tout le monde sait qu'il est esclave de ses sens, mais qu'il peut s'en libérer, il devient ensuite prisonnier de ses émotions et de son mental mais il peut encore s'en libérer, et que la recette depuis des millions d'années s'appelle méditation ...
et même, depuis 1931, les enseignements pour réaliser l'ascension qui donne une liberté inconditionnelle ont été rendus publics ...
2007-02-21 04:35:52
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answer #1
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answered by maricimaraj 7
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"RV" merci mon ange !
La grande erreur de toujours :
s'imaginer que les êtres pensent ce qu'ils disent.
Gandhi.disait ceci:
A l'instant où l'esclave décide qu'il ne sera plus esclave, ses chaînes tombent.
2007-02-20 19:27:22
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answer #2
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answered by J-P 3
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Si l'on entend liberté d'esprit , il ne tient qu'à lui de se liberer de toutes pensées qui encombrent son esprit , comme font les yogis , saddhu , et autres hermittes ,...
Si l'on entend le corps , alors non. Ne serait -ce que par ses besoins primaires tel que manger ,...
Je pense que dans certaines tribus , dans certains pays ,on vit à l'état primaire , donc affranchi de tout notre esclavagisme commercial , social ,...
Mais , il reste surement non libre face à ces besoins primaires , et quelques pulsions .
Tout dépend de ce que l'on entend par liberté .
Aussi , la liberté de mourir est humaine .Je ne sais pas si d'autres êtres vivants se suicident !!!
2007-02-20 14:50:26
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answer #3
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answered by Anonymous
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Comment apprécier un acte, dire de lui qu'il est bon ou mauvais sans postuler la liberté de celui qui accompli cet acte ? Toute philosophie part donc du postulat de la Liberté. La Liberté doit admettre et démontrer que la liberté existe et tout impératif présuppose la liberté de celui à qui il s'adresse, selont kant : "Tu dois, donc tu peux", ainsi tu dois faire cela implique toujours tu peux faire cela.
Poser le problème de la Liberté, c'est s'interroger pour savoir si l'homme peut agir indépendamment de toute contrainte. Une réponse à cette question exige un examen systématique des diverses doctrines qui mettent en évidence des contraintes limitant la liberté (ces doctrines qui nient la libertés sont appelées des déterminismes).
L'homme est-il libre (problème des lois sociales et de la liberté). La loi sociale ne se conçoit que par rappot au pouvoir de transgresser ces lois : "Tu dois..." présupose "Tu ne peux pas...". L'obligation est radicalement différente de la nécessité naturelle qui elle ne peut pas ne pas être. D'un autre côté, si les hommes conviennent d'établir des lois, c'est bien afin d'empêcher que ne s'exerce la loi du plus fort (la loi vise à sauvegarder la liberté de chacun), telle est l'idée rousseauiste du "Contrat social" : "Ma liberté s'arrête où commence celle d'autrui" [l'obligation (la loi) suppose la liberté].
Pour Max, les lois n'ont pas d'existence en elles-mêmes, elles sont le reflet d'une société divisée en classes, entre exploiteurs et exploités dont la justice n'est qu'une justice de classes. La conscience d'un être (ses opinions et ses habitudes de penser) ne fait que refléter sa position sociale ("Ce n'est pas sa conscience qui détermine son être mais son être social qui détermine sa conscience"). Max dira que la loi appartienne à la superstructure idéologique d'une société qui reflète l'infrastructure économique et il rajoute que la reconquête de notre liberté suppose la transformation du système de production, c'est-à-dire une révolution.
Or, on constate qu'il n'y a pas, à proprement parler, dans l'histoire de la philosophie de démonstration de la liberté. Au contraire, les philosophes insistent sur le fait qu'elle est plus l'objet d'une expérience intime que la conclusion d'un raisonnement et Descarte déclare : "La libeté se connaît sans preuve par la seule expérience que nous en avons", ou encore Kant qui affirme : "La Liberté est un postulat de la Raison pratique" et Bergson que "la Liberté est une donnée immédiate de la conscience".
