http://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Bayrou
C'est plutôt bien fait !
En tout cas, il a toujorus été à droite.
On peut, pour sa défense, citer sa proximité (de jeunesse) avec les catho de gauche pacifistes écolo de l'arche de Saint Antoine de Lanza del Vasto (attention, il n'en a quand même pas fait partie hein !)
2007-02-20 21:39:08
·
answer #1
·
answered by Gérard B 5
·
0⤊
0⤋
on peut citer quelques lois de droite qu'il n'a pas votées.
A titre d'exception qui confirme la regle.
2007-02-21 05:38:33
·
answer #2
·
answered by dominique M 5
·
1⤊
0⤋
Le récapituler !
Il faudrait un traité de navigation !!
2007-02-21 05:36:21
·
answer #3
·
answered by alton 3
·
0⤊
0⤋
Le parcours politique d'un homme est certes important mais je ne pense pas qu'il faille remonter à Mathusalem pour se faire une idée des positions de François Bayrou. Ce qui intéresse les français aujourd'hui ce n'est pas ce qu'il pensait lors de son entrée en politique en 1982 mais bel et bien ces prises de position au cours des 5 dernières années.
Ci-après ce parcours tel que relaté dans Wikipedia ave cmes remarques :
"S'affirmant, dès la première question de confiance posée par le nouveau gouvernement de Jean-Pierre Raffarin, opposé à « l'État-UMP », il annonce l'intention de se prononcer librement sur chacun des actes du gouvernement."
L'opposition de François Bayrou au totalitarisme UMP est donc loin d'être récente... Dès la présidentielle de 2002 il a réagi suite au refus de Jacques Chirac de créer un gouvernement d'union nationale... A cette occasion l'UDF a d'ailleurs vu partir tous les membres soit ultra-libéraux qui y étaient entré par opportunisme soit ceux qui voulaient privilégier l'appareil politique à la vision politique, à l'inverse de François Bayrou.
"L'UDF obtient 12% des voix aux élections régionales et aux élections européennes de 2004, où progresse le nombre de ses élus conseillers régionaux et députés européens ; aux cantonales de la même année, le nombre de ses conseillers généraux et présidents de conseils généraux progresse également.
Pour les régionales en Aquitaine, avec 16% des voix, François Bayrou arrive en troisième position derrière la liste PS du président Alain Rousset, qui sera réélu, et celle de l'UMP radical Xavier Darcos, Ministre délégué à l'Enseignement scolaire. Devancée dans toutes les régions par l'UMP, l'UDF accepte la fusion de ses listes avec celles de l'UMP au second tour."
Vous noterez qu'il y a bien eu ralliement aux régionales, mais uniquement au second tour et ceci afin de préserver le poids de l'UDF pendant sa période de reconstruction. On peut lui reprocher sur ce point une certaine timidité en arguant qu'il aurait du là aussi rompre complètement les ponts avec l'UMP. Mais en l'absence de représentation régionale l'UDF serait-il devenu l'alternative que nous attendons tous ?
"Au Parlement européen élu en 2004, l'UDF quitte le groupe parlementaire de droite du Parti populaire européen auquel appartient l'UMP, pour rejoindre, avec ses alliés du Parti démocrate européen, le groupe de l'Alliance des démocrates et des libéraux pour l'Europe."
La défense d'une position centriste s'est faite non-seulement à l'échelon national mais aussi à celui de l'Europe. On oublie trop souvent de signaler cette prise de distance pour se focaliser sur les alliances du passé UDF-RPR qui tenaient à l'importance historique de la gauche au travers du PCF.
"En 2005 et 2006, il s'oppose de plus en plus à la politique du gouvernement de Dominique de Villepin, sur son contenu et sur ses modalités - en particulier le mépris dans lequel est, selon lui, tenu le Parlement. Pour la première fois depuis son arrivée à la tête de l'UDF en 1998, il vote une motion de censure contre un gouvernement de droite : la deuxième déposée par le Parti socialiste contre le gouvernement Villepin, le 16 mai 2006 dans le cadre de l'Affaire Clearstream 2 (la première ayant été déposée en février 2006 lors de la crise du CPE)."
