English Deutsch Français Italiano Español Português 繁體中文 Bahasa Indonesia Tiếng Việt ภาษาไทย
Toutes les catégories

La troisième voie est déjà incarnée par Ségolène Royal dont le programme se situe bien entre une gauche marxiste et une droite libérale. Bayrou est le cheval de Troie de cette droite libérale. Le vrai changement c'est Ségolène Royal.

2007-03-14 07:52:32 · 15 réponses · demandé par EMC2 5 dans Politique et gouvernement Élections

15 réponses

vous en doutiez??
1 seul vote dès le 1er tour : ségolène royal! pour un vrai changement!

2007-03-14 07:56:45 · answer #1 · answered by zarathoustra8 2 · 1 5

Mdr, le PS , la troisième voie ...

Moi, j'dirais que c'est la troisième place qui se profile....

Regarde ce qu'en pense DSK du PS :

Surtout, le député du Val d'Oise ne tarit pas de critiques sur ce qu'il décrit comme une vieille gauche. Et de déplorer "la difficulté qu'a cette gauche à faire sa mutation", critiquant ses "recettes" et "méthodes" d'"il y a une quarantaine d'années". "On ne peut pas rester dans un combat un peu manichéen", cela "peut nous faire perdre à l'arrivée", a-t-il plaidé

2007-03-14 14:57:33 · answer #2 · answered by ☼ SOL INVICTUS ☼ 6 · 5 1

il nous fallait un comique ce soir.....bravo tu as décroché la queue du mickey.........

2007-03-14 14:59:55 · answer #3 · answered by joss randall 6 · 3 0

arffffffff....les français sont de moins en moins nombreux a avaler les couleuvres du PS.

Segolene Royal n'est qu'une rustine médiatique censée cacher la misere d'un parti fracturé entre ses contradictions...

SERIEUX ! COMMENT ACCEPTER UN PARTI OU COHABITE DES SOCIAUX DEMOCRATE PRO MARCHES ET DES ANTILIBERAUX ???

au 21eme siecle et a une époque ou meme la chine fait du business ??


c'est mort.

2007-03-14 14:59:09 · answer #4 · answered by surprise2007 3 · 4 1

C'est vrai que Ségo serait un vrai changement, mais peut-être pas dans le sens que tu crois ! ou que tu veux nous faire croire, puisque tu sembles aux ordres !

2007-03-14 14:58:22 · answer #5 · answered by Patounet 7 · 3 0

je ne savais pas que les élections présidentielles, c'était le concours lépine

toi tu es tres fort dans la betise

2007-03-14 15:05:22 · answer #6 · answered by Alain T 5 · 2 0

ah je reconnais!
ton argumentaire me disait quelque chose...

c'est la fiche 69 du parfait petit militant socialiste.
section: Panique! "y'a le feu au lac" mdr

mais bon sang mais c'est bien sûr! lol
car toi non plus tu n'as rien inventé... :)

2007-03-14 16:45:21 · answer #7 · answered by Vi² 7 · 1 0

En effet, il n'a rien inventé. Ce qu'il prétend apporter, c'est de la rénovation et surtout, un devoir de mémoire : nos ancêtres se sont battus pour obtenir le droit de se faire représenter... Et quand on voit que font nos représentants actuels ne représentent plus qu'eux-mêmes (emprunté à S. Veil), alors oui, il faut en changer ! C'est ce qui me motive à soutenir FB...

2007-03-14 14:59:20 · answer #8 · answered by Anonymous · 2 1

proposition claire, simple et efficace.

2007-03-14 14:58:17 · answer #9 · answered by Anonymous · 1 0

Bien sûr bien sûr, c'est de notoriété publique que le PS prône une économie libérale mdr

2007-03-14 14:56:46 · answer #10 · answered by yanluowang 5 · 3 2

Voici ce qu'en pense le "Journal du Mardi", hebdomadaire francophone de Belgique :

Vieille rengaine

Bayrou, actant la mort du gaullisme social et surfant sur la méfiance qu’incarne la droite décomplexée incarnée par Nicolas Sarkozy, a donc choisi d’aller chasser sur un terrain où le PS fait preuve d’une grande timidité programmatique. L’UDF voudrait retrouver au moins le rôle de parti-pivot que jouaient ses prédécesseurs démo-chrétiens du MRP sous la quatrième République. D’où ses appels à dépasser les clivages historiques. Mais la rengaine n’est pas neuve. D’autres, soit dit en passant, comme Jean-Marie Le Pen dans les années 1980, avaient pris comme slogan « ni droite, ni gauche, Français », renvoyant ainsi les deux camps dos à dos. Bayrou n’est évidemment pas Le Pen, mais il joue dans le même registre, celui de la crise profonde du politique et de l’alternance. Son credo, à ce grand catholique ? Les Français en en assez de voir les socialistes succéder à la droite et vice-versa sans que les choses ne changent en mieux. Le constat ne manque pas de pertinence. Il remonte à 1983 et au tournant de la rigueur gaillardement emprunté par Michel Rocard sous la présidence Mitterrand.

Sauf que personne ne pourrait faire la démonstration que, sur le fond, les propositions de M. Bayrou diffèrent de celles de la droite. Il a beau plaider pour une « social-économie », « ni le cliché, ni la sémantique n’ont fait illusion » notait justement Le Soir au lendemain de la présentation de son programme. « C’est un programme marqué à droite que ‘le troisième homme’ de la présidentielle a décliné. » De fait. Son cheval de bataille ? La réduction à zéro des déficits publics, en obligeant « tous les gouvernements successifs à assumer les dépenses courantes de l’Etat sans emprunter. » Comment ? La baisse de l’impôt et des cotisations patronales ira de pair avec une « remise à plat » de la «structure publique ». Bayrou entend donc mettre la fonction publique au pain sec et exigerait des fonctionnaires « un effort de productivité de 2% par an. »
L’emploi ? Un dispositif évalué à six milliards d’euros permettrait « à chaque entreprise, quelle que soit sa taille, de créer deux emplois nouveaux sans charges pendant cinq ans. » On peut rappeler que la baisse des charges patronales a déjà coûté 22 milliards à l’Etat français en 2006 sans favoriser la création d’emplois. Le temps de travail ? Les heures supplémentaires seraient majorées de 35% « afin d’inciter ceux qui veulent gagner plus à travailler plus » mais les surcoûts patronaux seraient déduits des charges. Et les 35 heures devraient être renégociées « branche par branche, car les contraintes horaires ne sont pas les mêmes d’un secteur d’activité à un autre. » Et, tout comme Nicolas Sarkozy, Bayrou se prononce pour « un contrat de travail unique », certes « à droits renforcés dans le temps », mais qui fragiliserait la sécurité de l’emploi. Les retraites ? Là encore, nouveau recul dans les acquis sociaux liés à la pénibilité du travail et des pensions à la carte. Par contre, pas question d’une augmentation du salaire minimum car « cela pourrait entraîner des pertes d’emplois. » Dans le même temps, M. Bayrou considère que l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF) « a fait du tort à la France. »

Bref, tout en prétendant donner des gages aux électeurs de gauche, M. Bayrou reste pleinement fidèle à l’orthodoxie libérale. Il entend créer « un climat fiscal, social et administratif favorable » avant tout aux entreprises et au patronat. Au nom de la « social-économie ». Bayrou recycle le programme de Sarkozy. Tel est son sens des « valeurs » proposées au peuple de gauche.


Voilà qui vous éclairera, du moins, je l'espère ...

2007-03-14 15:10:36 · answer #11 · answered by Rose B 2 · 0 1

fedest.com, questions and answers