_ au XVIII° comme aujourd'hui le libertinage était présent, il est certain que la "dame" préférait souvent que "monsieur" aille à la maison close de la ville que de subir ses assauts . Et la religion savait s'en accomoder, le confesseur de Louis XIV savait qu'il avait des "maitresses", mais ne condamnait pas l'attitude ...
_ hypocrisie ? bienveillance ? sans oublier que les religieux fréquentaient aussi les "maisons closes" ....
2007-02-23 00:35:18
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answer #1
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answered by caporal_epingle 6
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la crainte de Dieu et de l'enfer...mais ça n'empêchait pas le libertinage..ni les meurtres par ailleurs..!les hommes allaient souvent en maison close et leurs épouses prenaient des amants,
car d'après la mode de l'époque l'homme devait rapidement posséder sa femme pour lui faire un enfant, les caresses et autres préliminaires étaient source de péchés, car comme il se devait: UNE FEMME HONNETE N'A PAS DE PLAISIR !!!
( les imbéciles !)
2007-02-23 08:38:32
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answer #2
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answered by FRANCIS 6
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celui qui est contre l'église est tenu comme sorcier et il sera puni
la religion est dictée seulement par l'église et non plus par dieu
2007-02-24 05:34:51
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answer #3
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answered by Gazius 7
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Je te conseille avant toute chose de t'édifier en lisant les ouvrages de mon avatar, le "Divin marquis", Donatien Alphonse François de Sade (paix sur lui :-). Il y traite longuement et du libertinage et des religions, en des termes très choisis.
Pour commencer, "La philosophie dans le boudoir" et "Justine ou les infortunes de la vertu".
Un excellent ouvrage sur cet écrivain et moraliste majeur de la langue française est "La vie du marquis de Sade", par Gilbert Lely.
Féliciations pour une recherche d'une aussi haute spiritualité
2007-02-23 08:55:53
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answer #4
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answered by Quelconque 3
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Comme cul et chemise comme larrons en foire
J'ai vu se constituer tant d'associations
Mais il n'en reste qu'une au travers de l'histoire
Qui ait su nous donner toute satisfaction
Le sabre et le goupillon
L'un brandissant le glaive et l'autre le ciboire
Les peuples n'avaient plus à s'poser de questions
Et quand ils s'en posaient c'était déjà trop tard
On se sert aussi bien pour tondre le mouton
Du sabre que du goupillon
Quand un abbé de cour poussait une bergère
Vers des chemins tremblants d'ardente déraison
La belle ne savait pas quand elle se laissait faire
Qu'ils condamnaient l'usage de la contraception
Le sabre et le goupillon
Et maintes éminences et maints beaux capitaines
Reposaient le guerrier de la même façon
Dans le salon chinois où Madame Germaine
Grâce à ses pensionnaires réalisait l'union
Du sabre et du goupillon
C'était le temps rêvé de tous les militaires
On leur offrait des guerres et des expéditions
Que de manants joyeux sont partis chez Saint-Pierre
Le cœur plein de mitraille et de bénédictions
Du sabre et du goupillon
Quand ils s'en revenaient et d'Asie et d'Afrique
Ils faisaient régner l'ordre au sein de la nation
Les uns possédaient l'art d'utiliser la trique
Les autres sans le dire pensaient qu'elle a du bon
Le sabre et le goupillon
On n'sait plus aujourd'hui à qui faire la guerre
Ça brise le moral de la génération
C'est pourquoi les crédits que la paix nous libère
Il est juste qu'il aillent comme consolation
Au sabre et au goupillon
L'un jouant du clairon l'autre de l'harmonium
Ils instruiront ainsi selon la tradition
Des cracks en Sambre et Meuse des forts en Te Deum
Qui nous donneront encore bien des satisfactions
Le sabre et le goupillon
2007-02-23 08:38:34
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answer #5
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answered by bondieuseries 1
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