" La question des Balkans ".
Grèce indépendante en 1829, Serbie en 1830 : marque le début d'une période de réformes dans l'Empire ottoman, mais qui s'appliquent difficilement. Bilan : les libertés concédées servent au renforcement des nationalismes locaux.
1878 : éclatement de la partie Nord suite à une révolte des Bulgares et à une intervention des Russes puis des Autrichiens (Congrès de Berlin) : est le début des antagonismes entre Russes et Autrichiens dans les Balkans. La Serbie et la Bulgarie sont les moteur de l'instabilité locale.
1912-1913 : Deux guerres affectent la région.
- La première est tournée contre la Turquie qui perd tous ces territoires en Europe à l'exception de la Thrace orientale.
- La seconde est un conflit entre la Bulgarie et les autres pays balkaniques. Elle se traduit (sous les pressions autrichiennes) par la création d'une Albanie indépendante qui empêche à la Serbie d'avoir une façade maritime => la rancune qui en résulte sera à l'origine de la première guerre mondiale.
2007-02-13 07:19:40
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answer #1
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answered by Anonymous
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c'est la bordelle qui commence par la libération d'après l'occupation Ottomane là -bas ...
les peuples qui vivaient là ayant eu entre l'époque de décline de l'Empire Byzantine et ce de l'occupation ottomane une apogée à de moment différent ..., cherchaient à retrouver (même souvent dépasser aussi) cette grandeur du passé. Les Bulgares, la grande Bulgarie (qui serait quasi le triple de celle d'aujourd'hui); les Serbes la grande Serbie (là aussi chevauchant sur d'autres ...); les Roumains (qui était d'origine balkanique, mais en ce moment là vivant plus au Nord aussi cherchaient à avoir un pays (eux ils n'avaient pas avant l'époque ottoman). Les Albanais (encore très peu 'éveillé', mais l'un des plus anciens peuple de Balkan) plutôt sous tutelle des Italiens ont aussi leur revendication (plus justifié ... et moins gourmande). Et comme dernier..., les Grecques. Vers le Balkans eux ils ne cherchaient que leur territoire historique (la Grèce + la Macédoine).
En plus de cela ; les grandes empires qui cherchaient à étendre leur hégémonie (en remplacement celle de Ottomans) dans la région. Les Russes atteindre la Dardanelles, sinon même l’Adriatique (avec une grande alliance slave). Les Turques qui après 6 siècles de domination, mais surtout établissement (ex. en Bosnie le peuple majoritaire –à ma connaissance-) ils considéraient la territoire comme la leur …, ne désiraient pas l’abandonner. L’Autriche (plus tard l’Autriche-Hongrie) voulait maintenir son influence sur le Balkans (c’était plutôt un tendance défensive, contre la poussée russe vers cette région). De plus loins la GB, la France et l’Allemagne (de 1871) qui cherchaient quasi d’unanimité freiner les Russes, mais divisé en ce concerne les revendications de petits … Surtout la France … soutenait pleinement les Serbes, car par cela (par un conflit éclenché) elle comptait récupérer l’Alsace et la Lorraine perdu auparavant.
Donc il y a des petits qui se chamaillent sur la dépouille des Ottomans, comme les grands à travers d’eux.
D’abord la libération de la Serbie, ensuite la fondation d’état roumain ; la Roumanie. Ensuite, la Bosnie, la Bulgarie (qui est aussi revendiqué tant par le Croates que les Serbes) …. et ensuite vient l’annexion de la Bosnie par l’Autriche (je mets uniquement que l’Autriche, car dans la monarchie dualistique Aut-Hon. la Hongrie s’y opposait) et les deux guerres entre eux (les Bulgares, les Serbes, les Roumains …) balkaniques (1912 et 1913). Finalement (malheureusement même pas FINALEMENT !) l’attentat à Sarajevo qui déclenche le première grande boucherie internationale. On pourrait dire que c’était l’internationalisation du Balkans …
2007-02-12 22:38:51
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answer #2
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answered by lajos_ecru 7
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Les peuples Chrétiens ont repris leur indépendance aux Turcs Ottomans Musulmans.
C'est un résumé mais c'est le fond
2007-02-12 21:13:03
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answer #3
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answered by Ker boycotte ce site 3
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près les Byzantins et un bref intermède vénitien, les Turcs ottomans avaient établi leur domination, fut une grande ville juive et hispanophone. Les Juifs n'y constituaient pas, comme à l'ordinaire, une minorité marginale. Ils étaient "la" majorité, et leur culture donnait le ton à toute la ville. À partir de 1850, Salonique devient progressivement le pôle le plus dynamique d'un Empire ottoman vermoulu. Elle s'ouvre aux connaissances, aux techniques, aux idées, aux mœurs de l'Europe moderne.Tandis que l'Histoire s'emballe au début de notre siècle, la ville est le point de départ de la révolution jeune-turque contre le sultan en 1908 ; passe sous domination grecque en 1913 ; est directement impliquée dans la "Grande Guerre", de 1915 à 1918, en devenant le camp retranché de l'"Armée d'Orient". Après la Première Guerre mondiale, Salonique change de visage avec son intégration à l'État national grec, le grand incendie de 1917, le départ des Turcs et d'une partie des Juifs, et l'arrivée massive de réfugiés grecs venus de Thrace et d'Asie mineure. Avant la phase finale de l'extermination des Juifs en 1943.
2007-02-12 09:41:11
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answer #4
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answered by ? 7
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