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Ni celui de l'argent, d'une croyance, de la haine, la vengeance ou du "je m'en fous".

2007-03-08 14:10:04 · 3 réponses · demandé par Léopaspeur 1 dans Societé et culture Savoir vivre

3 réponses

Les pièges sont des obstacles qu’il faut apprendre à franchir, mais toi seul pourras apprendre à les franchir.
Nous somme tous guidés à nos débuts par des croyances métaphysiques qui nous sont enseignées par des parents, des amours de jeunesse et la communauté dans laquelle on est né et dans laquelle on a grandi.
Il est asse facile de se débarrasser des sentiments de haine et de vengeance qui ne font que détruire les êtres qui s’y laissent prendre.
Si tu regarde autour de toi, écoute tout les gens bon ou mauvais sans préjugés personnel et observe tous les comportements, tu sauras regarder avec un œil vrai et éviter de nombreux pièges sans te laisser influencer.
N’hésite pas à t’informer comme sur toutes sorte d’ouvrages même ceux que tu penses ne pas estimer ou contraire à ton idéologie, car ils ne peuvent que t’apporter encore plus de connaissances, ils participeront à ta propre construction personnel et t’aideront à développer une ouverture d’esprit sur un monde que tu ne soupçonnais même pas.
Quand tu sauras écouter et observer sans émotions personnel négatives tu sauras que tu as vraiment acquis ta raison, alors la satiété ne sera qu’un anciens souvenir qui te feras souvent sourire.

2007-03-09 10:35:23 · answer #1 · answered by J-P 3 · 1 0

Qui pourra vraiment prétendre connaître le chemin de la sagesse sans jamais tomber dans aucun piège ou embûche une seule fois dans sa vie et bien moins encore tout au long de son existence ? Il est aussi difficile de se voir soi-même que de regarder en arrière sans se retourner.

Par bien des chemins et bien des façons, j'ai découvert ma sagesse : ce n'est pas par une seule échelle que j'ai atteint la hauteur d'où j'ai pu plonger mon regard dans mes lointains. Et ce n'est de mauvais gré que je demandais mon chemin. Cela me contrariait toujours. Je préférais interroger et essayer les chemins moi-même.
Une tentative et une interrogation, voilà ce que fut ma marche et, en vérité, il faut aussi apprendre à répondre à une telle interrogation ! Cela est mon goût : ni bon ni mauvais, mais mon goût, dont je n'ai plus honte et je ne cache plus.

"Or ceci est mon chemin, où est donc le vôtre ?"

Voilà, ce que je répondais à ceux qui me demandaient le chemin. Le chemin, en effet, n'existe pas !

2007-03-09 14:30:50 · answer #2 · answered by Grapho 3 · 2 0

Il faut qu'elle résulte d'abord d'une conviction profonde et qu'elle soit moralement inattaquable. Ensuite il faut une décision intérieure, dont on est seul à savoir si on l'a vraiment prise. Ensuite, il faut la vigilance de toute une vie.
Évidemment, si on a pour objectif de garder le même cap toute sa vie, mieux vaut être sur que celui-ci soit le bon.
Je pense qu'une philosophie qui consisterait à "toujours être ouvert à changer de cap après une évaluation critique de la nouvelle voie proposée" en vaut une autre.
Quelques valeurs de base telle que l'honnêteté, l'humanité, l'honnêteté intellectuelle pourraient servir de base à un large éventail de voies acceptables...

2007-03-08 23:03:27 · answer #3 · answered by Taiji 5 · 0 0

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