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2007-03-17 13:22:23 · 13 réponses · demandé par Mère Nature 6 dans Societé et culture Societé et culture - Divers

Désolée si cette question n'est pas dans la bonne catégorie, mais j'ignore totalement ce qu'est un djinns

2007-03-17 13:23:11 · update #1

Ah! coucou Joch! ca faisait longtemps! Merci pour l'invitation, mais je vais rarement dans la capitale... Si tu descends sur la côte... idem...

2007-03-17 13:40:30 · update #2

13 réponses

salut Mimi comment vas-tu? encore au boulot? bon courage à toi...
eh bien c'est aussi ce que j'ai posé à la personne qui demandait si les Djinns sortaient le soir et sur Y/Q/R
BON JE RAJOUTE§ je suis retournée voir sur sa question et il a rajouté dans le commentaire que c'était 'un genre de monstre etc...
JE REVIENS ENCORE! tu as de quoi lire dis donc! d'après les réponses que tu reçois!

2007-03-17 13:28:51 · answer #1 · answered by josimargot 4 · 1 2

Le terme « Djinns » est utilisé pour désigner les esprits bienfaisants, génies ou démons dans les croyances musulmanes.

L'Islam admet l'existence des djinns, esprits invisibles, qui, comme les hommes, ont été créés pour adorer Dieu : " Je n'ai créé les Djinns et les .hommes que pour qu'ils m'adorent " (S. LI, 56). Ils ont été créés " de feu clair" : " Quant aux Djinns, nous les avons créés, auparavant, du feu de la fournaise ardente " (S. XV, 27). " Il crée les Djinns d'un feu pur " (S. LV, 15). Ils ont des yeux, des oreilles et un coeur ; il est écrit à propos de ceux d'entre eux qui sont maléfiques : " Ils ont des coeurs avec lesquels ils ne comprennent rien ; ils ont des yeux avec lesquels ils ne voient pas, ils ont des oreilles avec lesquelles ils n'entendent pas ", étant réfractaires à la Parole divine comme les infidèles. Il existe des djinns mâles et des djinns femelles qui procréent par conséquent : " Là, ils rencontreront celles dont les regards sont chastes et que ni homme ni djinn n'a jamais touchées avant eux " (S. LV, 56).

Il y a de bons et de mauvais djinns. Au même titre que les hommes, ils périront tous et seront ressuscités, ensuite rassemblés au Jour du Jugement dernier. Quant à l'armée d'Iblîs, elle sera précipitée dans le Feu : " O assemblées des djinns et des hommes ! Des prophètes choisis parmi vous ne sont-ils pas venus à vous, en vous exposant mes Signes, en vous avertissant de la Rencontre de votre Jour que voici ? " (S. Vl, 130). "Je remplirai certainement la Géhenne de Djinns et d'hommes réunis " (S. Xl, 119)

D'autres djinns sont au contraire soumis à Dieu. Il y a parmi eux des prédicateurs. Ils iront au paradis comme ceux qui écoutèrent la récitation du Coran faite par le Prophète à son retour de Ta'ïf où il alla prêcher vainement la bonne parole aux habitants de cette oasis et demander par la même occasion leur aide : " Lorsque nous avons amené devant toi une troupe de Djinns pour qu'ils écoutent le Coran et qu'ils furent présentés, ils dirent : "Écoutez en silence !" et, quand ce fut terminé, ils retournèrent en avertisseurs auprès de leur peuple " (S. XLVI, 29).

Les djinns ont en effet leur propre communauté. Ils peuplent les lieux où il y a de l'eau, des endroits inhabités, des maisons en ruines et tout autre endroit désert. La croyance populaire leur attribue une corporalité ; ils peuvent se présenter sous forme d'animaux ou d'êtres humains.

