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question idiote ? donnez un exemple svp et imaginez une réponse à votre question tout aussi stupide ! que le meilleur gagne !

2007-02-12 00:00:25 · 8 réponses · demandé par ocoucou 3 dans Arts et sciences humaines Philosophie

8 réponses

qu'est ce qui est invisible et qui pue la carotte???? un pet de lapin!!!

2007-02-12 00:09:17 · answer #1 · answered by Anonymous · 0 0

les petites questions de gens qui viennent placer leurs humours dans des rubriques qui n'ont rien à voir. Suffit de lire la file des question en regardant les question de sexe bas de gammes , les insultes entre les parties politiques pour comprendre que des tas de gens viennent ici en ayant rien à faire du service

2007-02-12 09:30:38 · answer #2 · answered by Hades et Persephone 7 · 1 0

"vous avez quel age?" question idiote non ? mais pas pire que les reponses du genre "120 ans" ..

2007-02-12 08:02:44 · answer #3 · answered by chatai[Ġ]ne 6 · 1 0

Celle-ci par exemple. Le but étant de discuter sur un forum et ce but est atteint. Le jour où les pensées pourront être résumées en un seul mot, il n’y aura plus de questions idiotes. Ni de bla-bla-bla non plus. Tout cela me fait penser à cette théorie des cases que j’ai pondue un jour et qui… Mais tiens !, la voilà :

1) Théorie des cases

Avec les moyens de notre époque, voyons comment nous pourrions comprendre le « Langage Universel » ou tout mode de communication, d’une façon générale.
Quand je cherche à comprendre le fonctionnement de mon cerveau, j’établis une comparaison simple avec un appareil très répandu en 1995 : l’ordinateur.
Le fonctionnement actuel de l’ordinateur est toujours basé sur le système binaire : le courant passe ou ne passe pas (position 1 ou 0). Le dispositif utilisé (diode, transistor, silicones ou autres) peut être apparenté à un commutateur. Ce commutateur active ou n’active pas des circuits électroniques de base que nous désignerons schématiquement par « cases ».
Pour le cerveau humain, ces cases correspondraient aux neurones. Nous en possédons dix milliards paraît-il.
Selon qu'un neurone est activé ou pas, on peut donc imaginer qu'il y a une pensée (réflexion, idée, cogitation) ou état de repos. A mon avis, le fonctionnement de base du neurone doit être beaucoup plus complexe que cela mais pour simplifier, (et ce sera déjà pourtant assez compliqué), on admettra qu'il ne peut y avoir que 2 états : le courant passe ou ne passe pas (c'est-à-dire que le neurone est sollicité ou il ne l'est pas).
Chaque idée qui nous traverse l'esprit sollicite donc un nombre x de cases (donc de neurones) exactement comme les programmes informatiques des micros. Ces idées seront d'autant plus riches qu'elles utiliseront un grand nombre de cases. Toujours par comparaison avec l'ordinateur, un programme très complexe nécessitera une mémoire importante.
Jusque là, cela doit aller à peu près bien pour tout le monde. A partir de tout de suite, accrochez-vous tous bien car le virage devient très serré. (1)
(1) Pour ceux dont les cellules cérébrales commencent à chauffer dangereusement, se reporter immédiatement à la conclusion de ce chapitre.

Un seul mot génère une idée, au moins.
Dans la langue française, un seul mot a souvent plusieurs définitions et génère autant d'idées. Dans un but de simplification, toujours, nous admettrons qu'un seul mot correspond à une seule idée. Construisons déjà un raisonnement sur cette base et laissons aux virtuoses de l'activité cérébrale développer leur propre théorie ( s'ils y arrivent).
Donc : 1 mot = 1 idée = x cases
Pour les puristes, je rappelle ces définitions du Larousse :
Mot : sons ou groupe de sons servant à désigner un être, une idée.
Idée : notion que l'esprit se forme de quelque chose.

Nous sommes donc en conformité avec le Dictionnaire Larousse.
Je continue.
Deux mots clés fourniront 3 idées maîtresses.
Démonstration :
Soient M1 et M2 ces 2 mots.
M1 fournit à lui tout seul une idée I1.
M2 fournit à lui tout seul une idée I2.
L'association M1 et M2 (notée M1 M2) nous fournit une troisième idée fondamentale I3. La réunion de M1 et M2 n'est pas influencée par l'ordre de M1 et M2 : I3 = M1 M2 = M2 M1. Notre langue permet l'inversion des mots : « blanc cheval » ou « cheval blanc » est une association de mots parfaitement compréhensible, quel que soit l'ordre.
L'intersection de M1 et M2 (notée M1 M2) ne présente pas d'intérêt pour la suite de notre raisonnement. En effet, l'idée dégagée appartiendra à la fois à I1 et a I2 et sera donc une idée secondaire par rapport aux précédentes. Tout ceci nous explique d'une façon relativement complexe des petites pirouettes cérébrales qui ne présentent que peu d'intérêt pour la suite de notre démonstration.

