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La gauche est meilleure gestionnaire que la droite ! Sous Jospin, le poids de la dette a baissé avec une croissance mondiale d'environ 2,7% par an sous son mandat.
Selon le gouvernement actuel lui-même, alors que le poids de la dette publique représentait 56,8 % du PIB en 2001, il atteindrait le record historique de 64,8 % en 2005 ! Une progression de 15 % en seulement quatre ans !
La droite aime à développer, pour mieux se disculper, la thèse d'une malédiction dont elle serait la victime. Selon cette thèse, la droite n'aurait jamais de chance avec la conjoncture et parviendrait toujours au pouvoir en creux de cycle conjoncturel.
Cette affirmation fausse et singulièrement naïve n'est pas démontrée par l'analyse statistique. La croissance mondiale très soutenue a été de 5,3% en 2004 et 4,8% en 2005 (source INSEE).
Si la croissance mondiale ne se traduit pas dans notre économie, c'est donc que des explications internes doivent être trouvées ....

2007-02-17 20:02:29 · 10 réponses · demandé par bilbo h 2 dans Politique et gouvernement Élections

10 réponses

L'UMP nous prend pour des imbécilles, comme d'habitude. Elle ment par omission. Sa gestion économique sur les cinq dernières années est moins bonne que celle des "centralisateurs staliniens irresponsables" de la gauche. C'est vraiment un comble. Pour des libéraux qui sont restés cinq ans au pouvoir, (et quel pouvoir! Quasi absolu!), c'est une honte. Et ils voudraient régner pendant cinq ans de plus? Alors qu'ils ont failli là où ils devraient être les plus forts, ces donneurs de leçons d'économie! C'est la démonstration par A+B que l'UMP n'en a rien à secouer du bien être du pays, voire même que le marasme économique qui engendre de l'inquiétude, de la peur, ça l'arrange, car elle pense que les électeurs viendront se blottir dans ses bras. Les Français ne sont pas tous des imbécilles, et ils savent compter, et ils savent aussi voter!

2007-02-17 20:29:59 · answer #1 · answered by Anonymous · 0 1

C'est un bon résultat non?
A peine plus que l'inflation, c'est pas mal je trouve.

2007-02-18 04:52:47 · answer #2 · answered by chrisjan 5 · 0 0

Oui, mais elle a décuplé de 1981 à 1992 dans la période ou les taux d'interêt étaient de 15 %. décuplé signifie x 1O.

2007-02-18 04:14:49 · answer #3 · answered by jean37 4 · 1 1

Le montant de le dette française est faible comparée à celle de ses concurrents.
Ce qui importe ce n'est pas le montant de la dette mais son emploi: si l'on s'endette pour financer les dépenses courantes, c'est problèmatique (sauf en période de récession), si l'on s'endette pour constituer des actifs productifs, c'est un endettement sain.
De toute façon, l'Etat ne meurt jamais: la dette n'est donc jamais liquidée: elle est effacée par la croissance et un niveau modéré d'inflation.
Le scandale c'est la politique de la "cagnote" des socialistes qui on considére qu'un moindre déficit (150 MDSF au lieu de 200) constituait un bénéfice à distribuer (pour raisons électorales) au lieu de rembourser la dette.

2007-02-18 04:41:48 · answer #4 · answered by Aristote 2 · 0 1

La réponse qu'avait donnée la gauche à la dette publique, c'était de favoriser la croissance, en répartissant mieux les richesses: plus d'emploi, la prime pour l'emploi, ... La droite a fait repartir plutôt du côté de l'augmentation de la précarité, la confiance des foyers s'est effondrée, la consommation a décru, et la dette remonte. Et a prouvé que diminuer simplement les impôts des riches ne suffisait pas à créer une embellie économique. Mme Royal répète qu'elle veut relancer l'économie, en restaurant la confiance des petits et des grands acteurs économiques. Le signal me semble plus intéressant et plus fort que la seule polémique sur l'ISF, ou l'objectif de baisser les impôts de 4 points du PIB (Mme Thatcher n'avait pu les faire baisser que de 2 points, pour quels résultats sociaux!).

2007-02-18 04:16:30 · answer #5 · answered by mamie5962 4 · 0 1

réduire les inégalités de traitement notamment concernant les retraites des fonctionnaires, EDF/GDF, SNCF etc..., réduire les dépenses militaires en Afrique et l'assistance aux pays africains corrompus, être enfin efficace sur le travail clandestin qui entraîne un énorme déficit d'entrées fiscales et de cotisations...

Voilà ce que les gouvernements socialistes (et les autres d'ailleurs) ont refuse de faire et qui réduira notre dette.

2007-02-18 04:15:08 · answer #6 · answered by Anonymous · 0 1

Lors de sa conférence de presse trimestrielle, le ministre de l'Economie, Thierry Breton, a de nouveau promis vendredi de stabiliser la dette publique française, qui a atteint 66,8% du PIB en 2005 et a dépassé ainsi ses prévisions initiales. La dette se porte donc à 1.138 milliards d'euros et s’est accrue de 6,5% en 2005 (soit près de 70 milliards d'euros) après avoir déjà crû de 7,5% en 2004, selon l’Insee.


