qu'elle est la chose la plus héroïque que vous ayez jamais fait?

Question

MERCI DE DONNER DES PRESSISIONS.

Answer 1

un massage cardiaque à un monsieur pris de malaise dans une galerie marchande d'un grand magasin en attendant l'arrivée des pompiers,et le monsieur est revenu à lui au bout de 15 minutes....

Answer 2

j'ai trouvé un chien sans collier , un vieux colley
je l'ai emmené chez le véto, puis je lui ai téléphoné pour savoir s'il avait retrouvé ses maîtres il m'a dit que non et qu'il devait partir en week end et que par conséquent il devait l'emmener à la spa, je lui ai proposé de prendre le chien durant le week end, en fait j'ai fait une main courante au commissariat pour dire que j'avais un chien perdu en ma possession, j'ai fait tous les commerçants de ma ville le tours du bois, rien ni personne ne le reconnaissait, j'ai téléphoné à la spa, et m'ont dit que si dans les deux jours après le dépôt du chien ils n'avaient pas de nouvelles des maîtres ils endormiraient le chien, compte tenu de leur réponse je me suis pliée en 4 pour retrouver les maîtres, au final au bout de 10 jours (heureusement j'étais en vacances) une dame m'a téléphoné (j'avais mis des affiches partout)
c'est une dame qui venait d'emménager dans ma ville après un divorce et suite à des pétards le chien avait pris peur et c'était enfuit retirant au passage son collier; son tatouage correspondait à son ancienne adresse , et le plus sympa de l'histoire c'est qu'il y avait une petit garçon de 9 ans déjà perturbé par le divorce qui a retrouvé son meilleur copain : son chien!!!!

Answer 3

C'est récent, j'étais à moto (secteur limité à 60 km/h) et je me fais doubler par une voiture dans un virage. La portière arrière droite s'ouvre d'un coup et un siège bébé (avec le bébé!!!) s'éjecte. D'instinct, j'ai attrapé le "ballot", et je me suis envoyée volontairement dans le fossé, mais en gardant le petit en l'air, en équilibre. C'est comme ça que j'ai connu Yahoo! Une patte dans le plâtre!
La mère déjantée, n'avait pas attaché le siège, et avait mal fermé la portière, mais heureusement le bébé, lui, était lié à son siège.
J'en ai tremblé pendant des heures. Le petit n'a même pas eu une égratignure, c'est le plus important. Mais je plains ce petit bonhomme de tout mon coeur.

Answer 4

Heu, rien de spécial, ha si : Quand j'etais jeune ( 10 - 11 ans ) j'ai sortit mon frere de 2 ans de la piscine.

Il jouait devant 10 personnes, mais aucune n'avait rien vu, sans moi il se serait sans doute noyé.

Je n'ai fait que mon devoir lol

Answer 5

empecher un gamin de faire écraser parce qu'il allait ramasser un balon sur la route , je n'ai pas vu sa mère dommage il devait avoir 5 ans que faisait il seul ?

Answer 6

me lever ce matin...

Answer 7

Me sauver devant un cochon inoffensif !

Answer 8

Oups... j'en ai eu des occasions !

