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voila je trouve les gens assez lache quand c est lepen ohhhh le lache quand c est bayrou ohhh le brave homme est ce vous merité des baffe ??? loll je sais allez y mon dos et blindé loll

2007-03-13 05:41:28 · 9 réponses · demandé par Anonymous dans Politique et gouvernement Élections

9 réponses

Tu as du t'en prendre des baffes avec ton prof de français !

2007-03-13 05:45:46 · answer #1 · answered by alwena 4 · 1 0

Tu n'as pas tort Pareil pour N.S à qui on reproche l'histoire de la racaille et du karcher. Les à -priori ont la vie dure chez les obstinés qui ne pensent que par médias interposés!!

2007-03-13 12:46:55 · answer #2 · answered by Arachné sur la toile (2) 4 · 1 0

le pen s'en est prit a une femme de mémoire et avec une autre violence....tu vois la nuance ou pas ? surement pas d'ailleurs.

2007-03-13 12:44:36 · answer #3 · answered by nouvelledonne2012 4 · 1 0

quand Bayrou a donné une baffe c'est parce
QU'UN GAMIN LUI FAISAIT LES POCHES...
pour Lepen ce serait le contraire, c'est lui qui ferait les testaments de pauvres vieux à son avantage
Et peut être que si les vieux rechangeraient au dernier moment
leur testament , ils risqueraient de ramasser des calottes de la part de ses sbires...

On devrait connaitre l'argent du travail et l'argent tombé...
Pauvres temoins de Jehovas , secte de tous les maux

2007-03-13 12:57:15 · answer #4 · answered by distef2904 3 · 1 1

Si pour vous, coller une baffe à un gosse qui vous fait les poches c'est pareil que tabasser une femme au milieu de la rue, bravo !

sinon j'ai récupéré ça sur wikipédia :

Condamnations
- Janvier 1960 : condamné pour des menaces de mort proférées à l’encontre d’un commissaire de police (Le Monde, 21 janvier 1992).
- 27 avril 1964 : condamné pour coups et blessures volontaires (Le Monde, 21 janvier 1992).
- 16 janvier 1969 : condamné à trois mois de prison avec sursis et 20 000 F de dommages et intérêts pour coups et blessures volontaires par le Tribunal de grande instance de Paris (Le Monde, 21 janvier 1992).
- 14 janvier 1971 : reconnu coupable par la Cour de cassation d'« apologie de crime de guerre ». La pochette d'un disque édité par la Serp affirmait : « La montée vers le pouvoir d'Adolf Hitler et du Parti national-socialiste fut caractérisée par un puissant mouvement de masse, somme toute populaire et démocratique, puisqu'il triompha à la suite de consultations électorales régulières, circonstance généralement oubliée. »
- 11 mars 1986 : condamné au franc symbolique pour « antisémitisme insidieux » (peine confirmée en appel le 9 juillet). Jean-Marie Le Pen s'en était violemment pris à des journalistes juifs ou d'ascendance juive : « Je dédie votre accueil à Jean-François Kahn, à Jean Daniel, à Yvan Levaï, à Elkabbach, à tous les menteurs de la presse de ce pays. Ces gens-là sont la honte de leur profession. Monsieur Lustiger me pardonnera ce moment de colère, puisque même Jésus le connut lorsqu'il chassa les marchands du temple, ce que nous allons faire pour notre pays. » Et il leur accordait comme circonstance atténuante de n'avoir « appris le français que récemment ».
- 27 mars 1986 : reconnu coupable d'apologie de crimes de guerre dont la déportation pour l'édition d'un disque sur lequel on peut entendre « un hymne du parti nazi » et « Vive Hitler ».
- 16 novembre 1987 : condamné à 3000 F d'amende et 8000 F de dommages et intérêts à verser au Mrap pour « provocation à la haine, la discrimination et la violence raciale » par le Tribunal de Paris à la suite de la distribution d'un tract lors des élections municipales de 1983. Condamné lors du même procès à 5 000 F d'amende pour « provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence raciale » pour ses propos lors d'une l'émission du 14 février 1984, selon lesquels « le monde islamo-arabe » constituerait un « danger mortel ». Peines confirmées par la Cour d'appel de Paris (11ème chambre) le 29 mars 1989.
- 8 juin 1993 (pourvoi n°89-83298) : Cassation partielle de l'arrêt de la cour d'appel de Paris du 29 mars 1989 en ses dispositions portant condamnations pénales et civiles du chef du délit de provocation à la discrimination raciale. Pour la cour d'appel, Le Pen
« met l'accent sur le "monde islamo-arabe qui actuellement pénètre dans notre pays" et le "danger mortel" pour les français de se voir ainsi "colonisés" ; que de tels propos sont de nature à créer dans l'esprit des français l'idée qu'ils sont menacés dans leur identité même par la présence sur leur territoire de musulmans venant du tiers monde, à faire naître envers ce groupe déterminé, à raison de sa religion des réactions de rejet et à provoquer des actes discriminatoires voire de violence »