Résumons :
M1 = I1 (1 mot fournit 1 idée).
M1 M2 = I1 ou I2 ou I3 (2 mots fournissent 3 idées).
Et ainsi de suite. (2)

(2) Se reporter à (1)

Trois mots, M1, M2 et M3, vous fournissent les combinaisons suivantes :
M1 = I1
M2 = I2
M3 = I3
M1M2 = I4
M1M3 = I5
M2M3 = I6
M1M2M3 = I7
C'est-à-dire 7 idées au total.
Exemple de 3 mots clés qui génèrent 7 idées maîtresses :
M1 : homme
M2 : espèce
M3 : sale
M1M2 : homme espèce
M1M3 : homme sale
M2M3 : sale espèce
M1M2M3 : homme, sale espèce.
Je vous laisse placer la ponctuation et les quelques articles définis ou indéfinis permettant d'exprimer correctement l'idée à chaque fois.
Un mot est souvent le condensé de plusieurs mots usuels du Larousse, d'où l'utilisation du terme « mot clé ».
Autre exemple d'une idée maîtresse :
Le Bonheur (idée maîtresse) est égal à l'association de Amour, Argent et Santé. Des subdivisions comme félicité, plaisir, satisfaction, réussite ou autres synonymes sont considérées comme incluses dans cette idée maîtresse.
L'utilisation de 4 mots clés nous conduit à 15 idées différentes. Je vous laisse aligner les combinaisons correspondantes pendant que je réfléchis : tout ceci sent le raisonnement par récurrence, non ?
En effet, le nombre de combinaisons possibles pour choisir :
un mot parmi 4 autres est : C = = 4
deux mots parmi 4 est : C = = 6

trois mots parmi 4 est : C = = 4

quatre mots parmi 4 est : C = = 1

Soit au total : C + C + C + C = 4 + 6 + 4 + 1 = 15

Pour la sélection parmi trois mots on avait :
C + C + C = 3 + 3 + 1 = 7

Pour la sélection parmi deux mots :
C + C =2 + 1 = 3

Pour un mot : C = 1

D'une façon beaucoup plus générale, le nombre total de combinaisons nous est donné par la formule du binôme de Newton :

C = 2 - 1

n = nombre de mots
(2 -1) = nombre d'idées

Exemple pour quatre mots :
C = C + C + C + C = 2 - 1 = 16 - 1 = 15

Avec 10 mots nous générons : 2 - 1 = 1024 - 1 = 1023 idées 10 (environ mille idées).
Avec 20 mots nous générons : 2 - 1 = 1048574 idées 10 (1 million).
Avec 30 mots nous générons : 2 - 1 10 (1 milliard)
Avec 37 mots nous générons : 2 - 1 10 (10 milliards = nombre de neurones).
Avec 40 mots nous générons : 2 - 1 10 idées (100 milliards).

Rendez-vous compte ! Si une idée correspond à une case activée, avec 37 mots clés vous dépassez la capacité du cerveau. Ceci revient à dire que si vous construisez une phrase avec ces 37 mots, plus un supplémentaire (38 mots), notre esprit n'est plus assez performant pour analyser toutes les notions exprimées. Restent à trouver ces fameux mots clés...
Cette démonstration n'a pas tenu compte du facteur temps. On a vu qu'une idée sera d'autant plus complète qu'elle utilise un nombre important de cases. Nous n'avons pas déterminé combien de temps la case devait rester activée. C'est toute la différence qu'il doit y avoir au niveau de notre cerveau entre la prise de conscience et la mémoire. Dans l'ordinateur, la vitesse du courant électrique parcourant les composants est de 300 000 km/s. La vitesse de notre pensée serait-elle de cet ordre ? Je pense qu'elle est nettement supérieure. Ma génération aura-t-elle la possibilité de le démontrer ? (3)

(3) Se reporter à (2)