Des djinns exercent sournoisement leur rôle néfaste auprès des hommes comme ils l'avaient exercé également auprès des prophètes. Ils forgeaient des mensonges qu'ils susurraient aux envoyés de Dieu en les enveloppant d'un joli langage : " Nous avons suscité, à chaque prophète, un ennemi : des hommes démoniaques et des Djinns qui se suggèrent les uns aux autres le clinquant des paroles trompeuses " (S. VI, 112).

Les païens adoraient les djinns et les associaient à Dieu leur Créateur. Ils voyaient en eux des fils ou des filles du Seigneur : "Ils ont attribué à Dieu les Djinns comme associés, mais c'est lui qui a créé les Djinns. Ils ont imaginé, dans leur ignorance, que Dieu a des fils et des filles. Gloire à lui ! Il est très élevé au-dessus de ce qu'ils imaginent" (S. VI, 100).

Selon leur croyance, Satan était le frère de Dieu et les anges des enfants nés de démons femelles unies au Seigneur : "Ils établissent une parenté entre lui et les Djinns, mais les Djinns savent qu'ils seront réprouvés " (S. XXXVII, 158).

Les rationalistes musulmans nient l'existence réelle des djinns. Les Mu'tazilites et à leur suite le philosophe et médecin Ibn Sinâ, l'historien et sociologue Ibn Khaldoun, entre autres, y voyaient plutôt des allégories. D'aucuns considèrent que les djinns sont une allusion à l'existence des microbes. De telles idées ne sont pas partagées par la majorité de l'opinion musulmane laquelle pour se soustraire aux influences maléfiques de ces démons, préconise de chercher refuge auprès de Dieu en récitant les deux courtes sourates suivantes : " Dis : Je cherche la protection du Seigneur de l'aube contre le mal qu'il a créé ; contre le mal de l'obscurité lorsqu'elle s'étend ; contre le mal de celles qui soufflent sur les noeuds ; contre le mal de l'envieux, lorsqu'il porte envie " (S. CXIII). " Dis : Je cherche la protection du Seigneur des hommes, Roi des hommes, Dieu des hommes, contre le mal du tentateur qui se dérobe furtivement ; contre celui qui souffle le mal dans le coeur des hommes, qu'il soit au nombre des djinns ou des hommes ", (S. CXIV).

La croyance aux djinns n'est pas l'apanage de l'Islam. Les peuples anciens, perses, babyloniens, etc. croyaient à ces puissances naturelles. Le christianisme et le judaïsme n'ignorent pas ces phénomènes et beaucoup de leurs adeptes ne manquent pas de conjurer le mauvais sort par des incantations et la confection de talismans.

Les Zoraïstes disaient que les démons avaient été créés par celui qui, d'après eux, personnifiait le mal, à savoir Ahriman. La religion chinoise admet que le monde est habité par des bons et des mauvais esprits. Les Hindous croient aux puissances mystérieuses détenues à la fois par des dieux et des démons.

La croyance aux djinns et les superstitions qui s'y rattachent se vérifient de nos jours dans les milieux intellectuellement avancés. Les esprits cultivés n'ont fait que donner aux djinns d'autres appellations telles que génie ou esprit invisible. "La seule différence, dit Cheikh Hamza Boubekeur, entre la croyance ancienne et la croyance moderne aux démons à travers les civilisations, c'est qu'elle est devenue plus discrète, plus libre, plus aimable, plus individuelle, alors que naguère elle était au centre de la vie religieuse des communautés religieuses. "

2007-03-17 20:33:34 · answer #2 · answered by Hades et Persephone 7 · 2 0

Jinn

Pour l’article homonyme, voir Djinn (hélicoptère).

