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ethique et avortement? En referene à la loi de l'avortement passée au portugal.

2007-02-20 02:53:12 · 14 réponses · demandé par Hades et Persephone 7 dans Arts et sciences humaines Philosophie

14 réponses

A partir du moment où le développement cérébral du fœtus fait qu’il peut avoir conscience de lui-même.

Il en est de même pour la question de la fin de vie et de l’euthanasie. En cas de mort cérébrale avérée ou de souffrance extrême, pourquoi s’acharner ?

2007-02-20 03:16:50 · answer #1 · answered by Grain De Sable 5 · 0 0

Je trouve la réponse de Coco très pertinente, en ce qu'elle souligne aussi combien il est difficile de mettre une limite "stricte" entre ce qui est un "être vivant" et ce qui ne l'est pas encore. Il ne s'agit pas de la vie, phénomène continu, mais de l'émergence d'un être individuel.
Et le contexte culturel est là très important. Il est clair que pour certaines cultures anciennes, un tout jeune bébé n'était pas encore un être vivant à part entière.
L'autonomie est peut-être un critère, mais à bien comprendre: un enfant de 6 ans n'est pas autonome! Mais peut être pris en charge par la société. De même un enfant avant terme.

Le critère de la conscience aussi serait bon, mais la conscience reste quelque chose de très mal défini. Les sens aussi, le développement cérébral, mais difficile de mettre une frontière claire dans un processus continu.

La question en tout cas exige une certaine prudence, et de tenir compte de tout cela en semble, une fois du moins que la question forcément prioritaire de la santé de la mère peut être mis de côté.
Le viol et ou les cas de handicap grave perdent de leur particularité dès que le choix est celui de la mère, jusqu'à cette limite mal définie.

2007-02-20 12:49:32 · answer #2 · answered by Charp 4 · 1 0

La destruction de la vie EST un crime. Cela ne fait aucun doute. Par contre le plus difficile est de mettre tout le monde d'accord sur le moment à partir duquel on considère qu'un être vit et donc qu'il y a vraiment destruction.
On peut considérer que juste aprés la fécondation, tous les ingrédients sont là, tous les traits, la morphologie, les capacités intellectuelle et même une bonne partie du caractère sont déjà déterminés et qu'il s'agit donc d'un être unique en cours de développement.
L'avortement interrompra donc le développement et privera cet être de sa vie et pourrait donc être considéré comme un crime à quel stade que ce soit.

Jean Paul II est même allé un peu plus loin en considérant, lui, que le fait d'empécher les conditions de procréation c'est à dire de pratiquer quelle contraception que ce soit était une faute.

A l'opposé on peut, comme cela a été le cas pendant trés longtemps, considérer qu'un être n'est vivant que quand il est autonome au point de vue respiration et qu'il n'est plus relié à sa mère pour son alimentation c'est à dire juste aprés la naissance.

A mon avis, et même s'il est souhaitable que cela lui pose un problème moral, on doit pouvoir accepter le fait que tant que cet être est dans le ventre de sa mère celle-ci doit pouvoir pénalement en être maitre et en disposer à sa guise.

2007-02-20 12:17:44 · answer #3 · answered by Anonymous · 1 0

un foetus reste un foetus, ce n'est pas un crime de supprimer un foetus. Maintenant, il faut évidemment privilégier des moyens contraceptifs de facon à ne pas avorter comme si on se faisait arracher une dent, ...la religion ds ce domaine est pernicieuse, encore une raison de plus pour se revendiquer pure athée ...pour la religion, une flaque avec un oeil au milieu, c'est une vie humaine, alors, ? il faut trouver le juste milieu.

2007-02-20 15:33:00 · answer #4 · answered by Anonymous · 0 0

comme c'est délicat, cette question m'a toujours embarrassée, car elle n'est pas nuancée, je ne pense pas pour ou contre, je pense situation de la mère, on ne se fait pas avortée par plaisir, il suffit de voir les séquelles que certaines femmes ont çar pour elles au moment où ça c'est passé, elles ne pensaient n'avoir que cette solution, bien sur après on dit si j'avais su, si on m'avais dit, mais c'est trop tard. souvent ce ne sont que des gamines, une première fois et hop...

ce qui est sur c'est que de légalisé permet d'encadrer les avortements, que ca se passe avec moins de risque, et pas avec aiguilles à tricoter, et pas seulement pour celles qui ont les moyens d'aller dans d'autres pays.

c'est pour toutes ces nuances que je suis pour.... difficile de mettre le nombre de mois pour dire que l'on passerai a un crime...

bye

2007-02-20 11:55:38 · answer #5 · answered by LILOU007 3 · 0 0

la questuion de l'avortement est un vieux débat...

mais quand l'enfant ne sera pas heureux, il faut parfois mieux qu'il ne naisse pas...

2007-02-20 11:04:51 · answer #6 · answered by Baron Millenard 2 · 0 0

a partir du moment où la vie paraît

2007-02-20 11:01:21 · answer #7 · answered by Mme de Lautreamont 6 · 0 0

A partir du moment où on se pose la question !
Bien sûr, si crime il y a, les "victimes" ne sont pas du même ordre.
Une pensée de destruction est destructrice pour notre évolution spirituelle, un crime "de sang" est criminel pour la société, etc ...

2007-02-20 10:57:44 · answer #8 · answered by Pluto 3 · 0 0

moi je dirais à partir du moment ou il nait!

2007-02-20 10:56:36 · answer #9 · answered by Anonymous · 0 0

Par rapport au foetus, la question est impropre. Tuer au sens criminel, c'est tuer un être existant (un être humain, donc). Car celui qui écrase un chien n'encoure pas le même risque que celui qui écrase un homme. Donc la question à se poser pour le foeutus est "à partir de quand est-il un être vivant (et même existant)?".
Avorter avant cette date (donnée par la science) ne peut dès lors pas être un crime. Pas plus que d'écraser une fleure ou un légume.

2007-02-21 01:53:47 · answer #10 · answered by Gally Léo 5 · 0 1

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