C'est TA FOI vis la comme tu le sens en communion avec ton Dieu
2007-02-22 01:19:06
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answer #1
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answered by Lilianette 3
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c'est à chacun de voir ce qui est bon pour lui pendant cette période. Traditionnellement on parle de restriction alimentaire, mais le véritable but en fait, c'est de tenter d'atteindre la sainteté, autrement dit s'ouvrir plus aux autres, moins s'occuper de son nombril, faire l'effort de prendre plus de temps pour Dieu en admirant ses bienfaits.
Moi par exemple, je lis un peu la Bible tous les jours, ce que je ne fais ordinairement presque jamais, je tente le plus possible de m'investir dans ma paroisse, je prend le temps de sortir vers la nature et de méditer, dès qu'il y a un temps de prière partagée dans une paroisse, j'y vais.
2007-02-22 08:52:07
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answer #2
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answered by Mousseline 3
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Se priver parceque c'es carême non; mais se priver pour donner aux autres ce qu'on n'a pas consommé oui!
2007-02-22 05:30:13
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answer #3
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answered by Ly 3
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Le carême est un temps de pénitence, de prière et de partage. Particulièrement, c'est l'ultime temps de préparation pour les baptêmes d'adulte, traditionnellement célébrés le jour de Pâques. La pénitence peut être marquée par le jeûne ou l'abstinence, comme l'abstention volontaire de viande et laitage, et parfois de nos jours de dessert et de sucrerie.
Mais le carême nous permet de ralentir la course folle de la vie moderne que tous nous menons. Pourquoi ne pas se fixer comme objectif un temps à soi, un temps de méditation personnelle, de réflexion ou de prière quotidienne pendant le Carême? Quelques minutes par jour suffiront à nous aider à reprendre contact avec la source vive qui coule en chacun de nous. Le Carême pourrait devenir le temps où nous nous retrouvons avec nous-mêmes.
Le Carême peut également nous donner l’occasion de réfléchir à des questions importantes. Notre mentalité moderne laisse peu de place à une approche qui ne soit ni purement scientifique, ni uniquement économique.
2007-02-22 05:29:47
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answer #4
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answered by Béatrice 6
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Bonjour,
Tu devais donc, hier, premier jour du Carême, te priver de viande pendant toute la journée... Ensuite, à chacun de voir, selon son envie, les efforts qu'il veut faire pdt le carême.
Tu ne dois pas te priver, tu dois simplement veiller à ne pas faire d'excès... Par exemple, mange moins de sucreries et limite un peu ta consommation de viande; en faisant attention à ta santé...
Bon courage
2007-02-22 05:28:38
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answer #5
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answered by gargamel 3
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Je dirais, de ce que tu aimes faire le plus... Ou de ton péché mignon... Tu aimes le chocolat, tu arrête pendant le carême par exemple.
Mais ce temps est aussi un moyen de s'ouvrir vers les autres... Peut être peux tu donner de ton temps à des personnes dans le besoin, c'est aussi ca le carême...
2007-02-22 05:26:29
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answer #6
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answered by Travelman 3
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plus que le terme de privation c'est la notion d'effort qui prevaut aujourd'hui
se fixer des objectifs et les respecter
côté alimentaire le plus simple est de supprimer les aliments "plaisir" (coca, bonbons, saucisson selon les gouts...)
côté perso c'est faire des efforts pour être meilleur: plus tolérant, plus à l'ecoute, plus disponible....
on peut aussi se fixer un rythme de prières par jour
un objectif très simple et très bénéfique: lire chaque jour quelqus pages de la bible ou de la vie d'un saint (saint françois ou saint augustin sont bien)
et surtout faire ce que l'on a choisi avec modestie et discrétion
et ne pas tout arêter dès que pâques est passé!!!!
à propos le vendredi saint (celui avant pâques il convient de jeuner) et l'office du jeudi saint (cérémonie du lavement des pieds pour des personnes désignées rassurez vous ) est un office très intéressant
le samedi saint il ya de nombreux temps de veille et les fidèles se relaient à l'église pour qu'elle reste en pleine activité toute la nuit
voyez il y a beaucoup à faire et à découvrir et surtout à partager
bon courage sur votre chemin
2007-02-22 05:51:51
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answer #7
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answered by croix du sud 4
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Au niveau des restrictions alimentaires, il est généralement conseillé de se priver de viande (sauf le dimanche) et de ne prendre qu'un repas substantiel par jour, accompagnés éventuellement de deux collations.
Ces efforts doivent être fait en esprit de pénitence et dans le but de mieux maîtriser son corps afin que l'âme puisse plus facilement imposer sa volonté. Un chrétien qui remplacerait la viande par des poissons coûteux, savamment préparés avec sauce etc. passerait à côté de l'esprit de carême.
Le jeûne (limitation du nombre de repas) et l'abstinence (privation de viande) ne sont pas obligatoires pour les jeunes enfants, les malades, etc.