Un jinn (parfois orthographié djinn), est une créature de la mythologie sémitique. Ils sont en général invisibles et peuvent prendre différentes formes. Il y a de bons et de mauvais jinns.
Sommaire
[masquer]

* 1 Chez les Arabes
* 2 Dans l'Islam
* 3 Dans la littérature
* 4 Voir aussi
o 4.1 Articles connexes

Chez les Arabes [modifier]

Pour les Arabes, les jinns représentent une autre race habitant la terre, ce sont des sortes d'esprits qui habitent les endroits déserts, les points d'eau, les cimetières et les forêts. Pour se manifester, ils prennent diverses formes, dont celles de l'homme ou des animaux, couramment des serpents. Le mot jinn ou 'ifrit (pluriel : 'afarit) désigne d'ailleurs à la fois ces esprits ainsi que certaines variétés de serpents. Leurs noms, paroles ou comportements, qui demeuraient étranges permettaient de les discerner des humains quand ils en prenaient la forme. Certains de ces esprits étaient, selon les légendes pré-islamiques, les muses des poètes : ce sont les hawajis (singulier : hajis). Comme les hommes, ils sont organisés en royaumes, États, tribus, peuples, ils ont des religions (dont celles de l'homme) et des lois.

En arabe classique et ancien : Jinni (masculin) Jinnia (feminin), pluriel : Jinna ou Jinn, dans certains dialectes arabes postérieurs Jinn, pluriel : Jnoun. (Voir aussi goule.)

Dans l'Islam [modifier]

Dans l'Islam, les jinns sont des créatures dotées de pouvoirs surnaturels, ils ont été créés à partir d'un feu subtil (comme l'être humain l'a été à partir d'argile), ils sont appelés à croire et subiront le jugement dernier.

Les appellations des mauvais jinns sont :

* les 'Afarits (de 'Ifrit)
* les Maridins (de Marid)

Les démons, Shayatin (au singulier Shaytan, Satan pour les langues latines) sont de mauvais djinns.

Dans la littérature [modifier]

On peut d'ailleurs noter que le mot « génie » (au sens merveilleux comme dans le conte d'Aladdin) est une francisation du mot « djinn ». La confusion avec le mot génie au sens commun (personne dotée d'une habileté intellectuelle remarquable) est semble-t-il intentionnelle. Il convient aussi de remarquer que dans l'arabe moderne le mot désignant un génie au sens commun du terme est 'abqari qui vient de 'abqar un oued de l'anciennne Arabie réputé comme étant un repaire de djinns.

Dans les Mille et une nuits, les jinns habitent la cité rose de Shadukiam. Le plus ancien jinn, par lequel ils jurent ou prêtent serment, se nomme Kashkash. D'après un grimoire médiéval (Le Livre du pouvoir), Ampharool est le jinn qui peut enseigner au magicien le secret du vol.

Victor Hugo a écrit un poème Les Djinns publié dans son recueil Les Orientales.

Dans la trilogie de Bartiméus, oeuvre de Jonathan Stroud, l'histoire raconte les épreuves de magiciens pouvant invoquer des djinns, créatures malfaisantes et bien souvent antiques ( comme Bartiméus ). Ils existent différents degrés d'esprit, principalement, du plus faible au plus fort : gnomoncule, gnome, foliot, djinn, afrit, marid et d'autres non dénominés ainsi que d'infinies quantités de petites créatures faibles et stupides.

* Faune
* Almasty
* Nasna

IBLIS

Iblis, Iblîs ou Eblîs (arabe: Iblīs], du grec diabolos, « calomniateur ») est le nom d'un djinn particulier, un être crée de feu qui refuse de se prosterner devant Adam sur l'injonction de Dieu lorsqu'Il l'eut façonné à partir de glaise :

« Lorsque nous avons dit aux anges: 'Prosternez-vous devant Adam !' ils se prosternèrent, à l'exception d'Iblis qui refusa et qui s'enorgueillit : il était au nombre des incrédules. » — Coran (II; 34)

Dieu ordonne donc à Iblis l'exil (« Descends de cet endroit » (en référence au jardin d'Éden)). À la demande d'Iblis, Dieu repousse le châtiment au jour du jugement dernier. Iblis lui annonce qu'il tentera les descendants de son ennemi Adam, afin d'éprouver leur foi. Dieu lui accorde cette requête, et promet l'Enfer à ceux qui écouterons ses conseils en se détournant de Dieu.

