Cette chanson (et sa chanteuse) ont des schemas de pensées aussi archaiques et grossiers que le discours des personnes qu'elles visent , à savoir les fachos type vieille france "on aime pas trop les étranger par ici" . Ca m'étonne pas que Royal reprenne ce genre de discours outranciers vu qu'elle fait le meme type de démagogie à deux centimes. Après je dis pas que y'a pas un fond de vérité mais bon, c'est pas la peine de stéréotypé...
Décidemment , quelle vieille stratégie de Royal pour s'attirer les faveurs de l'éléctorat jeune
2007-03-15 09:59:50
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answer #1
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answered by Philuk1 2
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Je ne connaissais pas ce joyau, future clé de voute de la poésie française, alors j'ai été voir.
Mis à part 'Celle qui regarde Julie Lescaut et regrette le temps des Choristes,' je jette tout le reste.
Royal ne se rend pas compte qu'elle fait partie de ce que vomit cette chanson (là je n'en sait rien je n'ai vu que les paroles).
Qu'est ce que l'on ferait pas pour ratisser large ?
L'hymne aux branleurs, c'est devenu son programme à Ségo. ??
2007-03-15 16:55:05
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answer #2
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answered by farfadet 4
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Diam's a l'air sympa comme mec!...
2007-03-15 16:51:07
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answer #3
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answered by smstardust 1
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Oui mais ce n'était pas précisé dans ses fiches !
2007-03-15 16:50:10
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answer #4
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answered by Patounet 7
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elle me fait gerber "la boulotte"!(diam's dans ses réves)
2007-03-15 16:55:35
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answer #5
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answered by frederic "usopp-sama" 6
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comment, par pur demagogie
2007-03-15 16:53:19
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answer #6
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answered by Daniele ***Ά†Ω*** 5
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c'est pas l'ecole qui nous a dicté nos codes.. nan nan...
a rapproché de son discours sur l'ecole au coeur du programme
mort de rire
2007-03-15 16:53:03
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answer #7
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answered by souvenir vacances 3
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Faut peut-être que quelqu'un lui explique que les non-Français ne votent pas aux présidentielles ? :)
2007-03-15 16:51:46
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answer #8
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answered by Humpty a une envie de chocolat 6
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sur télérama
Les candidats à la présidentielle nous parlent (enfin) de culture
(...)
Même jour, à 14h30. Ségolène Royal, acte 1.
Assemblée nationale. Sur un bureau, un fascicule, « Réussir un débat participatif », une pile de livres d’où dépasse un Ushuaïa. La députée candidate arrive, sourire et maquillage forcés, façon plateau de télé : « C’est pour quoi ? Pour qui ? » S’inquiète : « Mais vous n’avez pas envoyé vos questions avant ? » Prévient : « Je n’ai pas beaucoup de temps, je dois me recueillir sur la dépouille de l’abbé Pierre. » Propose : « On m’a fait une note, je vais vous la donner. » Pas de chance, le journaliste veut son avis à elle, pas celui de ses conseillers. Son directeur de cabinet s’insurge : « Mais il y a trop de questions ! » Ségolène Royal arrache la feuille des mains de l’émissaire de Télérama : « De quoi avez-vous peur ? », proteste celui-ci. « Quand on est candidate à la présidence de la République, on n’a peur de rien », réplique-t-elle. Elle n’a pas peur, donc, mais pas de temps... « Revoyons-nous. » Serrage de mains. Sourire.
(...)
Vendredi 2 février. 11h45. Ségolène Royal, acte 2.
Après le premier entretien, la rumeur a fait le tour de Paris. Et prend des dimensions grotesques. On entend que « Ségolène a déchiré les notes » du journaliste de Télérama. Mieux : « elle l’a giflé ! » Il nous revient aussi que Sarkozy et Bayrou ont réussi leurs interviews, ce qui nous fait plaisir, vu que nous ne sommes pas encore parvenus à les rencontrer.
Les collaborateurs de Ségolène Royal ont demandé une seconde chance. La candidate arrive à la rédacÂtion de Télérama avec deux voitures, une poignée de collaborateurs, une veste rose bonbon, le même maquillage « télé » que la première fois et son sourire. Fait consciencieusement le tour des bureaux, serre toutes les mains, s’assoit, tendue. « Je n’ai pas forcément réponse à tout », prévient-elle. Elle n’ouvre pas le dossier vert posé devant elle pour parler de sa priorité : la démocratisation de l’accès à la culture, « qui empêche le repli sur soi, le racisme, les violences ». Développer la pratique artistique à l’école, décentraliser, instaurer la gratuité des musées... Et tout ça ne coûte pas cher « puisque la culture produit de la valeur ajoutée, économique, sociale, environnementale ». La candidate s’applique à articuler, n’aime pas qu’on l’interrompe, bloque d’un coup quand on aborde ses goûts culturels. Elle regarde ses conseillers : « je ne sais pas si j’ai envie de répondre sur mes pratiques personnelles. Je ne veux pas d’exhibitionnisme. » On lui dit qu’elle accepte bien de poser dans Paris Match. « Les photos, c’est moins intime. Je suis candidate, ma parole a du poids. Je vais réfléchir. » Elle se lève. Ne demande pas de relire ses déclarations. Dans la rue, les lycéens, avec leurs téléphones portables, photographient son sourire.
(...)
Mercredi 7 février. 11 heures. Ségolène Royal, acte 3.
Elle devait réfléchir. On a rappelé pour obtenir par fax ses goûts culturels : « Ãa arrive... On attend encore un renseignement de quelqu’un. » De la candidate ? Le fax, intitulé « Emission Télérama », dévoile une pratique savamment dosée : la candidate a écouté Bach, mais aussi Diam’s. Elle a lu Victor Hugo, mais aussi Fred Vargas. Vu un spectacle de hip-hop, mais aussi un opéra. Ne déteste aucun Âlivre, aime « tout le cinéma français », ne télécharge pas de Âmusique et ne détruirait aucun monument si on lui en donnait la possibilité : « La fonction d’un ÂpréÂÂÂÂÂÂsiÂdent de la République, c’est de se porÂter garant de la protecÂtion du Âpatrimoine historique et Âculturel. » .
Emmanuelle Anizon
2007-03-15 17:12:39
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answer #9
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answered by arsinée 4
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La pauvre Sego elle ne sait plus où donner de la tete .Elle veut faire la jeune en rappant avec Jamel (elle est loin d'avoir le rythme dans la peau) ecouter Diam's (sans comprendre 1 mot).Mais elle veut mettre l'armée dans les ecoles .
2007-03-15 17:07:20
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answer #10
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answered by tornade 4
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