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24 réponses

le nom on s'en fout..
que cela s'appelle police de proximité ou police des quartiers rien à cirer...
l'essentiel c'est que nous ayons des commissariats dans chacun des quartiers et que ceux ci fonctionnent 24/24, pas qu'ils ferment à 17h comme des fonctionnaires (pour l'instant on ne les voit que lorsque l'on n'a pas besoin d'eux, mais quand les dealers s'installent à partir de 21 h on ne voit plus un képi)

2007-03-12 21:18:58 · answer #1 · answered by qrieux1234 6 · 2 3

Oui !

2007-03-12 21:28:40 · answer #2 · answered by Anonymous · 3 0

C'est évident, lorsque des liens se tissent autre que le jeu du chat et de la souris, Que les policiers sont assez nombreux pour avoir le temps de faire connaissance avec les jeunes du quartier, de faire du sport avec eux. Tout naturellement des liens se créent et si un jeune appelle un policier par son prénom dans un jeu, c'est gagné. Il faut aussi que la police adopte les horaires des quartiers qui vivent la nuit, le matin tous les jeunes dorment

2007-03-12 21:16:08 · answer #3 · answered by Micdal 7 · 5 2

Oui, mais qui voudra l'assumer ?
Être volontaire pour se faire "caillasser"...
car contrairement à ce que j'ai lu, la police ne tourmente pas l'honnête citoyen...ça, c'est la version de certains.

2007-03-15 04:06:01 · answer #4 · answered by tittus 6 · 2 0

Oui c'est évident

2007-03-12 21:17:27 · answer #5 · answered by Crépuscule 6 · 3 1

oui , comme sa ils pourront jouer au foot avec ceux qui brulaient des voitures ya pas longtemps....

2007-03-16 06:52:22 · answer #6 · answered by Alex 4 · 1 0

Oui, bien entendu.
Et envoyer des flics non armés dans des quartiers comme St Ouin.
C’est une bonne méthode pour diminuer rapidement la lourde charge financière consécutive à la pléthore de fonctionnaires de police !

2007-03-13 22:23:33 · answer #7 · answered by Mai 68 3 · 2 1

La police urbaine de proximité est élément essentiel à la mise en oeuvre de la politique de prévention de la délinquance urbaine.

Cependant, je tiens à préciser ici que contrairement à ce qu'on peut prétendre. La police urbaine de proximité qui a été crée en 1998 n'a pas disparue. Elle subsiste mais ces missions ont été orientées vers un cadre plus répressif.

J'en veux pour preuve qu'à partir de novembre 2005, dans le cadre du « Plan banlieues », 21 des 61 unités de compagnies républicaines de sécurité (CRS) ont été redéployées dans les zones sensibles des 19 départements les plus touchés par le phénomène des violences urbaines et 2.000 Adjoints de Sécurité (ADS) supplémentaires ont été recrutés au cours de l'année 2006, pour renforcer les commissariats des quartiers dit sensibles.

Au final, cette politique représsive et assez couteuse est loin d'être efficace.

Comme le souligne ,dans un rapport de décembre 2006, le Sénat qui a mise en exergue ces carences structurelles.

Ce récent rapport de la mission sénatoriale commune d'information sur le bilan et les perspectives d'avenir des politiques conduites envers les quartiers depuis une quinzaines d'années souligne en effet que :

« cette police de proximité a été plébiscitée par les maires, ainsi que l'ont montré les résultats du questionnaire envoyé à l'ensemble des communes de plus de 10.000 habitants par la mission. Les maires ont mis en avant une « meilleure présence sur le terrain », un « dialogue plus facile avec la population », un « recueil d'informations plus ciblées, une occupation plus pertinente du territoire et un meilleur traitement d'approche des victimes ». Ils soulignent qu'elle avait le mérite de lutter contre le sentiment d'insécurité » et jouait un « rôle très positif auprès de la population et un rôle éducatif non négligeable auprès des jeunes » ».

Au regard du développement récent de violences urbaines qui ne sauraient être analysées exclusivement comme un problème de sécurité, alors que la société dans son ensemble est concernée.

Il est temps, hors de tout dogmatisme, de nous interroger sur le niveau de l'équilibre souhaitable en matière de police de proximité. Il est probable que celui-ci n'a pas encore été trouvé.

Je suis d'avis qu'une réflexion approfondie et une large concertation soient engagées, avec tout le pragmatisme nécessaire, pour fixer la place la plus adéquate qui doit être donnée à cette police de proximité qui peut s'avérer très utile et même déterminante face aux risques de conflits sociaux.

Toute politique sécuritaire repose sur l'équilibre nécessaire entre répression et prévention.

2007-03-13 12:44:04 · answer #8 · answered by Nicomaque 3 · 1 0

Est qu'il faut rétablir la police de proximité?

OUI et NON !!

Si c'est pour faire exactement la même, inutile, même si ses efforts ont été louables, les résultats n'étaient pas à la hauteur de l'investissement.

Si on crée un corps de la police de proximité comme il existe une police de la route, une police criminelle ou une police des frontières, avec une formation spécifique, une organisation spécifique et une hiérarchie spécifique, une police qui ne soit pas dépendante des brigades anticriminalités ou de la police criminelle, il y a des chances pour que ça marche.

2007-03-13 09:45:31 · answer #9 · answered by Teo Toriatte 7 · 1 0

oui

2007-03-13 03:40:20 · answer #10 · answered by ? 5 · 1 0

la police de proximité c est envoyer les policiers à l abattoir , imaginer deux ilotiers faisant la ronde la nuit dans ces quartiers c est de la folie

2007-03-12 21:17:16 · answer #11 · answered by ALAIN A 6 · 5 4

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