English Deutsch Français Italiano Español Português 繁體中文 Bahasa Indonesia Tiếng Việt ภาษาไทย
Toutes les catégories

Je parle du véritable pardon, celui que l'on peut faire sans condition. Pas pardonner quelque chose sans importance, mais pardonner l'impardonnable

2007-03-19 13:05:34 · 10 réponses · demandé par nausicaa149 5 dans Arts et sciences humaines Philosophie

Non Maraci... je n'ai jamais entendu parler de flamme violette, c'est de l'ésotérisme ?

2007-03-19 13:30:11 · update #1

Je reformule légèrement, je voulais dire :"selon vous..." j'ai déjà ma propre réponse

2007-03-19 13:32:04 · update #2

10 réponses

aporie:On nomme aporie (en grec aporia, absence de passage, difficulté, embarras) une difficulté à résoudre un problème. Pour Aristote, c'est une question qui place le lecteur ou l'auditeur dans l'embarras pour trancher entre deux affirmations.

Le sens actuel d'aporie est plus fort et concerne tout problème insoluble et inévitable.

____________

attends il faut déjà que je cherche à comprendre la question avant d'y répondre lol

____________

je vais tenter une réponse...

le vrai pardon est quasiment impossible cooncernant l'impardonnable ceci dit quand l'être humain a atteind le summum de la souffrance il peut pardonner l'impardonnable car une partie du cerveau (de l'ame, du coeur) nous y ammènes doucement

pour que la personne puisse trouver la paix ainsi que la personne qui pardonne

qui évacue un peu la colère, la haine, la tristesse

il faut quand même faire preuve d'une sacré sagesse et maturité et d'une grande introspection sur soi

... enfin je crois (c'est pour ça que je ne me risque pas souvent dans les questions philosophiques!)

lol

2007-03-19 13:20:03 · answer #1 · answered by Chocolat 7 · 5 0

Possible ou impossible, le pardon nous tourne vers le passé. Il y a aussi de l'à-venir dans le pardon.
Jacques Derrida
S'il y a une chose impardonnable c'est de ne pas pardonner.
Romain Gary

Je puis tout pardonner aux hommes, excepté l'injustice, l'ingratitude et l'inhumanité.
Diderot

La véritable indulgence consiste à comprendre et à pardonner les fautes qu'on ne serait pas capable de commettre.
Hugo

2007-03-20 05:15:02 · answer #2 · answered by Eurydice 7 · 1 0

Comment pardonner l'impardonnable?
Il faudrait que je rende l'impardonnable digeste
Que je l'édulcore, le digere pour pouvoir le pardonner.
Mais alors j'ai faussé mon jugement
En logique je l'ai rendu in décisionnel
Et par le fait il est aporétique
Ma réponse:
Il n'y a pas de pardon possible
Il n'y a qu'une vague suspicion molle de
Lassitude vis à vis de quelque chose d'ancien

2007-03-20 03:20:55 · answer #3 · answered by ? 5 · 1 0

entièrement.absolument.totalement.

entre les extrêmes de la dialecte du pardon impardonnable se dresse le soleil de la vérité aporétique: le mouvement perpétuel...

2007-03-19 20:20:50 · answer #4 · answered by Anonymous · 1 0

Le seul pardon qui en soit un, selon Jankélévitch ("Le Pardon", Aubier-Montaigne, 1967), ne s'accorde qu'à l'impardonnable. Il est à la fois nécessaire et quasi impossible ("il se peut qu'aucun pardon dégagé de quelque arrière-pensée égoïste n'ait jamais existé"). Tout comme le corps est à la fois un organe (au service de l'amour, par exemple) et un obstacle (le "cher moi" empêcheur d'aimer purement).
Ce n'est pas étonnant que Jankélévitch, philosophe des limites, de l'impondérable, du "je-ne-sais-quoi", du paradoxe, ait abordé le pardon (que l'on peut mettre dans la catégorie des paradoxes - donc des apories).

Mais la folie suprême du pardon n'est-elle pas ce sublime qui nous rapproche du divin ? (pour moi, Dieu est plus jeune que nous et n'existe pas encore, ou alors par intermittences)

2007-03-20 05:18:22 · answer #5 · answered by Claber 5 · 0 0

Moi je dis ,pardonnez s'il y a mérite de pardon ,pardonnez si cela vous chantent si vous faits du bien ,pardonnez pour toutes les raisons possible,sinon ne pardonnez pas ,mais du moins faites toujours cce qui vous rapporteras et vous feras le plus grand bien .Je ne croit pas en dieu ,mais je sais que tout nos bon acts sont ou serons récompensé un jours ou l'autre ,mais ne le laissez pas passé seulement en regardant au travers...