alors que pour la Cour de cassation,
« les expressions reprochées au demandeur ne désignaient aucune personne ou aucun groupe de personnes autre que des populations étrangères indéterminées, n'étaient de nature à inciter le public ni à la haine, ni à la violence, ni à la discrimination raciale et n'avaient pas dépassé les limites du droit à la libre expression sur le phénomène de l'immigration, la cour d'appel a dénaturé les propos incriminés et fait une fausse application de l'article 24 alinéa 6 de la loi du 29 juillet 1881 »

- 23 mai 1991 : condamné par la Cour d'appel de Lyon pour « utilisation du terme SIDA pour stigmatiser l'immigration qui représenterait un danger aussi grave que la maladie porte une atteinte intolérable à la dignité des malades, qui ont droit au respect et à la solidarité et également une atteinte intolérable à la dignité des populations immigrées ».
- 18 décembre 1991 : condamné par la cour d'appel de Versailles pour « banalisation de crimes contre l'humanité » et « consentement à l'horrible » pour avoir déclaré : « Je me pose un certain nombre de questions. Je ne dis pas que les chambres à gaz n'ont pas existé. Je n'ai pas pu moi-même en voir. Je n'ai pas étudié la question. Mais je crois que c'est un point de détail de l'histoire de la Seconde Guerre mondiale. [...] Si, c'est un point de détail ! Voulez-vous me dire que c'est une vérité révélée à laquelle tout le monde doit croire, que c'est une obligation morale ? Je dis qu’il y a des historiens qui débattent de ces questions. »
- 27 mai 1992 : condamné pour « diffamation » par le tribunal de grande instance de Paris à 1 F symbolique de dommages et intérêts à Jean-Christophe Cambadélis. Jean-Marie Le Pen avait qualifié le député PS d'« ancien — ou toujours — trotskiste, et ami des organisations terroristes allemandes » (Le Monde, 7 juin 1992).
- 3 juin 1993 : condamné à 10 000 francs (1 524 euros) d'amende par la Cour d'appel de Paris « injure publique » au ministre de la Fonction publique de l'époque, Michel Durafour, appelé « monsieur Durafour-crématoire » (Le Monde, 5 juin 1993). Le 7 décembre de la même année, la Cour de cassation a rejeté son pourvoi.
- 8 novembre 1995 : condamné à un redressement de 1,4 million de francs pour « oublis de plus-value boursière et sous-estimation de loyer ».
- 15 novembre 1996 : condamné le tribunal de grande instance de Mont-de-Marsan à 10 000 F de dommages et intérêts pour avoir tenu des propos ayant « gravement porté atteinte » au président du tribunal d'Auch (Le Monde, 17 novembre 1996).
- 6 janvier 1997 : condamné à 6 000 F d'amende et 1 F symbolique de dommages et intérêts par le tribunal de Strasbourg pour avoir qualifié l'association Ras l'front de « mouvement de tueurs de flics ».
- 4 juillet 1997 : condamné à 5 000 F d'amende par la 17e chambre du tribunal de grande instance de Paris, pour avoir traité le président de SOS-Racisme, Fodé Sylla, de « gros zébu fou » lors d'une conférence de presse (Le Monde, 6 juillet 1997).
- 26 décembre 1997 : condamné à 300 000 F de consignation pour diffusion du jugement dans des journaux, à verser entre un franc symbolique et 5 000 F de dommages et intérêts à onze associations plaignantes, et à payer leurs frais de justice par le Tribunal de Nanterre pour « banalisation de crimes contre l'humanité, consentement à l'horrible », pour avoir dit lors d'une conférence de presse en compagnie de Franz Schönhuber, le 5 décembre 1997 à Munich que « dans un livre de mille pages sur la Seconde Guerre mondiale, les camps de concentration occupent deux pages et les chambres à gaz dix à quinze lignes, ce qui s'appelle un détail ». Le 10 septembre 1999, la cour d'appel de Versailles confirme la peine (Le Monde, 15 septembre 1999).
