est-il vrai qu'il y a un plan anticipé de départ à la retraite à EDF?

Question

certains partiraient à 50 ans ( qq uns à 48 ans )
si celà est vrai il y vraiement deux frances et le gouvernement aurait encore menti.
les fonctionnaires et assimilés ( sncf, FT, BDF, EDF..) et des cons comme moi 56 ans, en fin de droits sans ass qui ne cotisent plus et dont la retraite est à 63 ans ( dixit cramco)

Answer 1

LA REVOLUTION PAR LES URNES S’ IMPOSE, SINON PLUS RIEN N’A ESPERER !
Le texte :
Ces mêmes députés qui estiment que l'AAH (610 €/mois) et le minimum vieillesse (365,97 €/mois) permettent de vivre correctement, prennent tout particulièrement soin d'une catégorie très particulière de chômeurs potentiels et de pauvres virtuels : eux-mêmes, après les élections.
Le Canard enchaîné du 7 février 2007 nous apprend en effet que Jean-Louis Debré, le président de l'Assemblée nationale " (probable prochain Président du Conseil Constitutionnel) a décidé de soigner les députés battus devenus chômeurs en juin prochain. Ceux de 2002 - une trentaine - avaient continué de bénéficier durant un semestre de leur indemnité de député (5177 euros nets soit 6 952, 91 € brut). Juste le temps de retrouver du boulot. Grand seigneur avec l'argent de l'Assemblée, le député de l'Eure a décide de faire passer le nombre de semestres de un à dix ! Soit cinq ans."

Cinq ans. La durée d'une législature. Bref, un traitement qui, même dégressif, permet d'attendre sereinement les prochaines élections.
Revenus dans l'hémicycle, il leur faudra déterminer s'ils augmentent ou s'ils diminuent l'AAH, l'ASPA ou le RMI de 10 ou de 20 euros.
Revenus dans les medias, il leur faudra de nouveau expliquer que la France est freinée par tous les improductifs, ces chômeurs tous fainéants, ces vieux tous dépendants, ces étrangers tous polygames, ces travailleurs arrêtés tous faux malades, etc.
POST A DIFFUSER PARTOUT EN France
Non au hold-up sur nos retraites !
Au nom de la « compensation démographique » et sous couvert de solidarité entre les différents régimes de retraites, le gouvernement s’apprête à faire main basse sur plus de 900 millions d’euros appartenant à la CNAV afin de se décharger d’une partie des subventions astronomiques qu’il verse aux régimes spéciaux.
C’est d’autant plus inadmissible que :

- 1. Le Fonds de Solidarité Vieillesse doit 5.6 milliards à la CNAV .

- 2. Le Fonds de Réserve des Retraites a été systématiquement pillé pour financer des projets électoralistes à courte vue, comme la mise en place des 35 heures...

- 3. A compter de 2003, le décompte des effectifs a changé et les chômeurs et les préretraités ont été intégrés dans les cotisants de la CNAV qui, du coup, a dû participer davantage à la compensation. Pour elle, surcoût 830 M d’€ ! Pour l’Etat, réduction 300 M d’€ pour le régime des fonctionnaires ! L’opération, répétée chaque année, atteint au total plus de 3,7 milliards d’euros !

- 4. La CNAV est dans le rouge depuis 2003. En 2006, elle a dû emprunter 2,4 milliards d’€ et en empruntera 3,5 milliards en 2007…

Les politiciens nous répètent qu’il va falloir encore nous serrer la ceinture. En fait, c'est pour garantir les retraites dorées d’EDF-GDF ou celles des agents de la SNCF qui partent à la retraite à 55, voire à 50 ans, après avoir cotisé moins, pendant moins longtemps, et qui auront touché en moyenne plus de 122 000 € avant même qu’un retraité du privé ne touche le moindre centime !

De telles ponctions ne pourraient pas avoir lieu si les actifs et retraités du privé étaient au courant de ce que recouvre réellement la compensation démographique.

Le débat doit être porté au cœur de la prochaine élection présidentielle.
Car l’inégalité des retraites en France est flagrante entre le public et le privé. Les ¾ de l’impôt sur le revenu servent aujourd’hui à financer les retraites privilégiées des fonctionnaires et celles des bénéficiaires des régimes spéciaux. Un chiffre qui va exploser dans les dix années qui viennent, faisant grimper taxes et impôts…
Il n’est pas acceptable que les actifs et retraités du privé payent.

Montant des pensions : L’écart public privé est parlant
Pour la retraite, le parlementaire paie double cotisation pendant les quinze premières années de sa carrière. Dès le premier mandat de cinq ans, un député totalise dix annuités. La pension moyenne, à partir de 60 ans, d'un député est de 2.192€ par mois, celle d'un sénateur de 3.294€ par mois.
De 509 € pour un exploitant agricole à 1 458 € pour un fonctionnaire, retrouvez le montant moyen mensuel des pensions selon les catégories.

 Sénateur : 3.294€

 Député : 2.192€

• Fonctionnaire : 1458 € (9 560 F)

• SNCF : 1 388 € (9 102 F)

• RATP : 1 603 € (10 512 F)

• Agent hospitalier ou territorial : 1000 € ( 6 564 F)

• Salariés du privé : 899 € (5 897 F)

• Artisan : 640 € (4 200 F)

• Commerçant : 595 € (3 902 F)

• Exploitant agricole : 509 € (3 336 F)

Qu’une commission d’enquête parlementaire soit ouverte pour contrôler la gestion de toutes les caisses de retraites.
Les retraités sont en droit de savoir où passent leurs cotisations. Seule leur mobilisation massive pourra empêcher ces "arrangements" avec les syndicats.
Comment une caisse de retraite agit comme bon lui semble sans se soucier des cotisants.

Answer 2

C'est maintenant que tu te réveilles?! La France à deux vitesses existe depuis un sacré bout de temps.

Answer 3

Il y a effectivement les fonctionnaires nantis , les aristos cégétistes et exploiteurs de la misère des salariés du privé et de tous les autres contribuables qui payent leur retraite ! Et en plus, ils refuseraient que leur statut d'exploiteurs soit remis en cause , on croit rêver! Tout pour eux, ce sont eux les exploiteurs et pas les entreprises du CAC40 !!!!!

Answer 4

Si cela est vrais, on ne vas pas tarder a voir cette "bombe" entrer avec fracas dans la campagne electorale, et je serais tres, tres mais alors vraiment beaucoup interesse de connaitre les commantaires de Mme Royale.

Answer 5

faux!!!

Pour Olivier g: y a aussi les imbéciles qui croient qu'en supprimant les "avantages" (lesquels,) de certains, cela les rendra + intelligents...