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C'est ce que l'on m'a répondu ds une question précédente .
Je voudrais savoir d'où cela vient +
Quelle est votre opinion .Merci .

2007-03-11 03:21:18 · 12 réponses · demandé par valérie D 5 dans Societé et culture Societé et culture - Divers

@Nzambemp...Si tu es marié et te considère comme un chef , j'espère que au moins , un es un chef Juste .

2007-03-11 06:23:16 · update #1

...tu es un chef Juste (sorry)

2007-03-11 06:23:49 · update #2

12 réponses

Cela vient de la culture religieuse. C'est écrit dans la Bible. Les 3 religions du Livre sont donc des religions au départ mysogines. La laïcité aidant, le monde moderne qui voit travailler les femmes, les changements de moeurs, la monoparentalité, et surtout les luttes qu'ont mené les mouvements féministes et progressistes ont fait nettement progresser les choses en Occident. Aujourd'hui, ici, ça n'est plus vrai. C'est toujours vrai ailleurs ou la religion est restée prépondérante.

2007-03-11 13:56:04 · answer #1 · answered by Alex43 5 · 2 0

Foutaiseeee!!!! c'est de la connerie!! on n'as pas a obeir aux hommes et eux n'ont pas a nous obéir!! respect mutuel, confiance amour et honneteté!!!voila l'important

2007-03-11 13:35:52 · answer #2 · answered by Anonymous · 2 0

Mon opinion, chaque être né égale de l'autre... Enfin plus ou moins.

2007-03-11 03:40:10 · answer #3 · answered by Al 4 · 2 0

Du 19éme siècle. Même au début du vingtième siècle, au moment où les Féministes essayaient d'obtenir le droit de vote, c'était le discours habituel des hommes. La femme n'a pendant très longtemps eu aucun droit. Et ce, soi-disant, pour sauvegarder la famille. Même pas celui d'ouvrir un compte en banque !

2007-03-11 03:31:04 · answer #4 · answered by molinia 3 · 2 0

Elle vient des hommes en manque d assurance,qui ne savent pas vivre et respecter leur femme et qui pense qu en imposant leur desir par la force il obtiennent ce qu il veulent,mais aucun droit ,aucune religion ordonne de ce conduire de la sorte,seul l amour est garant d un échange harmonieux entre femme et homme.

2007-03-11 03:27:03 · answer #5 · answered by fidelia 4 · 2 0

"La femme doit obéissance à son mari ". Jusqu'à une date récente, le droit des femmes dans la famille fut marqué par l'esprit qui présida à la rédaction du Code civil en 1804. Toutefois, l'évolution de la condition féminine et des moeurs ont eu raison de ce Code dont les féministes, en 1904, célébraient le centenaire par un autodafé.

Le Code civil de 1804: la puissance maritale fait de la femme une mineure à vie.

En codifiant l'infériorité de la femme mariée et en proclamant son incapacité, l'objectif est de soumettre femme et enfants au pouvoir absolu du pater familias.
"La femme est donnée à l'homme pour qu'elle lui fasse des enfants. Elle est donc sa propriété comme l'arbre fruitier est celle du jardinier ", explique Napoléon Bonaparte.

Une femme perd, lorsqu'elle se marie, une partie de ses droits. Elle ne peut ni témoigner ni ester en justice (faire un procès) sans le consentement de son mari. Elle doit lui demander une autorisation pour exercer une profession et il dispose du salaire de sa femme. La femme mariée prend la nationalité de son mari (jusqu'en 1927). En 1810, le Code pénal fait de l'adultère un délit - bien plus lourdement condamné pour les femmes.
C'est le règne de la double morale. L'adultère du mari n'est sanctionné que s'il est commis sous le toit familial et de façon répétée. Celui de l'épouse prise en flagrant délit est passible d'une réclusion en maison de correction. Le mari qui venge son honneur par un homicide bénéficie d'une certaine tolérance. Le publiciste Alexandre Dumas fils va jusqu'à l'y encourager par sa formule célèbre.
La crainte de voir un enfant adultérin entrer dans la famille, par la femme "fautive", est une hantise masculine que l'on retrouve dans le théâtre et la littérature. En revanche, la plupart des législateurs sont violemment opposés à la recherche de paternité qui autoriserait les "filles séduites" à demander réparation au père de leur enfant naturel.
Le divorce, institué sous la Révolution, est interdit en 1816.
A la fin du XIXème siècle, avec le développement industriel, l'incapacité de la femme mariée devient gênante, au moins en ce qui concerne le travail. Ceci, conjugué à une mobilisation féministe grandissante, conduit à remanier le Code.

