Selon le Figaro (mars 2004) magazine 25 à 30 % des nouveaux entrants abandonnent avant la fin de la première année et 18 % de ceux qui restent abandonnent avant la fin de la seconde année.
2007-02-22
00:22:51
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8 réponses
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demandé par
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5
dans
Éducation
➔ Études supérieures
A mily 26 : les psys ne sont pas là pour orienter les personnes ou leur donner des conseils, mais je suis ok avec toi pour les stages.
2007-02-22
00:36:34 ·
update #1
A res_pire : oui c'est vrai que le manque de moyen est aussi un facteur d'échec.
2007-02-22
00:37:21 ·
update #2
Stephane M : oui c'est vrai le bac ne sert plus à grand chose aujourd'hui, et la terminale n'aide personne à s'orienter, les journées universitaires sont insuffisantes.
2007-02-22
00:41:35 ·
update #3
A mily : je vois ce que tu veux dire c'est comme les conseilleres d'orientation .. mais à ne pas confondre avec les autres psy alors.
2007-02-24
00:36:12 ·
update #4
AJOUT pour adidifee : il existe des psychologues spécialisés dans l'orientation des jeunes. Je connais des lycéens qui sont allés en consulter. Le problème c'est qu'à l'heure actuelle ce genre de consultation est une démarche personnelle et que c'est assez couteux. C'est pourquoi je suggère l'intégration d'un psy d'orientation dans les lycées.
il faudrait instituer un passage obligatoire chez un psy spécialisé dans l'orientation afin qu'à l'issue d'un bilan individuel, il puisse dire aux lycéens pour quoi ils sont fait et vers quelles études ils pourraient s'orienter... le problème c'est que sortis du lycée, les nouveaux étudiants sont lâchés dans la nature sans informations et qu'on leur demande à 17 ans de décider de la totalité de leur avenir. Par ailleurs, l'insertion de stage pendant le lycée pourrait permettre aux jeunes de mieux appréhender le monde du travail et ce qui leur conviendrait ou pas.
2007-02-22 00:32:37
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answer #1
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answered by mily26 2
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Il y a un décalage beaucoup trop important entre la classe de Terminale et l'université. On passe de classes de 30 élèves à des promotions qui peuvent dépasser allégrement les 1000. On passe d'un système d'emploi du temps type 8h-midi 13h-17h à des horaires beaucoup plus dispersés. On passe d'un système d'enseignement "en levant le doigt pour parler" à l'anonymat le plus complet. Les séances de TD elles-mêmes comptent 40 à 50 étudiants...
Ce qu'il faut faire, c'est modifier la Terminale et la rendre plus proche de la réalité universitaire. Le problème, c'est que personne ne le fera jamais car la Terminale n'est pas l'antichambre de la fac (beaucoup vont en prépa, en BTS, grande école...) et qu'il y a ce fameux diplôme (qui vaudra bientôt autant que le certificat d'études) en fin d'année... Un diplôme qui traumatise tout lycéen, et qui lui fait croire qu'il a fait le plus dur... alors qu'il a fait le plus facile... et qui lui fait également oublier qu'après, les examens, c'est tous les 6 mois !
On ne s'intéresse pas assez aux choix d'orientation du futur bachelier. Pourquoi laisse-t-on des bacheliers technologiques avec un niveau moyen s'inscrire en faculté ??? Bien sûr, il y aura toujours LE bon élève qui se révèlera en fac, et qui y arrivera, mais ce n'est pas la généralité... Il faudrait multiplier les visites des terminales dans les universités. Leur demander quelle filière ils comptent suivre, et les envoyer passer une journée type d'étudiant, avec éventuellement la collaboration d'étudiants qui leur montrerait la "face cachée" de la fac. Que la fac c'est pas liberté, fiesta et alcool, c'est surtout stress, boulot, anonymat et responsabilité de soi...
2007-02-23 05:44:27
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answer #2
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answered by Kathia B 4
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Déjà que l'état arrete d'envoyer les jeunes dans des filières bidons en leur mentant sur les capacités d'embauche de la fillière, bref être réaliste.
Peut etre aussi réformer la terminale pour que celà devienne une vraie classe d'orientation avant les études avancées, plutot qu'une préparation au bac qui sert à rien et dont tout le monde se fout. Le problème derrière c'est que les jeunes sont tellement obnubilés par leur bacs qu'ils oublient (ont pas le temps en fait) de vraiment chercher ce qu'ils veulent faire plus tard.
Faut leur présenter les fillières, leur ouvrir l'esprit vers une dimension que souvent ils connaissent mal : le monde du travail.
Les jeunes ne font pas souvent très bien le lien entre fillière et débouchés réels dans le monde du travail.
Y choisissent souvent ce qu'ils aiment mais pas forcèment le secteur ou il y a du travail.
Enfin il faut voter contre la droite. L'enseignement eux y s'en foutent. Y réduise le budget à l'enseignement, donc le niveau des jeunes est mauvais, les collèges n'ont pas d'argent pour financer des programmes d'orientation, les universités n'ont pas d'argent pour proposer des formations de qualités et des fillières de reconversion et pour les jeunes qui se plantent d'orientation c'est la voix directe vers le chomage vu que les entreprises sont incapables de faire confiance aux jeunes en France.
2007-02-22 08:37:37
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answer #3
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answered by Stephane M 3
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Les échecs proviennent du manque d'autonomie des étudiants, le travail en fac n'est que peu ou pas encadré, fini le maternage
C'est aux étudiants de se renseigner sur les débouchés des filières
Et ne pas oublier qu'il a bac et bac, tout dépend de la filière choisie au lycée. Les titulaires des bac techniques et pro n'ont rien à faire en fac, ils n'ont pas un niveau suffisant
2007-02-28 12:57:07
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answer #4
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answered by Micdal 7
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C'est du pipeau.
C'est à l'étudiant de savoir ce qu'il veut
2007-02-26 11:06:04
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answer #5
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answered by Al Djazairi 7
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ou
2007-02-24 13:16:38
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answer #6
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answered by 2GB 2
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moi je pense qu'il faudrait orienter plus les gens vers autre chose que la fac (IUT, BTS, prépas...) parce que là au moins on est pas "laché" dans des énormes promos, c'est plus proche du lycée et pour l'iut et le bts ça professionalise plus, quitte à faire une licence pro par la suite si on veut continuer. Sinon dire aux élèves de terminale que les prépas ne sont pas forcément inaccessibles et qu'après on peut quand même aller en fac.
2007-02-24 12:36:36
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answer #7
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answered by Morgane G 3
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il n'y a pas seulement le fait qu'ils aient peut etre mal choisi leur orientation mais il y a aussi le fait que leur manque de moyens financiers les oblige a continuer de travailler au mac do plutot que d'aller en cours...
Heureusement que j'avais ma bourse sinon je n'aurai jamais atteint bac+5 en sachant que je n'avais aucun soutien de mes parents
2007-02-22 08:35:35
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answer #8
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answered by res_pire 5
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