En islam, c'est Dieu lui-même qui est le maître des enfers. Iblis sera lui-même châtié le jour du jugement dernier. Iblis devient le plus important des djinns.

Une anecdote [réf. nécessaire] dit qu'un homme demanda à un érudit comment Iblis, créé de feu puisse être châtié par le feu. L'érudit le gifla et lui demanda : « as-tu eu mal ? » Il répondit que oui, après quoi l'érudit dit : « ma main est faite de peau tout comme ta joue, si Dieu le veut le feu chatiera le diable. »

Le Coran donne de nombreux noms aux démons :

* Iblis le maître des démons ce nom propre serait une déformation du mot grec diabolos (διαβολος, qui inspire la haine et l’envie ; calomniateur).
* Satan (arabe : šaytān], l'adversaire) le terme est utilisé comme un adjectif aussi souvent que comme un nom propre (dans ce dernier cas il est précédé de l'article).
* Les djinns (arabe : [jinn], génies; démons; djinns) sont des esprits tantôt favorables tantôt maléfiques et dans ce cas ils sont des satans.
* Ifrit, esprit rebelle (arabe: [`ifrīt], rebelle) (Le Coran XXVII ; 39)
* Le tentateur (arabe : [al-waswās], tentateur; celui qui murmure) (Le Coran CXIV ; 4)
* Celui qui s’esquive (arabe : [al-ḫannās], celui qui s'esquive discrètement) (Le Coran CXIV ; 4)
* Taghout (arabe : [tāġūt], idole; faux dieu; mahomet, tyran défini par les érudits de l'islam comme étant tout ce qui est satisfait de se faire vouer un culte en dehors d'Allah, donc la sorcellerie (Le Coran V ; 60) (le mot désigne aussi un personnage tyrannique)[[Catégorie:Démon de légende]

2007-03-17 20:30:17 · answer #3 · answered by Anonymous · 4 2

C'est des êtres doués d'une intelligence comme les humains, qui vivent dans une sorte de monde parrallèle. Cependant, il faut faire la différence entre la définition mythologique arabe de ces êtres et celle de l'Islam (dans l'Islam Dieu a mis un voile entre notre monde et le leur et on ne peut pas entrer en contact avec eux alors que dans la mythologie arabe pré-islamique, le contact est possible). Il y a des djinns bons et des djinns mauvais tout comme les humains.

2007-03-17 20:54:11 · answer #4 · answered by Somebody 6 · 1 0

certaines definitions sont precises, mais elle oublie de dire que les djinns sont considérés comme des etres doté de raison qui ont le droit comme les hommes d'avoir des religions difffentes etc.. contrairement aux anges qui sont soumis.

On raconte aussi que certains djinns envisage des mariages avec des etres humains et que refuser ce type de mariage peut entrainer des problemes de santé par exemple, que certains vont qualifier de mauvais sort.

Quant aux marabouts nous savons qu'ils usent des pouvoirs malfaisants des djinns pour reussir dans leurs entreprises, en leur faisant un echange (nourriture) par exemple.

On raconte aussi que certaines personnes a qui tout reussi ont pactiser avec les djinns, ce qui est assez aisé, mais qui equivault a vendre son ame au diable, puisque si les djinns convertissent un humains ils ne le lachent jamais.

2007-03-17 20:45:46 · answer #5 · answered by Le dernier temoin 3 · 1 0

1 esprit

2007-03-17 20:33:14 · answer #6 · answered by Anonymous · 1 0

Encore!!! mais c'est un pantallon...

2007-03-17 20:27:43 · answer #7 · answered by le_gars_la_en_bas_au_fond 6 · 1 0

Un esprit.
Il y a un très beau poème de V. Hugo qui raconte leur cavalcade.

"Les Djinns" in Les Orientales, XXVIII, (1829).

Murs, ville
Et port,
Asile
De mort,
Mer grise
Où brise
La brise
Tout dort.

Dans la plaine
Naît un bruit.
C'est l'haleine
De la nuit.
Elle brame
Comme une âme
Qu'une flamme
Toujours suit.

