Rhôôôlala... comme on ressent tout le poid de la pression sociale dans ta question : "TOUJOURS célibataire", "DRAMATIQUE"...
Tu trouves vraiment ça draaaamaaaatiiique au fond de toi?... tu en souffres? ça, c'est la bonne question à te poser! Le fait de savoir comment la société perçoit cela, tu t'en br**les!!
Marié à 16 ans (émancipé), "en couple" à 13 ans, célibataire à 35 ans, re-marié à l'âge de 95 ans... et après?... ce qui compte, c'est ce que TOI, tu ressens!
Si tu es mal d'être célibataire, sois-le... mais parce que TU TE SENS SEUL (ce qui peut être ressenti à tous les âges!)... et PAS parce que tu as 35 ans et que tu as l'impression de ne pas entrer dans une certaine norme sociale qui n'existe que dans ta tête!!...
Alors: RASSURE-TOI, Y'A STRICTEMENT RIEN DE DRAMATIQUE LA-DEDANS...
2007-02-21 01:21:39
·
answer #1
·
answered by According to me... 2
·
0⤊
0⤋
Je ne vois pas du tout en quoi c'est dramatique, nous sommes au 21eme siecle!
Est-ce que tu travailles ? Est-ce que tu es autonome ? Est-ce que tu es en bonne sante ? Est-ce que tu as des amis ?
Si oui, ta vie est bien remplie et tu trouveras forcement quelqu'un un jour.
Ca m'enerve ce diktat du couple avec enfants! 35 ans c'est hyper jeune de nos jours, il ne faut pas se focaliser la-dessus.
Bon courage a toi.
2007-02-21 09:14:15
·
answer #5
·
answered by Tata22 3
·
0⤊
0⤋
De même, les femmes de 25-35 ans ont une vision du couple équilibrée : elles ne l'envisagent ni de manière fusionnelle (14% seulement de tout à fait d'accord) ni de manière libertaire (garder sa liberté sexuelle et accepter celle de l'autre ne fait pas recette : 9% tout à fait d'accord).
La seconde raison du bonheur chez les femmes de 25-35 ans est la famille : celle qu'elles ont créée (les enfants) (52% tout à fait d'accord) devant la famille d'origine (parents, fratrie) (42% tout à fait d'accord). D'ailleurs, elles sont très peu à penser que les femmes devraient donner moins d'importance à leurs responsabilités familiales au profit d'une plus grande compétition avec les hommes sur le plan professionnel (7% tout à fait d'accord).
Importance de la famille
Cette importance accordée à la famille et en particulier aux enfants s'accompagne d'un regard et d'un discours nouveaux par rapport à l'éducation : le laxisme n'est plus de mise (leur donner le plus de liberté possible = 11% de tout à fait d'accord seulement), même si l'épanouissement et la créativité sont valorisés par la moité des interviewées.
A l'inverse, les femmes ont une volonté très forte d'inculquer le respect et l'écoute et de donner des repères (74% tout à fait d'accord). Bien plus, l'autorité refait son apparition puisqu'elle apparaît au 4ème rang des 8 souhaits envisagés pour les enfants (41% tout à fait d'accord et plus encore chez les mères d'enfants de 6 à 15 ans, 51%).
Cet attachement aux membres de la famille explique qu'1/3 de l'échantillon déclare aimer être le plus possible avec eux.
Des amis, d'abord pour rire et se laisser aller
La troisième source du bonheur chez les jeunes femmes est à chercher parmi les amis : ils sont avant tout considérés comme des personnes avec lesquelles on peut rire et se laisser aller (55% tout à fait d'accord), sur qui on peut compter en cas de coups durs (36% tout à fait d'accord) et à qui on peut se confier ouvertement (35% tout à fait d'accord).
Cette place importante accordée aux amis fait qu'1/3 des femmes déclarent que pour se sentir à l'aise, elles ont besoin de fréquenter régulièrement leurs amis. Autrement dit, ce besoin d'amitié ressort dans des proportions similaires au besoin de famille.
Selon que l'on est célibataire, mariée ou vivant maritalement avec ou sans enfants, les sources de bonheur varient un peu. Ainsi, les mères placent comme première raison de leur bonheur leurs enfants (83% tout à fait d'accord) devant leur couple (62% tout à fait d'accord), tandis que les femmes sans enfant privilégient leur couple (51% tout à fait d'accord), puis les amis et les parents (respectivement 43% et 42% de tout à fait d'accord). Quant aux célibataires, ce sont les amis qui priment (47% tout à fait d'accord) devant les parents et la fratrie, puis les loisirs, les passions (respectivement 38% et 29% tout à fait d'accord).
L'affectif plus important que la sexualité
Au final, tout cela traduit l'importance de l'affectif dans la vie des jeunes femmes : d'ailleurs ne déclarent-elles pas que ce qui leur permet en premier lieu d'être bien dans leur peau, c'est de se sentir aimée (67% tout à fait d'accord) ?
Bien plus, l'affectif et les sentiments semblent prendre plus d'importance que la sexualité. Celle-ci n'apparaît en effet qu'au 6ème rang des éléments importants dans le couple. De même, si "se sentir aimée" est la première raison d'être bien dans sa peau, la sexualité, même entendue comme épanouie, ne vient qu'en 5ème position (43% tout à fait d'accord). Il n'en demeure pas moins qu'elle s'affiche bien devant les activités culturelles, manuelles, ou le shopping.