2007-03-19 21:50:26 · answer #6 · answered by droudrou88 1 · 0 0

aporé.. quoi?

2007-03-19 21:29:09 · answer #7 · answered by Raph 2 · 0 0

le pardon est obligatoire dans le sens où si on ne pardonne pas on empoisonne son esprit à bien des niveaux, et qu'alors on crée un mal bien plus grand encore que le mal à la base que l'on doit pardonner, et non seulement pour soi-même mais aussi pour les autres, ses proches déjà...

il devrait y avoir une science du pardon mais aussi des exercices pratiques pour la santé mentale déjà à l'école...

évidemment la plupart des gens sur un coup dur à du mal à pardonner voire ne pardonnera jamais, mais à "quel prix!?".

il faut véritablement aimer pour pardonner, avoir une saine compréhension des fonctionnements psychologiques des êtres humains, pas simple du tout, donc, car l'amour aussi est "un entraînement" de tous les instants et une simple maladie suffit à le détruire.

pour résumer le pardon est un antipoison de l"âme".
pour pardonner sans comprendre il faut quand même un minimum de sciences liées à l'amour.
pour pardonner sans comprendre il faut de "la chance".

bref peu de gens ont "cette chance d'avoir le don" de pardon.

2007-03-19 20:35:21 · answer #8 · answered by Hum... Y'a où ? 7 · 0 0

A poétique, la poésie me prend à l'estomac et j'en suis tout retourné !!!

Comme dit Chocolat (ce qu'il a copié/collé dans wikipédia) mais il n'a pas mis l'article en entier :

On nomme aporie (en grec aporia, absence de passage, difficulté, embarras) une difficulté à résoudre un problème. Pour Aristote, c'est une question qui place le lecteur ou l'auditeur dans l'embarras pour trancher entre deux affirmations.

Le sens actuel d'aporie est plus fort et concerne tout problème insoluble et inévitable.

La pensée aporétique peut chercher à dépasser les contradictions, comme chez Aristote ; elle est alors dialectique et se distingue du scepticisme, de l'agnosticisme, ou du sophisme :

la dialectique met à plat des points de vue différents pour en permettre une synthèse ;
le scepticisme se borne à ne pas trancher tant que les conditions ne sont pas réunies pour le faire ;
l'agnosticisme veut ignorer ce que nous ne pouvons connaître (du moins tant que nous ne pouvons pas le connaître) ;
le sophisme ne constitue pas une école de pensée, mais un modèle de raisonnement basé essentiellement sur l'éloquence afin de séduire la masse et ce dans le but d'œuvrer pour le bien d'une minorité ou de faire passer un message qui ne correspond pas à la réalité (intentionnellement ou non) ;
l'aporie se borne à constater que ce qui est, est (voir aussi existentialisme).
On nomme aporétique un système construit sur une ou des aporie(s). L'éducation fonctionne dans l'aporétique de la maîtrise et de l'autonomie : l'éducateur veut maîtriser son enseignement mais son but est aussi que l'élève devienne autonome. Ces deux intentions coexistent et se concurrencent mais si l'une « l'emportait sur l'autre » (quel que soit d'ailleurs le sens qu'on puisse donner à ce terme) il n'y aurait plus d'éducation possible, ou plus le même type d'éducation — en tout cas d'après Jacques Derrida.

2007-03-19 20:23:42 · answer #9 · answered by bernie (+) bloque vertigo-gol 6 · 0 0

l'impardonnable n'existe plus depuis qu'on connaît la flamme violette qui est la loi cosmique "miraculeuse" du pardon, car on peut dissoudre dans la flamme tout ce qui n'est pas la perfection que l'on désire ...
et donc par conséquent, on le dissout, et quand c'est dissout, ça disparaît de la mémoire aussi, on peut même dissoudre les enregistrements éthériques qui sont la mémoire du monde qui nous entoure ...
donc pas d'aporie hein ! s'il vous plaît ...

tu connais la flamme violette ?

2007-03-19 20:20:39 · answer #10 · answered by maricimaraj 7 · 0 0

fedest.com, questions and answers