La voix plus haute
Semble un grelot.
D'un nain qui saute
C'est le galop.
Il fuit, s'élance,
Puis en cadence
Sur un pied danse
Au bout d'un flot.

La rumeur approche,
L'écho la redit.
C'est comme la cloche
D'un couvent maudit,
Comme un bruit de foule
Qui tonne et qui roule
Et tantôt s'écroule
Et tantôt grandit.

Dieu! La voix sépulcrale
Des Djinns!... - Quel bruit ils font!
Fuyons sous la spirale
De l'escalier profond!
Déjà s'éteint ma lampe,
Et l'ombre de la rampe..
Qui le long du mur rampe,
Monte jusqu'au plafond.

C'est l'essaim des Djinns qui passe,
Et tourbillonne en sifflant.
Les ifs, que leur vol fracasse,
Craquent comme un pin brûlant.
Leur troupeau lourd et rapide,
Volant dans l'espace vide,
Semble un nuage livide
Qui porte un éclair au flanc.

Ils sont tout près! - Tenons fermée
Cette salle ou nous les narguons
Quel bruit dehors! Hideuse armée
De vampires et de dragons!
La poutre du toit descellée
Ploie ainsi qu'une herbe mouillée,
Et la vieille porte rouillée,
Tremble, à déraciner ses gonds.

Cris de l'enfer! voix qui hurle et qui pleure!
L'horrible essaim, poussé par l'aquillon,
Sans doute, o ciel! s'abat sur ma demeure.
Le mur fléchit sous le noir bataillon.
La maison crie et chancelle penchée,
Et l'on dirait que, du sol arrachée,
Ainsi qu'il chasse une feuille séchée,
Le vent la roule avec leur tourbillon!

Prophète! Si ta main me sauve
De ces impurs démons des soirs,
J'irai prosterner mon front chauve
Devant tes sacrés encensoirs!
Fais que sur ces portes fidèles
Meure leur souffle d'étincelles,
Et qu'en vain l'ongle de leurs ailes
Grince et crie à ces vitraux noirs!

Ils sont passés! - Leur cohorte
S'envole et fuit, et leurs pieds
Cessent de battre ma porte
De leurs coups multipliés.
L'air est plein d'un bruit de chaînes,
Et dans les forêts prochaines
Frissonnent tous les grands chênes,
Sous leur vol de feu pliés!

De leurs ailes lointaines
Le battement décroît.
Si confus dans les plaines,
Si faible, que l'on croit
Ouïr la sauterelle
Crier d'une voix grêle
Ou pétiller la grêle
Sur le plomb d'un vieux toit.

D'étranges syllabes
Nous viennent encor.
Ainsi, des Arabes
Quand sonne le cor,
Un chant sur la grève
Par instants s'élève,
Et l'enfant qui rêve
Fait des rêves d'or.

Les Djinns funèbres,
Fils du trépas,
Dans les ténèbres
Pressent leur pas;
Leur essaim gronde;
Ainsi, profonde,
Murmure une onde
Qu'on ne voit pas.

Ce bruit vague
Qui s'endort,
C'est la vague
Sur le bord;
C'est la plainte
Presque éteinte
D'une sainte
Pour un mort.

On doute
La nuit...
J'écoute: -
Tout fuit,
Tout passe;
L'espace
Efface
Le bruit.

Victor Hugo,

2007-03-18 18:22:32 · answer #8 · answered by Lenny 5 · 0 0

un de mes amis

2007-03-17 21:38:53 · answer #9 · answered by sbardila1 2 · 0 0

Une créature mythologique de la tradition Arabo-musulmane.

2007-03-17 20:32:19 · answer #10 · answered by Raphc 4 · 1 1

Je sais ce que c'est mais je ne sais pas comment te l'expliquer! Ta question me donne la chaire de poule dans tous les cas!

2007-03-17 20:32:20 · answer #11 · answered by Nana 6 · 1 2

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