J’ai rêvé de l’amour, ce luxe insaisissable
Ce mirage désiré qui mène toutes nos vies
Cet îlot de tendresse aux charmes inénarrables
Ce but, cette espérance qui reste inassouvie
Il avait revêtue sa parure féminine
Ses courbes et ses formes, divines et captivantes
Il avait les yeux bleus, la chevelure mutine
Il exhalait de lui une fragrance enivrante
Je vous aurai voulu, là, présent dans mon songe
Pour pouvoir palper son aura éthéré
Et sentir le bonheur dans lequel il vous plonge
Quant il vient déposer sur vos lèvres un baiser
L’aube depuis toujours chasse la nuit onirique
Vous laissant dans le cœur un goût d’inachevé
Les doutes vous assaillent, est ce la vérité ?
Ai-je vraiment rêvé cette femme angélique ?
Alors vous émergez doucement de la torpeur
Vous réveiller ce corps encore endolori
Puis vous ouvrez les yeux et n’êtes pas surpris
De le voir près de vous, votre ange de douceur.
2007-02-16
05:54:01
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5 réponses
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demandé par
fanfan le retour
2
dans
Arts et sciences humaines
➔ Livres et auteurs
zfirotte : négatif aucune erreurs dans les vers que tu cites détaches les syllables et tu verras.
2007-02-17
11:27:10 ·
update #1