Faut-il voir dans cet engouement très retenu pour la sexualité, l'expression d'une sorte de ras-le-bol devant l'instrumentalisation du sexe et notamment du sexe des femmes, devant les exigences de performance dans ce domaine de l'intime ?
Un besoin de confort et de protection pour soi, pour ses proches
La valorisation du privé se manifeste également - certes, dans une moindre mesure - par l'attachement qu'elles témoignent à leur cadre de vie et à leur logement qu'elles considèrent comme « un endroit très personnel où elles mettent beaucoup d'elles-mêmes » (31% tout à fait d'accord).
D'ailleurs, les rêves à court terme des jeunes femmes participent aussi pour beaucoup de cette envie de confort et de cocon : 65% souhaitent gagner davantage d'argent, et plus encore quand elles ont au moins un enfant (74% vs 50% pour les célibataires et divorcées, preuve d'une part altruiste dans ce rêve), 52% veulent acheter une maison ou un appartement.
On perçoit derrière ces attitudes un besoin de protection qui peut certes renvoyer à une volonté de se ressourcer - autrement dit, à une motivation personnelle ou familiale -, mais parallèlement, ce besoin de protection peut s'appréhender de manière plus globale dès lors que leurs deux premiers grands rêves pour le futur renvoient à une volonté sociale d'apaisement : une société sans violence (83%), trouver une solution aux grands risques collectifs (76%).
Le travail en arrière-plan
Le travail n'apparaît qu'au 8ème rang (sur 10) de ce qui rend heureuses les femmes aujourd'hui (13% tout à fait d'accord), juste devant leur place dans la société et leur engagement (respectivement 6% et 4% tout à fait d'accord). Ce constat traduit plus largement une sorte de désinvestissement de la sphère publique.
Certes, plus d'1/3 des femmes de 25-35 ans reconnaissent que c'est la clé de leur indépendance et près d' ¼ associe le travail à un lieu d'échanges et de rencontres.
Cette proportion est plus importante chez les PCS + (qui placent le travail au 6ème rang) et 42% d'entre elles déclarent que c'est la clé de leur indépendance et 30% que c'est un lieu d'échange). De même, les célibataires valorisent plus l'indépendance que leur apporte leur travail (45% tout à fait d'accord).
D'où provient ce manque d'enthousiasme envers le travail ? La première raison, pratique, a trait à la difficile conciliation entre la vie de famille (horaires, crèche...) et le travail (43% tout à fait d'accord, 54% chez les femmes qui ont au moins un enfant). Elles sont également 28% (tout à fait d'accord) à estimer que le travail est un univers de plus en plus dur et précaire.
Ce constat explique sans doute pour partie cette valorisation du cocon familial et du couple qui constituent une forme de refuge où il fait bon se ressourcer face à la vie profesionnelle.
Une volonté de calmer le jeu mais sans baisser les bras
Au final, il ressort que les femmes de 25-35 ans ont envie de calmer le jeu. Mais il ne s'agit nullement d'un quelconque retour à l'éternel féminin où la sphère privée était synonyme d'enfermement et les sentiments familiaux associées à la faiblesse. Car on ne perçoit pas de baisse de vigilance des jeunes femmes face aux améliorations acquises par leurs mères : la première opinion qui émerge à hauteur de 41% (tout à fait d'accord) montre que pour elles, les droits acquis par les femmes au XXème siècle peuvent être remis en cause à tout moment, et qu'il faut donc continuer à les défendre. En outre, le fait que leur premier rêve à court terme est de gagner plus d'argent (65%) prouve aussi qu'elles ont une volonté d'acquérir leur indépendance financière. Enfin, 57 % d'entre elles affirment qu'être bien dans leur peau suppose qu'elles se sentent libres de leurs choix.
Cette volonté de calmer le jeu passe aussi par un désir de s'affirmer en tant que femmes, non dans un esprit de compétition vis-à-vis des hommes, mais davantage pour mettre en valeur ce qui les différencie (41% tout à fait d'accord), ce qui les caractérise en propre.
Et les lectrices de Biba ? Des femmes plus épicuriennes
Principal enseignement : elles sont pour l'essentiel à l'image de l'ensemble des Françaises de 25-35 ans.
Toutefois, c'est dans leur rapport au corps et à la séduction qu'elles se différencient le plus de l'ensemble des femmes de leur âge. D'une part, elles tendent à accorder plus de place que les autres femmes à la sexualité, à la séduction et à la passion dans le couple (58% tout à fait d'accord vs 50% pour l'ensemble).
D'autre part, pour les lectrices de Biba, être bien dans leur peau suppose davantage de se sentir séduisantes (52% tout à fait d'accord vs 44% pour l'ensemble), de prendre soin de son corps et de sa forme (44% tout à fait d'accord vs 29%) et de faire du shopping (23% tout à fait d'accord vs 17%). En outre, elles semblent faire preuve d'un esprit plus curieux les incitant à avoir davantage d'activité culturelles (36% tout à fait d'accord vs 29% pour l'ensemble).
Tout cela explique qu'elles aiment aussi davantage que leur consoeurs bénéficier de temps pour elles, quelle que soit la manière dont elles l'occupent (53% tout à fait d'accord vs 45%).
2007-02-21 09:05:15
·
answer #6
·
answered by sylvain c 2
·
0⤊
3⤋