aller, mon bonhomme, je ne suis pas du style "pistonnage", mais j'aime la poesie et aimerai me faire connaitre sur ce sujet, mais le manque de temps et autres choses, je te sors l'une de mes composition dont tu me diras des nouvelles:
La biche
Au bord de l’eau se désaltère,
Une ombre fine et allongée,
Qui de sa grâce en font rêver,
De moins gracieux et plus vulgaire.
A coup de langue en répéter,
A l’allure svelte et cadencer,
Se rafraîchie pour satisfaire,
Sa douce gorge de dignitaire.
Elle lape lape, tendre mouiller,
Et gicle et clap, fait des clics clacs,
Faisant des gouttes comme une rosée,
Qui font de l’eau trouble resac.
Les alentours sont sans présage,
D’un mauvais coup, soudainement,
Ne viennent troubler cet enchantement,
De ce repos sous les ombrages.
Pourtant l’instinct est de nature,
A ne jamais se fier aux mures,
Qu’ils soient fictifs ou de nature,
Leur vie est telle cette embrasure.
Alors pour ne prendre aucun risque,
D’un oeil alerte et attentif,
Surveille le moindre geste furtif,
Les berges sombres et roches a pic.
A chaque son des environs,
De ses oreilles en sont commun,
Mais pour une plus grande attention,
Les laissent dresser comme un mandrin.
Il n’est pas fin, celui qui feind,
Dans une approche de débutant,
De se mouvoir au grés des vents,
Pris dans le sens, reste sur sa faim.
Car pour certain, il est des sens,
Plus développer, en ces instants,
Que le sixième soit en instance,
Ne change en rien l’accoutumance.
La réaction est fulgurante,
S’élance sans feindre, sans hésiter,
Dans un mouvement ahurissant,
Pour une course non efreinner.
Auquel des choix prend le chasseur,
Arme de fer ou bien de griffes,
Qui de naguère fut le meilleur,
Le tout est bien d’être attentif.
Alors chacun prenant ses armes,
A qui des deux suivra sa proie,
De chevauchée en escapade,
Ou d’une visée de premier choix.
Elle court toujours l’ombre légère,
A perdre haleine dans les sous-bois,
Lui sert d’une cache bien peu prospère,
Mais c’est la fuite qui suit sa voix.
La délivrance n’est qu’à un pas,
De voir sa course récompenser,
Et le salut a sa porter,
Sans que nul n’est fait le poids.
Ah ! Qu’il est bon de se respirer,
Reprendre souffle et relâcher,
Ce qui pour trêve, sans s’inquiéter,
Devra sans cesse y remédier.
Mockba un jour 2000
je m'appelle Stephane Le P. et habite a Moscou.
2007-03-11 03:53:02
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answer #2
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answered by Aubain marie 2
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