Un soir d'été, tranquillement allongé sur l'herbe, j'observait les étoiles et la pleine lune...j'étais en train de me remettre d'une soirée bien arrosé la veille, soirée difficile car mon foie avait absorbé autant d'alcool qu'une eponge. D'autant plus difficile que je ne me rappel de rien et que je n'ai aucune idée de l'endroit où je me trouvai au réveil, un petit chemin menant jusqu'à un petit étang bordé de chêne et de chataigner.Je pouvait sentir la rosée coulait sur mon visage et le long de mon cou. Une odeur de nature parcourait mes narines, jamais un réveil ne me laissa aussi rêveur, j'entendais les rouges gorges chanter, les canards prenaient leur bain matinale à la recherche d'un petit encas pour le petit déjeuner, au fond de la parcelle de terrain qui s'etendait devant moi,je pouvais admirer les premiers rayon de soleil traversaient les arbres et se répercutaient sur l'étang, à ce moment là, je me rendit compte que j'avais encore paumé mes lunettes de soleil. J'entrevue un cerf avec son petit mais mon haleine dû les faire fuire. Je decida de rentrer à la maison mais tout d'abord je devait retrouver ma petite voiture afin d'e me rendre chez le patissier acheter un fraisier. Arriver dans la patisserie j'observait attentivement les clients, attentif est un grand mot car je n'avais pas les yeux en face des trous et c'étaient plutot eux qui me regarder me dandinner de gauche à droite pour essayer de trouver mon equilibre. Il y avait cette grosse dame qui vivait seule dans sa petite maison et comme chaque dimanche elle prenait son Paris-Brest 12 part pour elle toute seule, son mari nous a quitter pendant la cueuillette des champignons, un arbre fragilisé par la tempête quelques mois auparavant lui tomba dessus. Et ces chasseurs qui venaient prendre plusieurs mélées(énorme pain qui pourrait nourrir l'école du village pendant 2 repas) pour le casse croûte dans leurs cabane de chasse, endroit trés rustique mais avec beaucoup d'histoire à raconter. Elle est réputée pour les discutions interminable, a savoir les apéros, mais tout le monde dans le village s'abstient de commentaire sur ses fameuses discutions car le président des chasseurs est aussi le maire depuis plus de 20ans et c'est un homme respecté. Tiens, il y avait Jeanine aussi, la doyenne du village, 97ans et un jolie dentier dont elle était en train de vanter les mérites, comme chaque semaine. Plus toute sa tête la pauvre Jeanine. Aprés avoir récupérer mon fraisier, je fit un petit détour dans le bar tabac presse du coins pour récupérer le journal du dimanche et comme toutes les semaine, 2 personnes étaient presente au comptoir, Robert et Guy. Ils sont fréres et propriétaire de la boucherie qui se situe a quelque métres de leur passe temps favori, c'est à dire, le bar. Je me demande toujours si leur boucherie ouvre dans la semaine car à chaque fois que je vais prendre un verre, ils sont toujours là, à raconter des histoires de c** de leur plus tendre enfance. Enfin que d'histoire pour expliquer la raison pour laquelle je me trouvais allongé sur l'herbe, en train de regarder la pleine lune et les étoiles...Ah oui, j'oublier, je me prenomme Thomas mais mes amis m'appelle chocolat, encore une longue histoire a vous racontez...qui sait, peut être que je le ferais un de ses jours....
2007-03-12 14:23:07
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answer #1
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answered by flippy 3
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Il était une fois, un chemin qui zigzagait sous la lune vers la fabrique de chocolat. Pour passer le temps, en chemin je mâchonnai une éponge ! Un vieux sanglier qui me regardait passé me demanda : ou va-tu ainsi petit chaperon vert ? Je lui répondit : je vais a la fabrique pour faire chocolater mon éponge. Surpris, il me proposa de faire chocolater la lune plutôt que mon éponge. C'est ennuyeux car mon éponge restera sèche et difficile a avaler lui dis-je. Fais comme je te dis, la lune sera bien meilleure a manger. Je fis comme il me dit. Le chocolatier recouvrit la lune de chocolat, la faisant devenir toute foncée. Au petit matin, alors que je me préparai a mon déjeuner chocolaté, voila que le soleil se levant, fit fondre le chocolat qui s'éparpilla dans le ciel.....
