A force de souffrir, finit -on par s'endurcir et devenir indifférent à presque tout?
Comment virer tout ce qui ne relève pas de la partie purement cognitive de notre personnalité?
Le "bonheur" est il dans l'égoisme?
2007-02-20
08:58:40
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7 réponses
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demandé par
galatée
2
dans
Amour et relations
➔ Amour et relations - Divers
Merci à toutes et à tous pour vos réponses.
Enchantée de faire votre connaissance "bienvenue e".Votre style est véritablement enchanteur.De surcroît il me rappelle mes "vertes" années, classes prépas, Sorbonne...
J'avoue avoir, depuis toujours, eu des problèmes avec "l'hybris".Je me définirais parfois comme la mesure de ma propre démesure n'en déplaise à Protagoras d'Abdère.
Pour paraphraser Schopenhauer, je dirais que ma "vie oscille comme un pendule de droite à gauche, de la souffrance à l'ennui" et que redoutant et fuyant l'une je me réfugierais inexorablement dans l'autre et réciproquement.
J'espère parfois que mes "excés" ne me destinent pas à connaître le sort d'Ajax...
Cela dit, etre conscient de sa "pathologie" me semble déjà être une partie du "remède".
La maïeutique, médecine naturelle à pratiquer sans modération (sic)?
Encore merci pour la pertinence de votre réponse à mes interrogations nocturnes.
Certes, l'Oiseau de Minerve prend son envol à la tombée du jour...
2007-02-20
10:22:38 ·
update #1