Il y a une douzaine d'années, dans le train de banlieue à Hambourg où je vivais, j'ai couru après un pick-pocket qui venait de dérober à l'arrachée un sac-à-mains d'une vieille en descendant du wagon. J'ai grimpé les escaliers 4 à 4, l'ai coursé à travers la foule de la gare puis sur plus d'1km dans la ville. On ne savait pas où on allait. On courrait comme des dératés, pas en sprint, car trop risqué: en sprint on s'essoufle et on se grille. Lui risquait alors que je le rattrape, moi de me faire semé en l'approchant.
Je risquais qu'il me sorte un couteau ou de me retrouver dans un guet apens avec une bande, car on était dans le quartier de la gare centrale à Hambourg. C'était le coin des mafias, des droguées, des putes, comme dans toutes les métropoles d'Allemagne. De temps en temps dans sa course, il se retournait. J'avais peur qu'il me saute dessus pour me poignarder.
Etant jeune, 20ans, sportif et très endurant (à l'époque j'abattais le 1km500 en 4'50'') je l'ai quand même rattrapé. J'ai vu qu'au bout de la rue dans laquelle il venait de s'engager il y avait un commissariat. Lui était épuisé et il a vu qu'il s'était engagé dans la mauvaise rue. Alors j'ai appelé au moment où des flics partaient en patrouille, l'étau s'est refermé et il a été arrêté sans résistance. Le sac à mains à été rendu à la vieille dame.
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Il y a 4 ans, je revenais de Paris aevc mon chien. J'étais allé voir France-Ecosse au Stade de France. Je suis rentré à minuit à Bruxelles. Mon voisin était devant la porte de l'immeuble, discutant avec sa femme par l'interphone. Je veux rentrer. Elle me dit de ne pas le laisser rentrer, car il l'a frappée cet après midi et la police lui a interdit de revenir à la maison. Mais lui prétextait devoir récupérer des affaires pour dormir à l'hôtel.
Je fais le médiateur. (mauvaise idée "entre l'arbre et l'écorce on ne peut mettre le doigt"). Je discute tantôt avec elle, chez elle à l'étage, tantôt avec lui devant la porte de l'immeuble. Lui est bourré. Elle me raconte son passé... Que lui a racheté sa dette dans un bordel où elle faisait des passes. Son père l'avait vendue là. Elle me raconte qu'elle avait déjà voulu le quitter, mais que lui l'avait retrouver jusqu'en Espagne en traçant la carte de crédit... Bref, je m'apercois que mes voisins étaient des "cas". Il la frappe souvent, régulièrement, l'humilie publiquement, parfois dans la rue.
Puis il parvient à s'introduire dans l'immeuble grâce au voisin du 1er étage. On sent sa présence derrière la porte. Je vais verrouiller la porte. A ce moment là, il enfonce la porte. (une porte en bois dans une maison de maître. Etant derrière la porte, je me retrouve catapulté en arrière. Etant donné qu'il m'a projeté en arrière contre un mur, je ne suis pas tombé. On arrache tout dans le salon. Les vitrines en verre, le mobilier... Je parviens à le terrasser avec unje prise qui m'est propre. Je le neutralise. On a appelle la police. Je dis à la femme d'aller chercher mon chien (un rottweiler) et lui jette mes clés d'appart. En attendant, lui essaie de se libérer de mon emprise. J'ai un genou sur son bassin et son bras, un autre sur le haut de son thorax, pour qu'il ne bouge pas, et lui tient un bras avec la main droite. Pendant qu'elle est en bas chercher mon chien. Je colle quelques coups de coude dans la gueule de son mec. Je lui démonte bien la machoire, lui fait un cocard sur l'oeil en lui disant "la prochaine fois que tu frappes ta femme, je te bousille l'autre oeil". En effet, quelques j'avais sympathisé et dîné avec eux quelques semaines avant que cela n'arrive. Aussi je savais qu'il n'avait pas pû être pilote de ligne suite à un accident qui lui avait fait perdre la vue d'un oeil. Là, je le menaçais de lui crever l'autre.
La police est arrivée. Il m'a menacé de mort devant eux, moi et mon chien. A 5h du mat la police l'avait relâché et il tentait d'enfoncer mon store car j'habitais au rez de chaussée. Il était là avec ses amis pour mettre ses menaces à exécution. J'ai appelé 3 fois les flics en 5 min, leur disant qu'il voulait me tuer, mais ils ne venaient pas. Finalement, je me suis barricadé avec des pots en verre, vides dans les lieux de passage. J'ai planqué mon chien qui était gentil et suis allé chercher un couteau à viande avec une lame d'une quarantaine de centimètres. Les flics sont arrivés. Mais j'ai préféré quitter mon appartement le jour même, emménageant chez un collègue et mettant toutes mes affaires en dépôt meubles. On m'a prescrit des anxiolitiques car je me sentais toujours menacé par ce mec et sa bande mais je me suis remis au boulot et j'ai surmonté cela.
Quelques mois après, j'ai revu la femme au supermarché. Elle m'a dit qu'il ne l'avait plus jamais frappée et qu'il avait fait une cure pour arrêter de boire. Elle m'a dit que ce jour là j'avais été le premier mec à s'interposer et à lui foutre sa taule.
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Il y a une douzaine d'années, j'étais dans le RER C à Saint-Michel. Je revenais d'un réveillon de Noel chez une copine connue justement à Hambourg. Un mec, stature gringalette s'est fait lynché dans le wagon. Ils s'étaient assis derrière lui et lui balançaient des trucs. (une bande de racailles). Il lui crachaient dessus. Alors il a changé de place. Ils l'ont suivi. Alors il a voulu changer de wagon. Mais une fois sur le quai, ils l'ont passé à tabac gratuitement. Il était à terre, seul sans défense à se prendre des coups de pieds de 4 mecs différents. J'étais dans le wagon, à l'étage. J'ai interpellé des gens: "on ne peut pas le laisser comme çà...". Ils sont quatre, on est 3, on sera assez nombreux pour s'interposer. Finalement, ils sont remontés dans le train. La victime aussi, mais dans un autre wagon. La bande s'en est aperçue au moment du départ du train. Alors à Austerlitz ils l'ont rattrapé dans l'autre wagon. Alors j'ai de nouveau interpellé les autres passagers du train. Je les ai convaincus que le mec dans l'autre wagon était en train de passer un mauvais quart d'heure. A Ivry sur Seine, on décide de s'en mêler. On retrouve la bande quelques wagons en avant. On s'asseoit, mais on fait mine de ne pas être ensemble, chacun sur un siège. Nous sommes 3. Là on s'aperçoit qu'ils ne sont plus 4, mais 7 ou 8. Ils ont retrouvé des potes dans d'autres wagons. L'un deux me montre du doigt disant: "lui il voulait cafeter, ... " oups, je crains que ce soit mon tour. La bande commence à se chauffer, tapant dans les cloisons du train, dans les vitres... Comme dans "La haine". J'ai flippé. En plus, je voyais que les 2 mecs avec lesquels je m'étais engagé dans cette aventure étaient en train de se débiner... Je me sentais perdu. Puis finalement, l'un des deux, veste en cuir maron clair, carrure costaud, avec un sac de sport, genre flic qui sort de la salle de muscu, commence à hausser le ton: "Hé, qu'est-ce que vous voulez? Vous cherchez les emmerdes, un mec çà vous suffit pas? Le deuxième gars s'est aussi levé. Ils sont vu que je n'était plus tout seul, mais qu'on était au moins 3. Ils ont fait mine de continuer à se chauffer, mais ils sont finalement descendus à Vitry. A Choisy le Roi, je me sens suivi. Il est 1h du mat... En effet a l'époque il y avait des trains pendant la nuit du réveillon. Alors je m'arrête, fait mine de me lacer les chaussures. Au moment où celui que je croyais en train de me suivre arrive à ma hauteur, je me redresse subitement. Il m'aborde "C'est du beau boulot que vous avez fait dans le train" "Comment çà?". "Vous les avez bien gérés. Du propre: dissuasif, sans baston". On discute. Je lui raconte l'histoire depuis Saint-Michel. Il croyait que j'étais de la police férroviaire en civil. Mais lui m'a montré son insigne, il en faisait partie. Il n'est pas intervenu dans cette altercation car il n'était pas en service.
Le vrai héros dans l'histoire, c'est ce mec en blouson de cuir marron jaune, avec le sac de sport... Autant j'ai rassemblé les troupes pour sauver ce mec qu'on n'a pas revu, autant lui il est intervenu au bon moment.