Comment suis-je arrivé si bas pour quelques points ?
2007-03-12 11:17:25
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answer #2
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answered by Gilou 5
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du haut de la lune, j'aperçois les âmes en peine errer sur les chemins de l'existence...
mon regard se fixe sur cet homme égaré, au détour d'une falaise, sur cette plage...iltient un éponge dans ses mains...il rêve...il a faim...son royaume pour un bout de chocolat...
ne ris pas biscotte!...
bonne soiree
2007-03-12 11:13:41
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answer #3
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answered by Anonymous
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La lune ressplendit par dessus les sapins,
Je la vois qui scintille, diamant dans son écrin.
La brise tardive carresse mon visage, éffleure ma peau.
J'entends tout près, le chant d'un ruisseau...
Le bruit de mes pas semble absorbé par la nuit
C'est elle qui éponge mes larmes et m'insuffle la vie
Fermer les yeux pour mieux ressentir
Toute l'harmonie que dégage la nature.
La pluie fine sur le chemin commence à venir
Pour décorer enfin l'air de mille parrures.
Les feuillages lentement bruissent autour de moi
L'épaisseur de la forêt me protège du froid.
Je me sens en osmose parfaite avec la terre.
La douleur en moi fond comme du chocolat amer.
Je ne me sens plus si seule, pour la première fois
Alors que la nuit m'est compagne et amie.
Et le silence est fidèle et me suis.
2007-03-12 12:16:00
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answer #4
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answered by Luna 5
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Une éponge à la main, elle pestait contre son fils qui venait de renverser son bol de chocolat sur "Objectif Lune" qui allait devoir prendre le chemin de la poubelle.
2007-03-12 11:20:23
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answer #5
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answered by Anonymous
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Bonsoir
J'étais sur le chemin de la maison. La lune brillait, une fois arrivée, je décidais de me faire un chocolat. Étant maladroite, je l'ai renversé. Je pris l'éponge et nettoyais la table. Je m'aperçus
que ma biscotte était toute ramollo!!!
2007-03-12 11:16:26
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answer #6
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answered by Lamiss 7 7
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C'était par une nuit sans "lune". J'avançais, seul, sur le "chemin" qui mène à la taverne du père Mathieu.
C'est alors que je la vis, telle une ombre étendue en travers de ma route.
Je m'approchai, courageusement mais prudemment, afin d'identifier cet obstacle.
C'était un ange ou du moins ça aurait pu en être un.
Je remarquai immédiatement les taches brunâtres qui maculaient son buste.
"Mais... Vous êtes blessée ?" m'écriai-je.
J'entendis alors la plus douce musique qu'il m'ait jamais été donné d'entendre.
"Non. Rassurez-vous monsieur, ce n'est que du "chocolat""
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Bon je ne sais pas où je vais là, alors je jette "l'éponge"
2007-03-12 23:07:52
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answer #7
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answered by Pépé le Moko 5
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Ma vue baisse, je chausse mes demi-lunes pour lire mon parchemin. Et soudain quel choc ! Hola, les pongistes, puis je faire une partie avec vous ?
Bises .... cotte !
2007-03-12 21:46:31
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answer #8
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answered by kariboo 7
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D'abord une phrase avec "lune" :
En voici une !
Et puis un vers avec "chemin" :
En voilà un...
Comment utiliser l'éponge ?
Voyons, j'y songe :
Pour effacer la tache, là,
De chocolat !
2007-03-12 12:35:52
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answer #9
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answered by Ajr 4
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Un soir alors que bob l'éponge regardait la lune (on essaie d'imaginer la lune dans l'océan, allez faites un effort), il rencontre son copain Patrick en chemin qui lui propose d'aller faire un casse au crabe croustillant pour faire des burgers au chocolat.
2007-03-12 11:11:01
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answer #10
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answered by Titounette 5
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Bob a épongé tout le chocolat qu'il y avait sur le chemin qui le menait à la lune.
2007-03-12 11:10:10
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answer #11
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answered by josimargot 4
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