La spécialisation est nécéssaire à tout métier.
Mais c'est vrai que la diversité des connaissances est plus appréciée : c'est la culture générale.
Il faut pour cela avoir un esprit curieux, ce que malheureusement tous les gens n'ont pas.
Je préfères donc la diversité des connaissances.
odette : t'es pas un peu hors sujet là?
2007-03-08 02:59:28
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answer #1
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answered by ACANTHASTER 7
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Diversité = plus de culture.
Combien de "Professeur Nimbus" sont complètement incultes pour tout ce qui ne ressort pas du domaine de leurs recherches!!!
2007-03-08 02:08:47
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answer #2
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answered by Anonymous
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ce que j'aime bien aussi c'est la liberté et que donc par conséquent si un homme doit se développer par choix, qu'il choisisse aussi s'il doit se spécialiser ou non,
j'en profite pour ajouter que dans le domaine de l'éducation, on va devoir abandonner l'accumulation du savoir au profit du sens de l'éducation qui consiste à apprendre à apprendre, c'est à dire à éveiller la conscience ...
eh oui ! c'est comme ça ...
2007-03-08 04:28:22
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answer #3
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answered by maricimaraj 7
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Mon cher MARICIMAR : ce n'est PAS nouveau, dans l'enseignement,- et ça date même plutôt - l'idée qu'il faut *apprendre à apprendre* : devant la somme de connaissances qui ne fait que s'accroître, c'est le seul moyen d'instruire : on apprend aux élèves à s'instruire eux-mêmes, on les guide dans leurs recherches, mais ils doivent chercher, se documenter, et l'on met ce qu'il faut ( il y a internet ! ) à leur disposition
Il faut bien sûr leur apprendre à chercher, à sélectionner, à
s'orienter dans leurs recherches , à résumer, à se servir de la documentation, etc
Mais je t'assure, ce n'est pas nouveau .
Pour répondre à la question, je suis à fond pour la diversité...
mais c'est surtout personnel : il y a tant de choses qui m'intéressent, que je suis incapable d'aller totalement à fond
dans le moindre domaine..je n'ai pas le temps - et je crois que je n'en ai pas le goût, ( paresse intellectuelle ? ) pas les possiblités ( les moyens intellectuels , donc ) je suis un peu touche à tout, et ma foi cela me satisfait assez .
J'aimerais bien sûr avoir un savoir encyclopédique plus approfondi , mais ....( voir plus haut )
Par bonheur, j'ai appris à chercher la documentation ,
j'ai "appris à apprendre " , j'ai toujours le nez dans les dicos ou les encyclopédies , ça me passionne ( même si je ne comprends pas tout et surtout ne retiens pas trop ...)
Je vois des gens très spécialisés dans leur domaine, qui n'ont pas ma "culture artistique " par exemple (( laquelle me donne de grands plaisirs ))
Je sais bien sûr que certains métiers demandent une très forte spécialisation, mais c'est dommage que le reste de la culture soit trop étrangère à ceux qui exercent ces métiers -là, je préfère ma place ..
Enfin..il faut de tout pour faire un monde !
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2007-03-09 03:21:13
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answer #4
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answered by LA Miette 6
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Instruction : des pierres dans un sac. Culture : une graine dans un pot.
Maurice Chapelan
Je choisis la graine, bien sûr!.......
2007-03-08 04:01:40
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answer #5
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answered by Eurydice 7
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Les connaissances, cela doit être comme un arbre: il faut un tronc solide, la spécialisation, mais il faut aussi beaucoup de branches, beaucoup de curiosité et d'ouverture, pour chercher la lumière.
2007-03-08 02:09:04
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answer #6
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answered by Piéranne 2
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je préfère la diversité car elle source de richesse avant tt
contrairement à la spcialisation qui peut être synonyme de limitation
cependant on ne peut trancher la question ainsi
chacunes à des qualités fondamentales que l'autre n'a pas
2007-03-08 02:06:25
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answer #7
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answered by perrin l 2
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La reconnaissance de la diversité culturelle date d’il y a peu. Le XIX ème siècle intellectuel européen était marqué par une cécité complète à l’égard de la richesse des cultures du monde. Que ce soit dans les journaux, dans le roman, l’histoire, ou dans les essais, il est extrêmement facile d’exhiber des textes à connotations racistes. Ce qui nous donne d’une certaine façon bonne conscience, car nous pensons bien être passé au-delà. Il est vrai que ce qui oblitère la vision du XIXème siècle, c’est l’identification de l’humain avec un modèle strictement occidental de culture. Par conséquent, ce qui en diffère et s’en éloigne tombe en dehors de « l’humanité ». Dans la catégorie du « sauvage », du « sous-développé » et du « barbare ». Dans le monde cosmopolite du XXème siècle, nous sommes de fait confronté avec les différences culturelles et nous sommes théoriquement beaucoup mieux préparés à accepter la diversité que ne l’était le siècle passé.
Avec l’apparition de l’anthropologie contemporaine l’idée de l’homme éclate et se voit complètement relativisée. « L’homme » n’existe pas, il n’existe que des « types culturels humains », foncièrement différents les uns des autres et dont on ne voit plus du tout l’unité sous-jacente. Aussi le problème posé, et qui revient sans cesse dans la confrontation des cultures qui est la nôtre se formule ainsi : La diversité des cultures est-elle un obstacle à l’unité du genre humain
il existe entre les sociétés humaines un certain optimum de diversité au-delà duquel elles ne sauraient aller, mais en dessous duquel elles ne peuvent non plus descendre sans danger, on doit reconnaître que cette diversité résulte pour une grande part du désir de chaque culture de s'opposer à celles qui l'environnent, de se distinguer d'elles, en un mot d'être soi ».
2007-03-08 02:40:21
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answer #8
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answered by ? 7
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