Sur le chemin de l'égalité: de la réforme du Droit à " la force des vieilles habitudes".

La femme aujourd'hui n'est plus "en puissance de mari", la loi de 1938 ayant aboli cette notion.

Le mariage est une association dans laquelle chacun des membres a les mêmes droits. Pour arriver à ce statut égalitaire, il a fallu plus d'un siècle et une succession de petites et grandes réformes.
Parmi les premières, le droit pour les femmes de disposer librement de leur salaire (1907). Revendiqué pendant 15 ans par le groupe féministe L'Avant-Courrière, cette loi ainsi que celle de 1897, qui autorise les femmes à témoigner dans les actes d'état-civil ont été préparées par Jeanne Chauvin, la première avocate française. En 1905, les femmes mariées peuvent ester en justice sans le consentement de leur mari. En 1920, le sénateur Louis Martin dépose un projet de loi en faveur de l'égalité civile. Il est rejeté en 1922. Une femme mariée peut obtenir un passeport sans autorisation en 1937.

Une première modification du statut de la femme mariée est enfin adoptée en 1938.
La loi de 1942 la complète en autorisant l'épouse à gérer ses biens propres. Ce n'est toutefois qu'à partir de 1965 que l'édifice patriarcal qu'est encore la famille est véritablement ébranlé.

L'autorité parentale

En 1970, le père n'est plus chef de famille : l'autorité parentale est conjointe quand les parents sont mariés, exercée par la mère seule quand ils ne le sont pas et qu'ils ont tous les deux reconnu l'enfant. Le symbole est puissant. Les enfants légitimes et naturels ont les mêmes droits à partir de 1972. En 1975, les époux peuvent avoir deux domiciles différents. En 1987, I'exercice conjoint de l'autorité parentale est favorisé. Puis la loi de 1993 fait de celle-ci la règle de droit commun en cas de divorce, de séparation et, à certaines conditions, de concubinage.

2007-03-11 03:26:22 · answer #6 · answered by Anonymous · 2 0

Ben ...... sûrement des hommes . Pas des femmes .

Et les hommes se font donner un coup de main par Dieu pour enfoncer le clou , que les femmes n'aient pas l'idée de contester cela , puisque c'est "divin" .
Et la boucle est bouclée . Toutes les religions monothéistes (je ne connais pas les autres , mais ça ne doit guère être différent)entérinent ce sexisme - machisme .

2007-03-14 09:33:57 · answer #7 · answered by michel 3.1416 6 · 1 0

En fait,c'est la femme qui décide et choisi dans un couple,en faisant croire à son partenaire qu'il est le maître du jeu...
enfin,pour moi,c'est comme ça (j'adore mon mari).
ps:les nanas,vous laissez pas faire,après,c'est trop tard!

2007-03-11 22:14:18 · answer #8 · answered by Libellule 3 · 1 0

Cela vient du passé, quand la femme était considérée comme inférieure à l'homme, ce qui est toujours le cas dans certains endroits.
Mais en France, tu n'es pas obligée d'obéir à ton époux. S'il essaie de t'y forcer, tu peux t'en aller. Tu en as le droit.
L'esclavage a été abolie.

2007-03-11 03:25:55 · answer #9 · answered by Story 6 · 1 0

de toi quand tu sera mère d'un fils!

2007-03-11 05:03:17 · answer #10 · answered by Z'Goum 4 · 1 2

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