Bonjour Athena,
j' ai 61 ans. Sais tu qu'à mon époque, on ne pouvait accéder à la 6e que par la voie d'un concours. A minima, il fallait savoir lire, écrire et compter. Pour apprendre à lire c'était bien sûr le BA BA de Jules Ferry qui avait fait ses preuves et pour l'orthographe les bonnes vieilles dictées et l'acquisition de quelques bonnes règles de grammaire..
Toutes nos réformes imbéciles ont supprimé l'essentiel de ce qui marchait. Il ne faut pas chercher plus loin.
J'entends, on réintroduit le BA BA et le calcul mental...
Quant à la 6e, qu'attendent ils pour réintroduire un examen de passage à défaut d'un concours qui n'a plus lieu d'être.
2007-03-08 15:33:45
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answer #1
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answered by naga 7
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J'ai un grand père qui était instituteur et pour lui la suppression du certificat d'études, véritable examen de passage à l'entrée en 6ème, est une grosse erreur. Ceci contribue aux illettrés actuels mais les parents en sont responsables en grande partie. Très souvent ils ne comptent que sur l'école (quand ce n'est pas sur la télévision) pour éduquer et apprendre leurs enfants.
2007-03-08 18:51:49
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answer #2
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answered by Anonymous
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De mon temps ( ben oui, j'ai 56 ans ! ), tous les élèves ou presque, sortaient du primaire avec le certif en poche. Il correspond aujourd'hui au BEPC. Comme le disent d'autres * vieux *, on passait un concours pour entrer en sixième. Ceux qui échouaient redoublaient, s'ils échouaient après redoublement, ils allaient en apprentissage.
La méthode d'apprentissage scolaire n'était pas du tout la même, pas de méthode globale par exemple * grande formatrice d'analphabètes *, des devoirs à la maison même le week end, et six heures de cours par jour même le samedi.
Pourquoi avoir changé une institution qui remplissait totalement ses objectifs ?
2007-03-08 20:34:42
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answer #3
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answered by Atlantis 4
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peut -être car ils lisent de moins en moins chez eux et passer plus de temps devant un écran .On est tous victime .
2007-03-08 17:58:50
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answer #4
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answered by boubounette 7
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L'éducation nationale s'est beaucoup trop servi des élèves pour défendre leurs privilèges ainsi que les avoir politisé. Ils ont ringardisé " les valeurs de notre pays et ne recoivent que le mépris qu'ils méritent.
2007-03-08 16:02:13
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answer #5
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answered by Anonymous
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Les " prof. " , ne sont + ce qu'ils étaient...
2007-03-08 15:51:10
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answer #6
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answered by ? 7
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Car il est temps de revenir à l'essentiel
Je rajoute pour le pouce en bas que l'essentiel est le travail par le travail et encore la question posée est gentille car en 4ème beaucoup ont le niveau 6ème.
2007-03-11 14:24:14
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answer #7
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answered by Gui 7
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je crois qu'un de nos gros problèmes est d'avoir cessé de "montrer" à nos enfants l'intérêt de lire, écrire et maîtriser sa langue... on cherche des coupables ms on laisse les jeux vidéos prendre le pas sur la lecture, etc
le pire, c'est que pour l'instant ce sont les adultes qui se plaignent en cherchant à qui mieux mieux un coupable et en prenant comme proie (facile) la soit disant "incapacité" des nv profs! les victimes restent les enfants! ils ne s'en rendent p.être pas encore compte ms ce sont eux qui paieront l'addition et qui la paient déjà : aujourd'hui en ne développant pas assez leur imagination et/ou monde imaginaire, en ne développant par la mm aucun intérêt pr notre langue et plus tard en étant bloqués en tant qu'illettrés...
moi non plus je n'ai pas encore d'enfants dc il m'est peut être facile de parler... ms je surveillerai tt cela de prêt!
2007-03-09 01:04:49
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answer #8
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answered by ShAnKa 6
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Moi à mon avis, c'est la faute aux nouvelles technologies tels :
Jeux électroniques, TV, pc etc...Tous ces gadgets, perturbes nos gosses et les devoirs d'antan, qu'ont faisaient à la maison ont presque disparus. Les enfants ne sont plus concentrés
Sur leurs études mais sur tel ou tel jeux et sur leurs personnages.
Maintenant voici l’avis d’une enseignante :
Anne Chambovey
enseignante à l’école primaire à Collonges
Je dirais personnellement que la baisse de niveau est une réalité. Si je compare avec mes débuts dans l’enseignement, je dois être moins exigeante avec les élèves tant au niveau des maths et du français, particulièrement en lecture. A contrario, je pense que les élèves d’aujourd’hui s’expriment mieux oralement: ils osent donner leur avis et peut-être même parfois trop. Dans le domaine de l’environnement, il y a également une évolution positive. En mathématiques, les moyens actuels font faire des bonds aux élèves qui ont un esprit logique, mais pour les autres c’est plus difficile.
Une étude comparative telle que PISA me semble utile dans la mesure où l’on s’intéresse aux remédiations. Autrement, ça ne sert pas à grand-chose. Reste que pour pouvoir affirmer que le niveau baisse dans certaines matières, il me semble que les faits sont là. Concernant l’orthographe par exemple, je trouve que c’est évident.
Je suis d’avis qu’il y a une priorité à donner au français. Il est primordial que tous les élèves arrivent en 3e année en sachant lire. Le problème actuel, c’est que l’on doit aborder trop de choses sans avoir le temps d’approfondir. Selon moi, pour que le niveau scolaire s’améliore, il est essentiel que le maître redevienne le centre de l’école. Il faudrait aussi que les parents nous fassent un peu plus confiance et que tous les enfants aient un suivi à la maison. Une autre chose qui me paraît regrettable, c’est parfois le dénigrement des élèves qui se destinent à des professions manuelles. Et on oublie qu’il n’y a pas systématiquement de lien entre réussite scolaire et professionnelle.
2007-03-08 21:16:02
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answer #9
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answered by Bônois 3
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La plupart des profs sont nuls en pédagogie.
La pédagogie, c'est l'art d'enseigner, et les profs qui débutent s'imaginent avoir cette science infuse. Cela doit s'apprendre comme le reste.
L'entraînement de la mémoire fait partie de la pédagogie. On doit revenir au part coeur. Sinon pas de règle de grammaire qui perdure.
2007-03-08 16:33:41
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answer #10
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answered by Anonymous
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