSCOP (United Nations Special Committee on Palestine), composé de représentants de 11 états (Australie, Canada, Guatemala, Inde, Iran, Pays-Bas, Pérou, Suède, Tchécoslovaquie, Uruguay, Yougoslavie.) Dans un souci de neutralité, aucune des grandes puissances de l'époque ne fut représentée.

L'UNSCOP considéra deux options. La première était la création d'États juif et arabe indépendants, avec la ville de Jérusalem placée sous contrôle international. La seconde consistait en la création d'un seul État fédéral, contenant à la fois un État juif et un État arabe.

À la majorité, l'UNSCOP adopta la première solution, bien que plusieurs membres se fussent prononcés en faveur de la seconde option ; l'Australie quant à elle, ne put se décider entre ces deux propositions. L'Assemblée générale des Nations unies accepta à une large majorité la proposition de l'UNSCOP, mais apporta quelques modifications au tracé des frontières séparant les deux États.

Selon le Plan de Partage, l'État juif comprenait la plaine côtière, qui s'étend de Haïfa à Rehovot, l'est de la Galilée et le désert du Negev, incluant l'avant-poste de Umm Rashrash au sud (maintenant appelé Eilat).

L'État arabe devait recevoir l'ouest de la Galilée, avec la ville d'Acre, les monts de Cisjordanie, et le sud de la côte, s'étendant du nord de Majdal (maintenant Ashkelon), et comprenant l'actuelle Bande de Gaza, avec une partie du désert le long de la frontière égyptienne. La ville de Jaffa à population majoritairement arabe, au sud de Tel-Aviv, devait initialement faire partie de l'État juif. Elle fut finalement comprise dans l'État arabe avant que le Plan de partage ne soit adopté par l'ONU, formant ainsi une enclave.

Au moment du plan de partage, la population totale de Palestine est composée pour deux tiers d'Arabes et un tiers de Juifs. La population juive représentée par le Yishouv (mot hébreu désignant la population juive de Palestine avant 1948) possède 7 % de la propriété foncière.

L'État juif proposé regrouperait une majorité de Juifs (558 000 pour 405 000 Arabes). 10 000 Juifs seraient alors dans l'État arabe. Celui-ci serait par conséquent peuplé à 99 % d'Arabes, avec une communauté de 804 000 habitants.

La zone internationale centrée sur Jérusalem, compterait 100 000 Juifs pour 105 000 Arabes.

2 % des Juifs, soit 10 000 personnes, ne se retrouveraient ni dans l'État juif ni dans la zone internationale de Jérusalem. 31 % des Arabes, soit 405 000 personnes, ne seraient ni dans l'État arabe ni à Jérusalem.

L'État juif proposé est sensiblement plus grand (55 %) que l'état palestinien, dont une très grande part occupée par le désert du Neguev (40 %). L'essentiel des terres côtières cultivables lui revient. 55 % du territoire total, 80 % des terres céréalières et 40 % de l'industrie de Palestine sont récupérés par la communauté juive

2007-03-20 01:53:06 · answer #7 · answered by Super 7 · 0 1

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