Serait-il possible qu'elle soit souvent justifiée ou qu'à quelque chose souffrance soit bonne ?
agréable week end
chaleureux salut a Gentille et Zara :o))
2007-02-17 03:18:20 · 7 réponses · demandé par Anonymous dans Amour et relations ➔ Célibat et rencontre
si tu perd ne perd pas la leçon, c l'avantage de la souffrance. merci d'être présent entre mes amis
2007-02-17 22:47:01 · answer #1 · answered by halouh 2 · 1⤊ 0⤋
cela fait parti de la vie et ça nous permet de prendre des décision et d'être capable de les surmonter
2007-02-21 03:25:51 · answer #2 · answered by Anonymous · 0⤊ 0⤋
des fois c'est bien de soufrir pour que nous fassons jamais le meme erreur et d'avoire plus experience à la vie ,mais c'est bien de sourier toujours face à la souffrance.
2007-02-17 21:37:00 · answer #3 · answered by nedjma141 1 · 0⤊ 0⤋
avant tout merci pour ton salut chaleureux, tu nous as manquer
Pour répondre a ta question je dirai ceci
Le héros, accepte la souffrance, sait qu'il ne peut rien y changer, mais continue contre vent et marées à faire de son mieux, le héros, fait de son mieux pour lui même, dans l'instant présent tout en connaissant et éprouvant de la souffrance, mais il n'en devient pour autant ni cynique, ni désemparé, ni paralysé par la peur de la souffrance.
Mieux, il s'avance dans ce monde plein de souffrance sans comprendre: il n'éprouve pas le besoin d'expliquer la souffrance ni de la justifier de son innocence, le héros cultive nécessairement l'estime de soi et l'intégration sociale, pour arriver a cela, il faut être capable d'accepter cette vérité "la souffrance fait partie de la vie"
2007-02-17 21:11:21 · answer #4 · answered by Saphira 7 · 0⤊ 0⤋
La souffrance nous permet d'avancer dans la vie et d'être plus fort.
bon courage
2007-02-17 03:36:52 · answer #5 · answered by p'tite blonde 4 · 0⤊ 0⤋
S'il nous faut distinguer souffrance et douleur, cela ne signifie pas, me semble t-il, qu'il faille distinguer le corps et l'esprit mais que le sujet souffrant vit la douleur du corps désirant et pensant, donc conscient de lui-même, comme indigne et dégradante car il la subit sans pouvoir s'y affirmer comme valeur, réduit à l'état d'instrument par et pour les autres et/ou les circonstances qui mettent hors jeu toute autonomie désirante possible.
Par contre la douleur peut-être valorisante dès lors qu'elle signifie pour le corps-sujet désirant et conscient de lui-même, à tort ou à raison, sa montée en valeur et en puissance (voir chez le sportif et/ou le mystique-martyr et/ou la femme qui accouche: "tu accoucheras dans la douleur...")
Si toute douleur du corps-esprit n'est pas souffrance, toute souffrance est douleur du corps pensant.
La souffrance est bien un refus de la douleur mais dans l'impuissance à s'en libérer; le sujet est mis hors jeu par sa douleur; il n'en est plus que l'objet, par delà les circonstances qui l'ont provoquée. La souffrance est toujours l'indice d'une perte: la perte de soi comme puissance d'action. Au sens de Spinoza, elle est tristesse et celle-ci peut être telle qu'elle provoque le désir de mourir comme délivrance du monde et de soi.
Le héros et le martyr croient trouver dans la mort sacrificielle et volontaire l'affirmation de leur puissance d'agir envers et contre tout; le déprimé veut simplement en finir avec une vie désertée par l'amour de soi. Quant à l'homme ordinaire, que certains méprisent, il renonce à la toute puissance en limitant ses objectifs à ce qui lui paraît souhaitable et possible pour réduire la douleur, dans le recherche des seules causes sur lesquelles il peut encore agir; en cela il est prudent, au sens d'Aristote.
2007-02-17 03:27:17 · answer #6 · answered by Anonymous · 0⤊ 0⤋
elle permet d'être + fort et d'avancer ..............
2007-02-17 03:23:52 · answer #7 · answered by lilou 4 · 0⤊ 0⤋