Malgré ces chiffres, le ministre s’est félicité de ce que « la France n'est plus en situation de déficit excessif ». Ces résultats font en effet apparaître des déficits publics inférieurs à 3% du PIB pour la première fois depuis 2001 - « à 2,87% exactement », a souligné Thierry Breton. Si la France « revient dans les clous du traité de Maastricht » pour les déficits publics, selon la formule du ministre, ce n'est cependant pas le cas de la dette publique.


Objectif de déficits publics revu à la baisse


Les critères de Maastricht imposent aux pays de la zone euro de maintenir leur dette publique sous le seuil de 60% du PIB. Thierry Breton a rappelé qu'il avait pris l'engagement de stabiliser le ratio « dette sur PIB » en 2006. Il a ainsi fixé pour 2006 un objectif de déficits publics de 2,8% au lieu des 2,9% prévus par le projet de loi de finances. Il a confirmé l'intention du gouvernement d'élaborer un budget 2007 qui reposerait sur le principe d’une progression les dépenses de l'Etat moins rapide que l’inflation.


Le ministère de l'Economie compte montrer l'exemple en jouant la rigueur à Bercy. Ainsi, les réductions d'effectifs s'amplifieront. « Nous ferons mieux qu'en 2006 », année pour laquelle il est prévu qu'un départ en retraite sur deux ne soit pas remplacé, a déclaré le ministre. En 2006, 2.608 suppressions d'emplois sont programmées à Bercy, soit la moitié de la baisse d'effectifs globale dans la Fonction publique.


Des chiffres encourageants pour Bercy


En dépit d'une révision à la hausse des chiffres du 4ème trimestre, l’Insee a annoncé que la France avait enregistré une croissance de son produit intérieur brut de 1,4% en 2005, un chiffre inférieur aux espoirs du gouvernement. Pourtant le ministre a confirmé les prévisions de croissances de Bercy. Il a ainsi réaffirmé vendredi qu'il prévoyait une croissance du PIB située entre 2% et 2,5% en 2006 et la poursuite de la baisse du chômage.


Sur ce point, il a déclaré que le nombre de demandeurs d’emplois devrait passer « sous la barre des 9% » de la population active à la fin de l'année et approcher 8,7% - 8,8% en avril 2007, grâce à la création de 200.000 emplois en 2006. Cette baisse du nombre de demandeurs d’emplois serait imputable « aux effets des mesures pour l'emploi du gouvernement de Dominique de Villepin et notamment du CNE (contrat nouvelles embauches) et du plan de cohésion sociale. Concernant la crise du CPE, elle n'a pas « à ce stade », selon lui, d'impact économique « notable ». Il a annoncé une bonne nouvelle pour les ménages dont le moral est en baisse d’après le chiffres de l’Insee publiés jeudi : « les gains de pouvoir d'achat devraient se poursuivre et dépasser 2% cette année : cela représente environ 500 euros supplémentaires par ménage en moyenne », a-t-il précisé.


Alors que l’Insee annonce vendredi matin la progression de la dette publique française, le ministre de l'Economie a de nouveau promis de la stabiliser dès 2006. Selon lui, d’autre part, « la France n'est plus en situation de déficit excessif ». La conférence de presse trimestrielle de Bercy a aussi été l’occasion de revenir sur les derniers chiffres de conjoncture et la crise du CPE.

Pour Thierry Breton, la crise du CPE n'a pas 'à ce stade' d'impact économique 'notable'. (AP Photo/ Remy de la Mauviniere )

Lors de sa conférence de presse trimestrielle, le ministre de l'Economie, Thierry Breton, a de nouveau promis vendredi de stabiliser la dette publique française, qui a atteint 66,8% du PIB en 2005 et a dépassé ainsi ses prévisions initiales. La dette se porte donc à 1.138 milliards d'euros et s’est accrue de 6,5% en 2005 (soit près de 70 milliards d'euros) après avoir déjà crû de 7,5% en 2004, selon l’Insee.


Malgré ces chiffres, le ministre s’est félicité de ce que « la France n'est plus en situation de déficit excessif ». Ces résultats font en effet apparaître des déficits publics inférieurs à 3% du PIB pour la première fois depuis 2001 -.........

lE FIGARO semble apporter ici le côté presque positif du ministre...
Alors comment réagir?
Dire que c la mauvaise gestion de la gauche...
ou la mauvaise adaptation de la droite?
Je rigoleeeeeeeeee
ils ne sont pas plus doués les uns que les autres...
Pas facile de tirer sur l'ambulance quand on est pas capables de faire mieux....

2007-02-18 04:13:26 · answer #7 · answered by baler53 2 · 0 1

monsieur sarkozy va nous dire que c'est pas lui ...
(bravo l'analyse en tout cas)

2007-02-18 04:07:52 · answer #8 · answered by philyodox 3 · 0 1

Il faut également tenir compte de la hausse des hernies discale
dues au lancer (report de charges) que la gauche a imposé à tous les contribuables.
Le disque n'est pas encore arrèté

2007-02-18 04:08:14 · answer #9 · answered by bruchez_ch 3 · 0 2

pas évident d'entendre ça dans les media,
c'est le sujet tabou de la campagne de Sarkosy.

2007-02-18 04:07:23 · answer #10 · answered by Nicorette 6 · 0 2

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