Imaginons que nous n'avons que 10 mots à notre disposition pour nous exprimer. On a vu que ces 10 mots peuvent générer 1000 idées. Pour développer ces idées nous avons à notre disposition 1010 cases (10 milliards de neurones).
Donc une idée utilise en moyenne 10 /10 = 107 cases (10 millions).
On ne sait rien du circuit précis utilisé ni du temps nécessaire.
Ce dont je me suis souvent rendu compte, par contre, c'est de la chose suivante : un livre de bon niveau intellectuel développe environ 1000 idées de base sur 250 pages. A raison de 200 mots par page, vous obtenez 50 000 mots donc 5 000 fois plus que dans notre théorie des cases ! Par ailleurs, je n'ai pas eu souvent l'impression que chaque idée développée utilisait les 10 millions de neurones disponibles. Que de possibilités cérébrales inutilisées !
Ainsi, la satisfaction intellectuelle que je ressens, après avoir étudié un sujet, est directement proportionnelle au nombre de cases activées : 50%, 60% ou 75% peut-être ; le stade 100% étant la perfection à l'état pur, qui peut se targuer de l'avoir un jour atteinte ?
Inversement, la folie pourrait très bien être interprétée comme une interférence d'un circuit de cases avec un autre sans qu'il y ait cheminement cohérent.
A mi-chemin entre ces 2 stades, je ne peux pas ne pas évoquer toutes ces revues « béatifiantes » répandues dans le commerce et chargées de vous apporter la culture et l'instruction. Votre circuit de cases est souvent utilisé avec une rentabilité voisine de 1%. Ce sont toujours les mêmes cases que vous activez ou désactivez en croyant balayer des idées nouvelles. Ce grand espace intellectuel inemployé vous laisse obligatoirement sur une impression de manque. Fuyez donc les paraphraseurs.



(1) Conclusion (de l'introduction) :
Au niveau de la compréhension, une idée (c'est-à-dire une association de mots) aura un rendement supérieur à un seul mot.
Donc une association de mots simples vaut mieux qu’un mot compliqué.
D’où la possibilité de faire des phrases très « performantes » grâce à l'utilisation d'auxiliaires et de noms communs simples.
D'où ce bouquin sur maximes, réflexions, etc.

Commentaires sur la théorie des cases.

Cette façon simpliste de voir les choses me paraît très pratique pour apporter maintes explications que les biologistes de notre époque ne sont pas encore capables de fournir.
Une case activée, au moins une fois, correspondrait au vécu ; les souvenirs, ou la mémoire d’une façon générale, ne seraient jamais qu’une facilité plus ou moins grande à réactiver certaines cases à la demande.
Génétiquement, on peut admettre que certains naissent avec des cases déjà activées d’où des prédispositions pour la musique, le dessin, dons particuliers, etc. Cette explication conviendrait parfaitement pour les surdoués, les magnétiseurs, guérisseurs ou autres. Ceci détermine, bien entendu, un caractère à la naissance mais que l’on peut modifier au cours de sa vie. La position des astres dans l’univers au moment de la naissance (ou la conception) pourrait effectivement influencer l’activation de ces cases.
Je reste toutefois persuadé que le vécu d’un individu normal à la naissance sera davantage influencé par son environnement que par ses prédispositions génétiques. Le message d’espoir est donc très grand : c’est vous qui faites de votre vie ce qu’elle est ; tout n’est pas froidement prédéterminé à la première seconde de votre venue sur terre.


2) Définition de : maximes, syllogismes, etc.

J’ai voulu, dans ce recueil, regrouper un certain nombre de réflexions spontanées concernant tous les thèmes de la vie courante. Quelles soient drôles, sérieuses, dogmatiques ou franchement idiotes, leurs appellations peuvent être très différentes. Voyons la panoplie de définitions que notre bonne, vieille et chère Langue Française nous offre.

Maxime : formule brève énonçant une règle de morale ou de conduite ou de réflexion d’ordre général.
Mots de sens voisin : aphorisme, sentence, dicton, proverbe, précepte, principe, formule, moralité, pensée, règle.

Aphorisme : courte maxime. (Définition du Larousse qui nous ramène à la case départ). Pour le Robert, la définition est la suivante : énoncé très court résumant un point de science, de morale.
Mots de sens voisin : adage.

Sentence : courte phrase de portée générale, précepte de morale, maxime.

Dicton : phrase exprimant une idée générale sous une forme proverbiale.

Proverbe :conseil de sagesse exprimé en une formule généralement imagée.

Précepte : formule qui exprime un enseignement, une règle (art, science, morale, religion).

Principe : proposition première, posée et non déduite (dans un raisonnement, un syllogisme).

