Horreur puante
La journée doit être belle, c’est le mariage de ma fille.
Comme elle est jolie dans sa longue robe de mariée.
Son mari est un beau garçon qui vient de Manille.
Costume gris clair, cheveux noirs plaqués et gominés.
Ils sont très beaux tous les deux, leur entente est parfaite.
Le mari asiatique fait preuve d’une bonne impression.
D’un comportement sérieux. Pendant toute la fête.
Et Il nous dégage une grande classe, qui efface tous soupçons.
Mais les festivités terminées nos opinions.
Changeront, en effet en observant de plus près.
Le marié semblait être chef d’une organisation.
Mais laquelle? nous allons être assez tôt renseignés
En moins d’une heure, toute notre famille était rassemblée.
Dans une salle en sous-sol et des gros chinois, têtes rasées.
Vêtus de blouses vertes, nous emmenaient à coté.
Là, je devenais tout blême, affolé, horrifié.
Une vraie boucherie, personne n’a vu un tel carnage.
Horreur, ma fille dans un escalier était là, seule.
Elle était impliquée là-dedans, j’avais la rage.
Ils m’allongent de suite sur un brancard à raz du sol.
A gauche, l’escalier, ma fille n’y était déjà plus.
A ma droite, tous liés sur des brancards, c’est immonde.
Mon frère est à côté, nous sommes à raz du sol, nus.
Et les chinois commencent à étriper tout le monde.
Tous les ventres sont ouverts, à nu les tripes à l’air.
Je n’ai jamais vu autant d’organes, de boyaux.
Ma famille est encore intacte. Je les vois faire.
Le sang inonde toute la salle, il monte, il monte.
Je le sens, il pue, il me dégoûte il me fait peur.
Ce n’est pas vrai, ils font des merguez avec leurs boyaux.
C’est un commerce, je vis un long moment d’horreur.
Ils charcutent tous ces pauvres gens comme des pourceaux.
Personne n’est endormi mais pourtant c’est le silence.
Ils s’approchent de moi avec leurs outils, des couteaux.
J’ai peur ! c’est à mon tour de me faire ouvrir la panse.
Je tremble, je suis horrifié, ils vont me faire la peau.
Du haut de l’escalier ma fille apparaît, elle crie.
« Non pas ma famille, je t’en supplie, pas mes parents».
Son mari ne veut rien entendre. Elle le supplie.
Il la frappe, je la voie tomber dans le bain de sang.
Sa jolie robe de mariée devient vite rouge sang.
Je voyais son joli petit visage se noyer
Dans cette immense et profonde marre de sang puant.
Oh non ! mon petit ange, tu n’as même pas appelé.
Je ne pourrai jamais définir cette souffrance.
Son beau petit visage disparaître devant moi.
Mais arrive mon ami Michel, tiens, la délivrance.
« prends ça serre le fort dans ta main et cours, sauve toi ».
Je plonge ma main dans le sang et sors ma fille vivante.
Michel avait libéré tout le monde, à l’heure.
je serre très fort le dé qu’il m’avait dit de prendre.
Nous courrons, nous courrons, c’est fini mais quelle horreur
2007-03-11 00:37:34
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answer #1
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answered by exbiker 7
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Tu veux dire un cauchemar qu'on a fait et qui s'est réalisé? Quand mon neveu est né, j'ai rêvé qu'il mourrait. Et il est mort à l'âge de 1 an. L'horreur pour toute la famille.
Pourquoi un pouce en bas?
2007-03-11 08:34:29
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answer #5
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answered by maryl 5
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J'ai rêvé que je perdais l'un de mes proches... Toute la nuit, ce cauchemard m'a tourmentée... Le lendemain matin, j'apprenais que cette personne était brutalement tombée malade... Dans la journée, elle s'éteignait.
2007-03-13 18:28:23
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answer #7
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answered by Anonymous
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