Ainsi, démontrer la liberté, ce serait la situer comme la conséquence nécessaire d'antécédents qui la déterminent (un enchaînement de propositions qui imposent la nécessit d'une conclusion déterminée par les antécédents, les prémisses du raisonnement), ce qui reviendrait à limiter la Liberté. C'est en ce sens qu'Alain dit : "Une preuve de la Liberté tuerait la Liberté".
Oops ! Ah ha ha, merci à Charp de m'avoir corrigée ! En effet, j'ai oublié un "r" à Marx ! Désolée, comme je suis encore étourdie, hi hi hi, je ne me suis pas assez relue. Est-ce que je peux corriger ? Non, c'est trop tard ? Tant pis, et merci quand même !
J'aimerais rajouter ceci :
En fait, il n'y a pas de liberté commune, chacun peut trouver sa propre liberté sous quelque forme que ce soit. Si manger, boire ou je ne sais pas quoi encore entrave sa liberté, c'est bien malheureux ! Nous avons tous des petites contraintes, mais si on cherche un peu, nous avons aussi tous des libertés, y compris la liberté de venir dire des bêtises sur un forum !
2007-02-20 13:47:13
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answer #4
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answered by Grapho 3
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On pourrait disserter des heures pour essayer de répondre à ta question!
Moi je dirais problablement que NON: l'Homme n'est pas libre et il ne sera jamais
Pour etre libre il faut ne pas exister or on ne peut exercer notre liberté qu'en existant (explication: Tu nais sans avoir choisi de naitre tu mourras sans avoir choisi de mourir, t'es condamné à vivre Donc t'es pas libre. Mais si tu n'existes pas: comment savoir si tu es libre? tu n'es l'es pas puisque tu n'existe pas ). Paradoxal, non?
2007-02-21 12:04:45
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answer #5
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answered by harry haller 2
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Marx, Hervé,pas Max :-)
L'homme naît esclave: il est soumis à toute une série de contraintes, biologiques, pulsionnelles, limites physiques, rôle des parents, milieu social et naturel, etc. Mais ces contraintes ne le poussent pas dans le même sens.
Tant qu'il n'est pas conscient, ses actes sont le jouet de ses forces, leurs résultantes à un moment donné. Par la conscience, elle-même fruit de ces contraintes, -mais à un moment donné, non en permanence- , il peut par effet -retour "choisir" ses contraintes, influer sur le jeu des contraintes qui s'exercent sur lui, et ainsi acquérir sa liberté.
L'acte conscient et la connaissance sont donc des moyens de construire cette liberté, qui restera toujours relative, selon la forces des contraintes s'exerçant sur lui, dans les limites de certaines constantes (évidentes en un sens physique).
Le libre-arbitre, le choix, ne peut donc s'exercer que lorsque la complexité des déterminants conduit à un "point de bifurcation" où deux possibles s'ouvrent à un seul déterminant La liberté est la construction progressive d'une conscience riches en points de bifurcations.
En termes de cultures, un homme qui s'imprègne de cultures différentes est potentiellement plus libre qu'un homme pris dans une seule culture. (Potentiellement!). Non parce qu'il a plus de choix, mais parce qu'il a plus de contraintes.
2007-02-20 16:10:22
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answer #6
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answered by Charp 4
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liberté et humanité sont 2 termes contradictoires. Pour qu'il y ait humanité il faut qu 'il existe obligatoirement 1 type de société. Hors obligation ne va pas avec liberté.
2007-02-20 13:00:07
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answer #7
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answered by lulu 1
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Un homme ne sera jamais libre, il dépend de son conjoint, de son boulot, de son compte en banque pour sa nourriture et surtout de son percepteur........
Tout claquer pas possible, il n'y a plus d'espace pour la liberté.
2007-02-20 12:51:58
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answer #8
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answered by Ptilou 2
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Impossible, nous sommes toujours esclaves de quelque chose, des règles etc... même pas de penser !!!!
2007-02-20 12:48:55
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answer #9
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answered by mariana 3
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