Le vote de la censure a été l'élément fondateur de la nouvelle UDF qui a affirmé officiellement son indépendance de vue et a pris le risque de ne plus exister dans le paysage politique si la campagne présidentielle devait tourner court, ce qui actuellement est loin d'être le cas heureusement...
"Depuis fin 2004, il s'est démarqué de l'UMP, rejoignant parfois certaines revendications de membres du PS comme Dominique Strauss-Kahn. Il s'est ainsi vu contester la suprématie de son parti par l'actuel Ministre de l'Éducation nationale, Gilles de Robien, qui est favorable à un rapprochement avec l'UMP."
François Bayrou sera en effet toujours plus proche dans son approche des problématiques d'un DSK dont la fibre sociale ne l'empêche pas de faire preuve de pragmatisme économique que d'un Sarkozy qui recherche avant toute chose à confisquer le pouvoir pour lui-même en premier chef et accessoirement pour son entourage...
"Lorsque le Parti socialiste a déposé une motion de censure le 16 mai 2006 contre le gouvernement Villepin, François Bayrou et dix députés de son groupe (sur trente) ont voté ce que F. Bayrou a qualifié de « censure franche » par opposition à la censure « des couloirs » (plusieurs dizaines de députés UMP partisans de Nicolas Sarkozy s'étaient rassemblés à la buvette de l'Assemblée Nationale). Ce vote de la motion de censure est une expression personnelle de chaque député UDF, et non une consigne de groupe."
Tous les députés UDF n'ont pas voté la censure mais certains l'ont fait et cela suffit. Cela suffit à prouver d'une part que l'UDF n'est pas le parti de la pensée unique puisqu'il est possible en son sein d'avoir des avis divergents et de les exprimer publiquement. Cela suffit à prouver que l'équipe de campagne de François Bayrou est opposée au monopartisme UMP car au nombre de ceux qui la votèrent on trouve, outre François Bayrou,
Maurice leroy, ex-secrétaire général du groupe communiste au Sénat sous Georges Marchais, rallié depuis à l'UDF, et Hervé Morin, tous deux porte-parole de François Bayrou.
2007-02-21 06:14:08
·
answer #4
·
answered by Oracle 4
·
0⤊
2⤋
Il a toujours été au centre. Pendant un temps, la droite a du faire des concessions au centre pour gouverner. D'ailleurs c'est ce qui a provoqué l'arrivée de Le Pen qui accusait la droite de faire une politique de gauche.
Depuis que de nombreux centristes de droite ont ralliés l'UMP, l'Alliance s'est délitée et a été rompue quand Bayrou n'a pas voté la confiance au gouvernement de Villepin.
2007-02-21 05:54:53
·
answer #5
·
answered by Philippe B 6
·
0⤊
2⤋
Ne vous faite pas d'illusion Chirac est de droite et fait une politique de gauche. Jospin était de gauche et faisait une politique de droite. Et Bayrou préfére le centre ce qui me parait assez cohérent. Même si à voté des lois de droite rien ne l'empêche d'avoir une âme de socialiste.
2007-02-21 05:54:05
·
answer #6
·
answered by nico1980 1
·
0⤊
2⤋
Non, il était toujours au centre, et il est toujours resté fidèle à ses orientations.
F. Bayrou a commencé sa carrière politique en tant qu'assistant de Pierre Pflimlin.
Cherchant l'ouverture envers d'autres idées,cela ne veut pas dire être girouette. La girouette de cette campagne, c'est celle qui se cache lâchement derrière "ce que pensent les Français".
2007-02-21 05:46:33
·
answer #7
·
answered by Jorg S 2
·
0⤊
2⤋