Si on se met à nous analyser à l'infini nous pouvons tomber dans un engrenage insurmontable. D'abord parce que nous découvrirons beaucoup de failles, beaucoup de contrastes, qui peuvent nous mener jusqu'à la perte de l'estime de soi, jusqu'à la perte d'identité. Ceci peut nous conduire aussi à un nombrilisme exacerbé qui fait de nous des gens exagérément introvertis jusqu'à devenir insociable. Trop penser à son identité c'est prendre avec son âme des risques misérables qui peuvent mener à la démence.
2007-03-16 06:39:13
·
answer #1
·
answered by myriam 7 2
·
0⤊
0⤋
ben tant que l'homme ne se reconnait pas comme dieu il tourne en rond en quête de lui-même ! alors vaut-il mieux tourner en rond sur la roue de la vie qu'on appelle samsara dans certaines cultures ou craindre pour sa santé mentale ?... c'est exactement pareil, parce que craindre la folie c'est continuer à tourner en rond !
2007-03-14 14:21:05
·
answer #2
·
answered by maricimaraj 7
·
1⤊
0⤋
Si l'on se met à penser son identité,on ouvre une boite de pandore qui peut mener à la folie car la profonde connaissance de son identité nécessite aussi la connaissance des autres identités. Le moi ne peut se reconnaître efficacement que grâce à la médiation de l'autre qui lui-même est difficilement connaissable. Ce qui peut rendre fou est donc la nécessité de nous connaître en connaissant les autres tache difficile n'est -ce pas?
2007-03-14 02:25:46
·
answer #3
·
answered by jean josehp d 1
·
1⤊
0⤋
oui et non...
comme tjs je suis d'une clarté à tte épreuve!
oui car nous savons tous que de réfléchir à qui nous sommes "vraiment" etc nous rend svt mal et qu'on en devriendrait fou si c'était notre unique pensée ou source de réflexion.
et non, car penser un peu à qui nous sommes en tte humilité et ss fausse modestie peut aussi nous prouver que l'on n'est pas si "..." que ça!
prends ta vie, ce que tu as fais de bien et de nul... ce dt tu es fiere et ce que tu regrettes... rien ne sert d'aller trop loin ds les pourquoi du comment, le résultat c'est honnêtement toi et maintenant.
qui es tu? certainement qqun de bien et plein de ressources d'après ce que j'ai lu de toi alors que tu répondais à une autre question
ms c'est vrai que là où tt se complique c'est qd la question est vraiment "qui suis je"...
2007-03-14 00:46:18
·
answer #4
·
answered by ShAnKa 6
·
1⤊
0⤋
Le soi indique le sujet de l’identité, c’est-à-dire ce qui est le même, quelque soit le changement : en sanskrit âtman, en grec auto, comme dans autoréférent. Être soi s’oppose à ne pas être soi, comme la possession de soi (de sa conscience, de ses moyens, de son intégrité, de sa volonté etc.) s’oppose à la dépossession de soi (idem de sa conscience, de ses moyens, de son intégrité, de sa volonté .). La distinction peut s’entendre aussi comme être soi ou bien devenir autre, ou encore rester soi-même et devenir différent, devenir autre au point que celui qui me connaissait autrefois ne me reconnaît plus, ou que celui qui croyait en moi considère que j’ai tellement changé dans mes conviction que je ne suis plus le même.
Le soi indique le sujet de l’identité, c’est-à-dire ce qui est le même, quelque soit le changement : en sanskrit âtman, en grec auto, comme dans autoréférent. Être soi s’oppose à ne pas être soi, comme la possession de soi (de sa conscience, de ses moyens, de son intégrité, de sa volonté s’oppose à la dépossession de soi (idem de sa conscience, de ses moyens, de son intégrité, de sa volonté etc.). La distinction peut s’entendre aussi comme être soi ou bien devenir autre, ou encore rester soi-même et devenir différent, devenir autre au point que celui qui me connaissait autrefois ne me reconnaît plus, ou que celui qui croyait en moi considère que j’ai tellement changé dans mes conviction que je ne suis plus le même.
2007-03-14 01:09:20
·
answer #5
·
answered by ? 7
·
0⤊
0⤋