Formule :façon de parler, expression consacrée par l’usage.

Moralité : conclusion morale que suggère une histoire.

Pensée : sentence, maxime.

Règle : principe de conduite, loi.
Adage : maxime ancienne et populaire empruntée au droit coutumier ou écrit.

Syllogisme : raisonnement déductif rigoureux qui, ne supposant aucune proposition étrangère sous-entendue, lie des prémisses à une conclusion (ex. : Si tout B est A et si tout C est B, alors tout C est A).

Prémisse : affirmation dont on tire une conclusion ; commencement d’une démonstration.

Parabole : comparaison développée dans un récit conventionnel dont les éléments sont empruntés à la vie quotidienne et comportent un enseignement religieux ou moral.

Allégorie : représentation, expression d’une idée par une figure dotée d’attributs symboliques (art) ou par une métaphore développée (littérature).

Métaphore : procédé de langage qui consiste dans une modification de sens (terme concret dans un contexte abstrait) par substitution analogique. « Donner dans le panneau » est une métaphore.
Mots de sens voisin : comparaison, image, métonymie.
Métonymie : procédé de langage par lequel on exprime un concept au moyen d’un terme désignant un autre concept qui lui est uni par une relation nécessaire (cause et effet, inclusion, ressemblance, etc.). « Boire un verre » (boire le contenu) est une métonymie.
Commentaire : surpris, hein ! Qui eût pu penser qu’un geste aussi banal et une expression aussi fréquente caractérisent une expression métonymique ? Boire un coup est donc un comportement hautement intellectuel et seules les mauvaises langues prétendront le contraire.

Apologue : court récit en prose ou en vers, allégorie comportant un enseignement de caractère souvent moral.

Devise : brève formule qui caractérise le sens symbolique de quelque chose, ou qui exprime une pensée, un sentiment, une règle de vie, de conduite.

Apophtegme :parole mémorable ; pensée concise.

Sophisme : raisonnement qui n’est logiquement correct qu’en apparence et qui est conçu avec l’intention d’induire en erreur.

Gauloiserie :propos libre et licencieux.

Licencieux : qui manque de pudeur, de décence.
Mots de sens voisin : immoral, libertin, grivois, scabreux, égrillard, érotique, gaillard, graveleux, impudique, impur, indécent, lascif, léger, leste, luxurieux, osé, paillard, pornographique, rabelaisien, sensuel(*), vicieux.
(*) J’ai repris, en l’occurrence, tous les mots utilisés par un dictionnaire de synonymes. Je ne suis absolument pas d’accord sur le fait d’avoir placé le terme « sensuel » sous cette rubrique. « Sensuel » et « vicieux » évoquent des situations radicalement opposées. A mon sens, tout ceci n’a pas de sens et, à la réflexion, je trouve que c’est très... vicieux.

Boutade : trait d’esprit, propos plaisant et révélateur.

Dérision : mépris qui incite à rire, à se moquer de quelque chose ou de quelqu’un.
Mots de sens voisin : dédain, ironie, humour, mépris, persiflage, raillerie, sarcasme.

Dérisoire :qui est si insuffisant que cela semble une moquerie.
Mots de sens voisin : infime, insignifiant, minime, ridicule, vain.

Citation :passage d’un auteur rapporté exactement.

Slogan :formule brève et frappante lancée pour propager une opinion, soutenir une action.

Gouaille : verve populaire moqueuse et expressive.

Antiphrase : manière de s’exprimer qui consiste à dire le contraire de ce qu’on pense, par ironie ou euphémisme.

Euphémisme : minimiser ce qui est grave.

Ironie : déconner en faisant souvent mal aux autres.

Connerie : action, parole inepte.
Synonymes : imbécillité, absurdité.
Je ne pouvais quand même pas l’oublier celui-là ! Il me semble d’ailleurs que ce terme est, de toute notre liste, celui qui se trouve le plus utilisé dans la langue courante... Et il figure, bien entendu, en bonne place dans nos respectables Larousse et Robert.

