il semble qu'une vague de fond soit favorable au béarnais, et que l'UMP et le PS font feu de tout bois pour le critiquer ou tenter de discréditer sa démarche.
Mais est ce que ces critiques ne finiront elles pas par se retourner un jour contre leurs auteurs, en fin de compte, et que beaucoup d'indécis d'aujourd'hui seront, par ce fait, les votants de bayrou de demain ?
2007-03-01
05:34:13
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18 réponses
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demandé par
Alain T
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dans
Politique et gouvernement
➔ Élections
NB : je n'ai pas dit que Bayrou était un dieu, j'ai simplement dit que la stratégie anti bayrou est pour moi contre productive, et que le PS et l'UMP feraient mieux de s'inspirer de Bayrou, c'est à dire d'aller sur le terrain des propositions concrètes, et non pas des idéologies dépassées
2007-03-01
05:43:33 ·
update #1
Critiquer Bayrou c'est surtout critiquer notre futur président.
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Après ton ajout :
Le PS et l'UMP n'ont pas de propositions convenables. Leur fond de commerce c'est la gueguerre gauche/droite et les coups médiathiques.
Heureusement, les français commencent à comprendre (moi-même j'ai mis un moment avant de me dépétrer de mon enbrigadement de gauchiste... La solution est dans l'unité et non dans le conflit).
2007-03-01 05:45:02
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answer #1
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answered by Defnael 4
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Non, critiquer Bayrou c'est critiquer le choix de 17% des électeurs.... donc il y a encore de la marge
2007-03-01 13:38:43
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answer #2
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answered by Anonymous
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Déjà il n'est pas encore élu, on est en camapgne et on a le droit de critiquer...
De toutes façons, dans une démocratie, il est tout à fait possible de critiquer ses dirigeants, même si ils ont été élus légitimement...
2007-03-01 13:38:47
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answer #3
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answered by Laurent P 5
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Après dieu Sarkozy qu'il ne faut pas toucher................
Voila maintenant dieu Bayrou, si vous le critiquez vous ne respectez pas le peuple Français.....................
Ça va aller oui ?.................................
2007-03-01 13:39:07
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answer #4
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answered by AKASHA 7
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Heureusement qu'on peut critiquer Bayrou, et les français d'ailleurs, et leurs choix aussi ! ah mais, ! même si la démocratie fout le camp on n'est pas encore sous une dictature il me semble...
2007-03-01 13:43:09
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answer #5
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answered by alienor 6
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Bayrou = UDF = Droite
2007-03-01 13:38:46
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answer #6
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answered by EMC2 5
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il est pas encore elu... tiens mon clavier est devenu U.S....
2007-03-01 13:37:51
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answer #7
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answered by jean-luc p 4
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Crtiquer Bayrou, c'est admettre sa peur, son existence, pas forcemment la volonté des français.
C'est finalement lui donner du crédit.
Il faudrait se demander pourquoi il monte dans les sondages. N'est-ce pas un ras-le-bol des autres et de leur façon de faire.
Et plus ils critiquent plus ils se dévalorisent aux yeux de nombre de français.
La crtique est facile, la proposition croncrète et réaliste moins (pas la promesse démagogique ou qui prend les gens pour des imbéciles).
2007-03-01 13:44:08
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answer #8
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answered by Anonymous
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foparévé
2007-03-01 13:38:55
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answer #9
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answered by joane 6
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Faut pas generaliser bien que je le soutienne
2007-03-01 13:37:30
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answer #10
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answered by ☼ SOL INVICTUS ☼ 6
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voilà la réponse :
"lundi 26 février 2007, 22h15 Bayrou, c'est beaucoup de Pébereau, beaucoup de Barre et un zest de Pinay
Par Hervé Nathan, rédacteur en chef de Marianne.
François Bayrou a quelque chose de Clémenceau. On se souvient que le Tigre disait : « j'ai un programme, je fais la guerre ». Bayrou, quatre-vingt-dix ans plus tard dit en substance : « j'ai une politique économique : je réduis la dette ». C'est le message qu'il a voulu faire passer vendredi, lors de sa conférence de presse. La dette financière, la dette générationnelle, la dette écologique, voilà l'ennemi. La dette, la dette, la dette, il n'y a que cela qui compte. Et de ce point de vue, son message est cohérent : pas question de réduire les impôts (prélèvements obligatoires) avant quelques années, le temps de ramener le fardeau national à de plus justes proportions. Les niches fiscales plafonnées, un programme minimaliste (20 milliards d'euros, quand le PS est à 35 et l'UMP à 30 milliards), des économies identifiées : tout cela fait de Bayrou le candidat de Michel Pébereau, auteur du rapport sur le dette et président de l'Institut de l'entreprise (et du site debat2007.fr).
Mais François Bayrou, avec son scénario, accepte aussi de réduire la croissance à 2% par an. C'est peu, mais c'est logique : avec des dépenses publiques en baisse de 7 milliards d'euros pendant trois ans (c'est ce qui ressort de son cadrage budgétaire), le PIB devrait être moins dynamique de 0,5% C'est donc renoncer à lutter réellement contre le chômage. Car sans croissance, et même avec les « deux emplois sans charge », les entreprises n'embaucheront pas, ou peu. Dans ce cas, Bayrou rappelle un autre centriste : Raymond Barre. Lui aussi avait le culte de l'équilibre des comptes publics. Lui aussi avait institué des « emplois sans charge » dans les années 70-80. Le « meilleur économiste de France » avait gagné la bataille des déficits, mais il avait perdu celle du chômage. Et Giscard était apparu comme « l'homme du passif » et avait perdu les élections.
Reste à comprendre pourquoi François Bayrou, qui drague ouvertement à gauche, a pu présenter une réforme de l'ISF qui revient à diviser l'impôt sur la fortune des plus riches des français par 40, et celui des « juste fortunés » par 5 ! Là ce n'est plus Pébereau ni Barre, c'est Antoine Pinay (celui de l'amnistie fiscale et de l'emprunt gagé sur l'or et hors droits de succession…), et c'est bien dommage…
2007-03-01 13:56:23
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answer #11
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answered by coco 3
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