Laurent, ne répond pas à Karim, c'est trés probablement un troll frontiste
2007-03-16 13:00:18
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answer #1
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answered by tiluc40 3
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Oui mais va savoir si c'est la verité ou un réglement de compte personnel!
Tu sais en politique lorsque des politiques parlent d'autres politiques la vérité est souvent ailleurs!
2007-03-16 14:32:22
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answer #2
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answered by gally4869 2
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Karim: Tes propos sont-ils à prendre au second degré ou es-tu complètement con?
Si tu ne plaisantes pas, je connais un bon psy pour toi.
2007-03-16 12:55:45
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answer #3
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answered by Laurent z 2
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le secret est normal Sarko pique toute les bonnes idées, il cite même Voltaire pour défendre JMLP,après Blum et Jaures a quand Louise Michel? Il est grand temps que la femme soit l'égal de l'homme, il n'y a aucune démagogie là dedans, Monsieur Besson n'est qu'un phallocrate déçu, la France a des années de retard commençons a rattraper un celui-ci, une femme chef de l'état changera les mentalités , beaucoup en ont besoin
2007-03-16 14:33:04
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answer #4
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answered by le contraire 4
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Qui avait entendu parler de Besson (pas le Grand !) avant son
coup d'éclat ? Personne !!
Tout à coup, il devient pour la droite en mal de scoop,le plus
grand expert économique de France !! Alors qu'il n'est qu'un
personage fallot que personne ne connaissait ......
Voici,pour calmer les droitistes la préface d'un livre qu'il à écrit :
Introduction par Eric Besson
L’inquiétante rupture tranquille de Monsieur Sarkozy.
La France est elle prête à voter en 2007 pour un néo-conservateur américain à passeport français ?
Son supposé « parler vrai » (parfois son parler crû mais lorsque Sarkozy est grossier, il dit parler comme les Français), son sens de la formule, son insolence étonnamment juvénile en font un « bon client » pour les média audiovisuels.
Orfèvre en communication méthodique et parfois impudique, l’homme a, de plus, su draper son implacable et froide quête du pouvoir dans une toge glamour (Nicolas-la-star-amie-des-stars y compris de celles dont l’exemplarité est discutable) sans laquelle il ne saurait –nous dit-on- y avoir de « saga politique » digne de ce nom.
Ce « sarko-show » est une arme de dissimulation massive, car celui qui ne cesse de prétendre vouloir « être jugé sur ses résultats » n’a pas son pareil pour masquer les piètres bilans de son action. Ceux d’un médiocre ministre de l’économie et des finances ou ceux d’un ministre de l’Intérieur survolté mais peu efficace : les violences faites aux personnes n’auront cessé d’augmenter en dépit de ses communiqués triomphants.
En cas de nécessité, si provocation et écran de fumée ne suffisent pas, Nicolas Sarkozy actionne le parachute de secours, celui de la défausse. Car celui qui se décrit comme un pieux catholique n’aime rien tant que battre sa coulpe sur la poitrine des autres : il n’est, par essence, jamais responsable. Ses erreurs, ses échecs ? C’est toujours la faute des autres. Non à Voltaire, rarement cité, mais à Chirac, à Raffarin, à Villepin etc, cibles sarkozyennes dont on se gardera cependant ici de prendre la défense véhémente. Ou en dernier ressort la faute aux juges.
En 2002, il suffisait de lui donner les rênes de la police et de le laisser libre de mettre en Åuvre une répression salutaire pour que l’insécurité soit enrayée. En 2006, le Ministre de l’Intérieur confesse son impuissance....
Libéral, il l’est assurément depuis toujours et profondément. Mais contrairement à la légende qu’il entretient le candidat ne l’assume pas franchement et préfère se retrancher derrière des mythes.
Le libéralisme de Sarkozy s’est donc mué en libéralisme « populaire ». A Georges W. Bush, Nicolas Sarkozy ne s’est pas contenté d’emprunter les slogans ou la mise en scène (ah, cette intronisation du président de l’UMP avec un décor calqué sur celui de la campagne de
Bush …). Il lui a pris la méthode : « parler des problèmes des gens », à défaut d’avoir la moindre idée de la façon de les résoudre. Se servir des mots pour prétendre panser les maux. Décrire ce que l’on est incapable de guérir.
Son atlantisme forcené, sa très grande complaisance pour ne pas dire sa fascination à l’égard de la politique extérieure de Georges Bush sont autrement plus graves.
Ce qui pose problème, et qui doit faire débat en cette année 2007, c’est l’allégeance aveugle à une politique dite de lutte contre le terrorisme absurde et inefficace dont la guerre en Irak est la plus sanglante illustration.
C’est une évidence. Nicolas Sarkozy ne croit pas au « modèle républicain » d’intégration.
De ce point de vue le bilan du « ministre en charge des cultes » est lourd de menaces pour l’avenir : non content de mettre à mal la loi de 1905 et les fondements de la « laïcité à la française », Nicolas Sarkozy aura pactisé avec les islamistes de l’UOIF, favorisé l’ascension médiatique de Tarik Ramadan, fait preuve d’une étrange bienveillance à l’égard des sectes allant jusqu’à recevoir en grande pompe l’un des prosélytes le plus célèbre de l’église de Scientologie, l’acteur Tom Cruise.
La vraie Bible de Nicolas Sarkozy réside dans la pensée néo-conservatrice américaine.
Son vrai modèle ? Georges W Bush.
2007-03-16 13:20:00
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answer #5
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answered by alclodo07 6
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Encore un mec qui croit tout savoir mémé dans le parti socialiste, moi je suis dans le parti depuis pas mal années je suis secrétaire de section du ville de essonne et ce projet n'ai pas seulement un projet du ps mais des français qu'on a rencontré dans les débats participatifs.
comme on sais très bien le monde politique change que sa déplaise au homme, les femmes veulent montré leur capacité à gouverner mais les hommes ne sont pas près donc il critique.
maintenant que tu veuille critiquer Mme royal certes elle est assez grande pour ce défendre mais son programme je suis pas d'accord qu'il te convient pas ok mais respecte le travaille des français qui veulent une France fort et juste pour tous.
CITATION DU JOUR
L'essentiel n'est pas de "parler haut" mais de parler juste
2007-03-16 13:14:34
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answer #6
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answered by Teixeira Jean paul 3
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