Réflexions drôles ou philosophiques, répétitions volontaires (c’est-à-dire pléonasmes), accentuations, euphémismes, style populaire, naïf, gamin ou gaga : voilà toutes les voltiges grammaticales et de vocabulaires que je vous propose de connaître en ma compagnie. Nos Académiciens n’auront pas besoin de défourailler leur épée ni de perdre leur dentier : je jure de ne pas écorcher ma Langue Maternelle davantage que ce que j’entends et vois faire autour de moi. Par contre, et avec tout le respect que je leur dois, je leur conseillerais vivement à nos Académiciens, d’administrer une bonne bastonnade aux vendeurs de logiciels de traductions prétendues « sérieuses » et qui sabordent notre culture littéraire. Ces logiciels ne sont pas encore suffisamment élaborés (en grammaire, notamment) et induisent en erreur les personnes ayant une connaissance superficielle de notre langue. Vu sous cet aspect, l’avènement de l’informatique risque d’être très préjudiciable à toute une génération.
De toute façon, une langue subit forcément des modifications dans le temps et chaque époque apporte sa dose d’innovations. Le langage universel « codé » n’est pas pour tout de suite.
Toutes les définitions précédentes sont induites par une construction de phrase. Le terme « maxime » me paraît être le plus représentatif. Les principaux types de maximes (qui correspondent donc à des circuits types dans notre théorie des cases) sont les suivants :
a) Circuit « retour à la case départ ». C’est l’histoire du chien qui se mord la queue. Le lecteur se retrouve dans la même situation qu’au départ après avoir effectué une boucle.
b) Formulation de deux réflexions antagonistes qui laissent supposer que la logique, la vérité, l’équilibre, le bon sens, se trouvent entre ces « bornes ».
c) Deux constatations liées entre elles avec déduction : nous avons vu qu’il s’agit d’un syllogisme.
d) Question posée crûment : le lecteur apporte sa propre réponse en fonction de l’analyse qu’il fait.
e) Constatation simple, désespérément naïve criante de vérité et d’évidence incontestable.
f) Ordre impétueux lancé à la face du lecteur. Il s’agit souvent d’un précepte « musclé » destiné à déranger dans les habitudes et à créer une atmosphère de perplexité comique.
g) Stupidité caractérisée sciemment établie ou parfois involontaire (ce qui est beaucoup plus grave) : merci d’avance, cher lecteur, de ta mansuétude.

2007-02-13 00:51:51 · answer #4 · answered by François R 3 · 0 0

Que préféreriez-vous ? Mourir de votre vivant ou mourir de votre belle mort ?
Ho, moi, je préférerez ne pas avoir à mourir du tout du moins pas tout de suite.

2007-02-12 11:29:02 · answer #5 · answered by Grain De Sable 5 · 0 0

il n'y a pas de question idiote, il n'y a que des personnes impatientes ...

j'ajoute que ça arrive malheureusement trop souvent dans le milieu des enseignants qui se permettent de traiter avec mépris des élèves qui ne sont pas à leur niveau alors qu'ils sont là justement parce qu'ils ne sont pas à leur niveau ce qui fait que le plus idiot la plupart du temps est celui qui s'érige en juge méprisant , mais j'ajoute encore que c'est tout à fait pardonnable de la part d'un enseignant d'être méprisant parce qu'ils sont là pour apprendre une énergie d'enseignement dont l'utilisation négative la plus courante est justement le mépris, c'est marrant ...
et puis il y a des personnes qui sans être enseignant et c'est heureux ne prennent pas le temps de réfléchir du tout à la question qui leur paraît stupide en apparence parce qu'elles ne s'attachent qu'aux apparences justement et si une telle personne superficielle pour le coup, se mettait à poser des questions, est-ce qu'on aurait le droit pour autant de dire que la question est idiote précisément au moment ou la personne superficielle se met à regarder un peu plus en profondeur, ce serait dommage non?...

en vérité je vous le dis, il y a bien d'autres raisons encore et toujours qui nous poussent à répéter très souvent qu'il ne faut jamais critiquer personne !

pourtant quelquefois, par rapport à soi-même il arrive que les questions qu'on se pose s'avèrent être idiotes au bout du compte, par exemple la suivante : est-ce que ma religion est la meilleure ? eh bien! certainement parce que sinon j'en aurais choisi une autre, mais se traiter d'idiot pour autant, c'est méconnaître le fait qu'on peut aussi se pardonner à soi-même ...

2007-02-12 09:41:33 · answer #6 · answered by maricimaraj 7 · 0 0

Si je n'étais pas là, est-ce que je m'ennuierais?
réponse idiote: j'aurais sans doute mieux à faire.

2007-02-12 08:44:31 · answer #7 · answered by ELISEU V 2 · 0 0

-Qu'est ce que vous faites en ce moment?
-Ben... je répond à ta question sur Yahoo!

2007-02-12 08:05:57 · answer #8 · answered by maxime la frime 3 · 0 0

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