Waouh... c'est un truc de dingue. A la fois drôle et épouvantable. Au début, tu rigoles devant tant d'absurdité, et plus l'histoire avance, plus ton rire se coince dans ta gorge ! C'est excessivement violent... et super bien écrit. Vais peut-être lire du Palahniuk, moi.
2007-02-23 07:44:03
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answer #1
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answered by Anonymous
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Pas mal, du Palahniuk, quoi, de l'americain generation X, on retrouve l'esprit de Choke, quelque part, avec le jeu sur notre propre corps.
J'avais beaucoup aime Fight Club (le bouquin, beaucoup moins le film), j'aime beaucoup la generation X en general.
2007-02-23 15:56:17
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answer #2
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answered by Jojo 6
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Avec une vision cynique, sarcastique, outrancière, à contre-courant mais tout du moins réaliste de la société, L'AMERIQUE EN PREND POUR SON GRADE !!!
Chuck écrit à coup de lame de rasoir, sa plume griffant le papier comme un couteau déchirerait la chair. Il décrit un monde en perdition sans dieu et où les maîtres ne maîtrisent plus rien. Chuck met le doigt là où ça fait mal et fait preuve d'une volonté de dépeindre les fondements d'une nature humaine vascillante. Chuck nous emporte dans des intrigues surréalistes, mélant sexe, drogue, meutres, marqués par une prose frappé, des métaphores assassines et des idées anti-conformistes.
Son 1er texte ("Monstres Invisibles") est jugé trop trash et choque les éditeurs qui refusent de le publier. Mais Chuck ne lâche pas l'affaire est revient avec un roman encore plus trash, plus choquant, plus violent.
En 1996, contre toutes attentes le livre "Fight Club" séduit les éditeurs. Comme dans chacun de ses bouquins, "Fight Club" recèle une part d'autobiographie. L'idée des combats-défouloires lui est inspirés par un week-end en camping. Chuck se plaint de la musique trop forte des voisins. La situation dégénère en une bagarre à poings nus et Chuck se retrouve avec le visage tuméfié pendant 3 mois. De retour à son travail, il s'aperçoit que ses collègues n'ose plus lui adresser la parole et s'occuper de ce qu'il fait... Il réfléchit alors sur la liberté qu'apporte l'image de la violence. L'idée de "Fight Club" venait de naitre. Son boulot à l'hôpital dans les groupes thérapeutiques, lui inspire les groupes de soutien aux malades dont le héros du livre devient accros. Dans "Fight Club", bombe nihiliste et littéraire, l'auteur efface nos dernières illusion face à cette société pourrie jusqu'à la moëlle où la seule issue est l'autodestruction. En passant il tape sur les médias, le marketing et la publicité qui nous manipule entièrement.
Mais "Fight Club" ne se vend qu'à 5000 exemplaires l'année de sa parution. Malgré l'enthousiasme de la critique et les prix littéraires remportés (Pacific Northwest Booksellers Association), le public passe à côté. Les ventes décolleront avec l'adaptation au cinéma par le réalisateur David Fincher avec le duo Edward Norton/Brad Pitt en 1999.
Le deuxième roman "Survivant" vient confirmer l'originalité de ce nouveau talent, la cohérence de son univers et la pertinence de sa vision de la société occidentale. Au travers de l'histoire d'un rescapé d'une secte, manipulé par une prophétesse frappadingue et un agent du showbizz, Chuck impose une nouvelle fois sa critique de la société dans laquelle il vit. Une société basé sur le paraître, l'argent, la reconnaissance et le fanatisme.
2007-02-23 13:55:38
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answer #3
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answered by ? 7
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j'ai arreté par manque d'air pas par rigolade... me suis arreté ici:
En France ils ont une expression: "avoir l'esprit d'escalier." C'est quand vous trouvez quelque chose à dire, mais trop tard.
2007-02-23 13:21:12
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answer #4
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answered by mauricevlan 3
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je suis arrivé jusqu'a la
"tous les ingrédients pour un gâteau à la carotte. Et de la vaseline."
je suis trop nul
2007-02-23 11:55:04
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answer #5
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answered by Anonymous
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interressant et long
2007-02-23 11:46:15
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answer #6
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answered by Bob l'inculte 5
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tu n'as rien d'autre à lire ?
2007-02-23 12:12:17
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answer #7
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answered by Bob 2
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