A ces efforts sur la nourriture on peut ajouter d'autres efforts afin de se rendre plus disponible pour la prière ou pour le prochain (se priver de TV, de sortie cinéma, ...) ainsi que des dons aux oeuvres charitables.
Idéalement les efforts faits en matière de prière et de service aux autres durant le carême ne doivent pas s'arrêter à la fin du carême. En effet, si ces actions sont bonnes et nous rapprochent de Dieu, comment pourrait-on les laisser tomber après Pâques ? Chaque nouveau temps de pénitence (avent, carême) devrait voir de nouvelles initiatives prises pour le service de Dieu et dse hommes. Un peu comme une vis: à chaque carême un coup de tournevis pour rapprocher la vis du mur (Dieu). Si à la fin du carême on donne un coup de tournevis dans l'autre sens, on n'arrivera jamais jusqu'au mur par contre si on maintient l'effort et qu'au carême suivant on donen de nouveau un petit coup de tournevis dans le bon sens, on progresse vers Dieu.
Bon carême et bonne prépapration de la fête de Pâques.
2007-02-22 05:45:44
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answer #8
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answered by pensassa 7
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Tu as des exemples donnés en réponse à cette question:
http://fr.answers.yahoo.com/question/index;_ylt=Aqbjkp3U_KMjvzy2fDyoe5ddKxV.?qid=20070221032213AAMZ0Jj
2007-02-22 05:41:01
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answer #9
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answered by Cecil B. 5
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cfr sur http://www.croire.com/article/index.jsp?docId=2634&rubId=214
Temps de carême
Le jeûne
L'Église ne regarde plus dans les assiettes
Aux interdits de plus en plus contraignants, l'Église catholique préfère aujourd'hui une approche plus spirituelle du jeûne Jeûne. Prière. Partage. Ce trépied de la vie spirituelle, l'Église naissante n'a pas eu besoin de l'inventer : le peuple juif l'avait de longue date précédée sur cette voie.
Les modalités du jeûne chrétien ont pourtant beaucoup varié. Au départ, les premiers chrétiens s'étant affranchis de la loi mosaïque, seule une certaine modération était recommandée (1re Lettre de Paul aux Corinthiens, chapitre 10). Le jeûne imposé a atteint plus d'un tiers des jours de l'année
Ce n'est qu'au IVe siècle qu'un temps liturgique spécifique, orienté vers la fête de la Résurrection, est apparu
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Jusque-là, le jeûne de purification d'avant la Pâque n'était que de deux jours (vendredi et samedi saints), une semaine au plus. Étendu à quarante jours en latin, quadragesima , il donna naissance à ce que l'on appelle depuis le Carême.
À la suite des premiers moines du désert d'Égypte, les chrétiens eurent dès lors obligation pendant cette période de jeûner tous les jours, sauf les dimanches, et de faire abstinence au moins deux jours par semaine. Pour atteindre le chiffre symbolique de la durée du séjour du Christ au désert, l'Église institua même trois jours supplémentaires entre le mercredi des Cendres et le premier dimanche de Carême.
Au Carême, il fallait ajouter les deux jours de jeûne hebdomadaire (le mercredi et le vendredi, portés à trois durant l'Avent), ainsi que le jour précédent chaque grande fête liturgique et les jours ou demi-jours de jeûne que l'évêque avait liberté de décider pour motifs exceptionnels. Au total, plus d'un tiers des jours de l'année devaient être jeûnés ! Dans la pratique, chacun se débrouillait comme il pouvait pour ne prendre qu'un seul repas par jour, après vêpres, s'abstenir de vin, de viande, de lard, de gibier, d'oeufs, de pâtisseries et de tout produit animal autre que le poisson.
On est loin, aujourd'hui, des privations de jadis, qu'un poème satirique du XIIIe siècle qualifiait de « chagrin », de « tourment », d'« abomination »...
L'allégement s'est fait progressivement depuis le début de ce siècle, la Seconde Guerre mondiale marquant une étape décisive.
Aujourd'hui, les évêques de France recommandent simplement aux catholiques de « faire pénitence » chaque vendredi, et, pendant le temps de Carême, de s'abstenir de viande les vendredis, de jeûner le mercredi des Cendres et le Vendredi saint, et « de réserver un temps notable à la prière ».
À chacun désormais de pratiquer le jeûne qui lui sera profitable Loin de condamner le jeûne, l'Église recommande surtout que l'on se souvienne de son sens : ascèse et partage, associant le corps, le coeur et l'esprit, comme Jésus le fit lui-même.
Elle propose donc à chacun de trouver le type de jeûne qui lui sera le plus profitable pour se convertir et s'ouvrir au message de la liturgie, à l'amour de Dieu et du prochain. Peut-être, aussi, pour revoir profondément sa vie. Suivant l'exemple des communautés monastiques, certaines communautés nouvelles mais aussi d'autres hommes et femmes convaincus que l'homme ne se nourrit pas seulement de pain, continuent pourtant d'intégrer dans leur vie une pratique régulière du jeûne.
Martine de Sauto
2007-02-22 05:37:38
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answer #10
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answered by Walter 3
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