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2007-03-13 03:57:19 · 4 réponses · demandé par maggiejolie59 2 dans Arts et sciences humaines Livres et auteurs

non je n'ai pas le livre sous le bras justement.... je dois travailler sur une traduction peu fidèle de marot et je voudrais justement voir à quel point il s'est écarté du sujet de départ et n'ayant pas le texte c'est pas évident

2007-03-13 05:53:50 · update #1

4 réponses

Va sur ce site et tu trouveras une traduction de la 1ere eglogue deVirgile:http://bcs.fltr.ucl.ac.be/Virg/buc/buc01.html

Le mieux est de la lire pour comparer avec Marot

Maintenant si tu veux parler de l'Eglogue au roy de Marot,ce n' est pas une traduction de Virgile; il ne fait que s 'en inspirer de très loin.

En fait Virgile fait dialoguer deux bergers, Tityre et Moelibée, et cela lui sert de prétexte pour faire l' éloge d' Auguste, que célèbre Tityre car il lui permet de vivre tranquillement sur sa terre. Auguste apparait comme le pacificateur qui ramène la paix après une époque troublée.

... tu vois que même sur Yahoo Q/R on trouve une réponse quoi qu' en disent certains !

2007-03-13 11:37:38 · answer #1 · answered by Hapax 2 · 0 0

Pourquoi ma Poulette puisque je suis certain que tu as le bouquin sous le coude !!!!!
Sacré vantarde, va !

2007-03-13 11:00:09 · answer #2 · answered by Livreopus 7 · 1 0

Le recueil paru en -37 se composait des neuf premières bucoliques harmonieusement disposées en deux groupes de quatre autour de la cinquième pièce comme autant de planètes gravitant autour d’un astre. Cet astre, c’est Daphnis, souvent assimilé à Jules César fraîchement assassiné, ce qui est sous-estimer gravement la subtilité virgilienne. En fait, la cinquième bucolique pourrait bien nous présenter deux « Daphnis », l’un ténébreux, celui de Mopse (masque d’Octavien), et qui figure en effet le feu dictateur, l’autre lumineux, celui de Ménalque (masque de Virgile), qui représente Catulle, secrètement éliminé par le premier.

On ne peut qu’admirer les impeccables proportions de ce petit « temple pythagoricien », pour reprendre la métaphore de P. Maury qui fut le premier à les mettre en évidence en 1944. L’architecture la plus visible, qui donc équilibre les quatre premières pièces (83, 73, 111 et 63 vers = 330) par les quatre dernières (86, 70, 110, 67 vers = 333) autour du pivot central (90 vers), se redouble d’une autre, plus secrète, qui les couple par cercles concentriques (I + IX ; II + VIII ; III + VII ; IV + VI), lesquels correspondent à des thèmes (malheurs des paysans expropriés ; tourments de l’amour ; joutes poétiques ; élévation au niveau universel et cosmique) autant qu’à des formes (alternance de dialogues et de chants continus), et obéissent aux mêmes proportions numériques que dans la première architecture, soit : I + IX + II + IV (333 vers), face à III + VII + IV + VI (330 vers).

2007-03-13 11:04:00 · answer #3 · answered by ? 5 · 1 2

Non, je peux pas, je ne l'ai pas lu. Mais ne comptes pas sur les Q/Ristes pour répondre à ta questin.

2007-03-13 11:11:32 · answer #4 · answered by Hannibal 6 · 0 2

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