Selon la directrice de l'information de France 2, Arlette Chabot, M. Hondelatte n'aurait pas supporté un portrait de lui paru le même jour dans Libération, et il aurait décidé de ne pas présenter le journal. Ce portrait de Libération évoquait justement le côté colérique du journaliste et ses menaces de démission à répétition.
La dernière page du quotidien, titrée "Faculté cathodique", présente un Christophe Hondelatte qui tente "d'imposer son style boy-scout au 13 heures de France 2" et fait "le grand écart entre sa foi et sa vocation précoce d'animateur".
Le décrivant "sympathique" selon les uns, "horripilant" selon les autres, Libération décrit un journaliste "individualiste" rêvant d'une "actualité heureuse", et menaçant de "se casser" quand apparaissent des désaccords avec la rédaction. "Présentateur, c'est du vent, c'est du fast-food", affirme Christophe Hondelatte dans cet article, où il ajoute : "Quand je serai au placard, (...) je ferai des reportages pour 'Envoyé spécial'."
Arlette Chabot a affirmé dans l'après-midi : "Le présentateur n'est pas en état psychologiquement d'assumer à nouveau [la] pression" de la présentation du JT.
2007-02-20 22:25:28
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answer #1
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answered by maow 6
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Ça date pas un peu cette affaire ou c'est une nouvelle... et j'aurais raté un épisode?
Sinon, la 1ère réponse parait complète!
2007-02-21 11:01:30
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answer #2
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answered by maikou 3
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