- 2 avril 1998 : condamné à deux ans d'inéligibilité (réduits à un an par la cour d'appel, qui ajoute 8000 F d'amende) et trois mois de prison avec sursis par le Tribunal correctionnel de Versailles pour « violences en réunion » et « injures publiques » (faits requalifiés par la Cour d'appel en « violences sur personne dépositaire de l'autorité publique dans l'exercice de ses fonctions ») pour avoir agressé la maire et candidate socialiste Annette Peulvast-Bergeal (qui portait son écharpe d'élue) lors des législatives de 1997.
- 9 septembre 1998 : condamné au franc symbolique pour avoir présenté une tête en carton à l'effigie de Catherine Trautmann lors d'un meeting du Front national en mai 1996. Le tribunal parle d'« mise en scène macabre et choquante évoquant l'image de la mise à mort par décapitation visant d'une manière certes symbolique mais intolérable à l'élimination de l'intéressée », et estime que « l'agressivité de cette mise en scène est de nature à susciter envers Catherine Trautmann un climat d'hostilité excédant les limites admissibles d'un débat d'opinion dans une société démocratique » (Le Monde, 1er octobre 1998).
- Novembre 1998 : condamné par le tribunal de grande instance de Nanterre à 10 000 F de dommages et intérêts à l'Union des étudiants juifs de France pour avoir déclaré « Je crois à l'inégalité des races », lors de l'université d'été du FN, le 30 août 1996 (Le Monde, 27 novembre 1998).
- 10 juin 1999 : condamné à 12 000 DM (environ 6 000 €) d'amende par le tribunal d'instance de Munich pour incitation à la haine raciale et apologie de crime de guerre, i.e. « le point de détail » (MRAP, avril 2002)
- 2 avril 2004 : Le tribunal correctionnel de Paris a condamné Jean-Marie Le Pen à 10 000 euros d'amende pour provocation à la haine raciale, en raison de propos tenus l'an précédent dans une interview au quotidien Le Monde (il avait déclaré notamment « Le jour où nous aurons en France, non plus 5 millions mais 25 millions de musulmans, ce sont eux qui commanderont. Et les Français raseront les murs, descendront des trottoirs en baissant les yeux. »). Jean-Marie Le Pen devra également verser 5 000 euros de dommages et intérêts à la Ligue des droits de l'homme et la même somme à la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (Licra), qui étaient parties civiles. Décision qui sera confirmée le 11 mai 2006 par la chambre criminelle de la cour de cassation.


Il aurait du être inelligible depuis longtemps !!!

2007-03-13 12:56:53 · answer #5 · answered by Teo Toriatte 7 · 0 1

Pas faux, si ça avait été Nicolas, on l'aurait traité de violent. Bayrou a le droit de frapper un gamin de banlieue, alors qu'il interdisait aux profs de le faire en tant que ministre de l'Education ! Le comble.
Quelle hypocrisie et mauvaise foi !

2007-03-13 12:50:20 · answer #6 · answered by Anonymous · 0 1

Bayrou+Sarko+Sego = 3 partisans de
MAASTRICHT et de la CONSTITUTION GISCARD

Plus une voix pour leur europe de m... !

2007-03-13 12:49:41 · answer #7 · answered by Anonymous · 0 1

Je me souviens très bien des réactions à l'époque, et ce n'était pas des félicitations que Bayrou avait reçues!
Maintenant, on voit les choses différemment et je ne m'en plains pas, car, à mon sens, un petit con est un petit con, qu'il soit baffé par qui que ce soit!

2007-03-13 12:48:11 · answer #8 · answered by emmanuel p 3 · 0 1

le pen ....................quelle peine

2007-03-13 12:45:42 · answer #9 · answered by Anonymous · 0 1

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