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Ma mère a sauvé 1 gamine dans un accident de voiture entre une R16 et une R5 qui avait fini dans un champ avec plusieurs tonneaux. Les parents étaient morts. L'une des soeurs avaient pris un bidet chargé dans le coffre la tuant sur le coup. Et ma mère a sauvé la gamine en lui faisant les premiers secours, en la ranimant et en lui faisant du bouche à bouche. Mes parents m'avaient interdit de descendre de notre voiture. C'était une nuit, il y a plus de 25 ans... C'était un cauchemard. Mais la ptite fille a survécu, orpheline de parents et de soeur.

Answer 9

En juillet de l'an dernier, ma fille de 5 ans, très désobéissante, jouait près du rapide d'une rivière avec ses deux frères. Ces deux derniers étaient prudents et se tenaient loin mais elle, bravait le courant et allait très près Je lui avais dit de s'enlever. Elle a continué et, avant que je n'aie le temps d'aller l'y enlever, elle a glissé sur une roche et est tombé dans la rivière.

N'écoutant que mon coeur de mère (je suis une ex lifeguard), je suis sautée dans la rivière, tout habillée, souliers y compris et je l'ai aggrippé, puis tirée sur le bord de l'eau.

Au moment où j'ai décidé de la sauver, je n'étais plus sa mère. J'étais la life gard. J'ai suivi toutes les consignes qui m'avaient été enseigné avec un réel sang froid et n'ai pas perdu une seule seconde.

Une fois sortie de l'eau et à l'abri (son frère lui vait prêté son tshirt afin qu'elle n'aie pas trop froid), j'ai constaté toute l'ampleur que cela aurait pu prendre. Le rapide aboutissait sur un bain profonde et noire. Elle aurait pu s'y enfoncer. J'ai eu un peu un état de choc tout en étant fâchée de sa désobéissance.

Depuis, chaque fois que nous faisons une randonnée près de ce rapide (nous y allons souvent, c'erst un de nos endroits de prédilection), elle ne manque pas de souligner que c'est très dangeureux d'aller jouer sur les roches près de la rivière...

Je suis très fière de moi d'avoir agit avec autant de sang froid.

Answer 10

bof jamais eu l'occasion d'être vraiment héroïque

peut-être contredire en réunion le boss devant tous, alors qu'il mentait comme un arracheur de dents, mais cela ne m'a pas réussi, je n'ai pas conservé mon poste