Le programme de Nicolas Sarkozy fait-il le poids face à celui de Ségo ?

Answer 1

Cela dépend ce que tu nommes un programme ;)
J'ai pas encore compris ou Ségo veut emmener les Français !

Answer 2

Ah que oui! (comme dirait Johnny)!
le CNE généralisé c'est super !!
les heures sup c'est super, c'est mieux que des augmentations !!
non à l'indépendance du Quebec !!
tous les moyens mis en oeuvre pour retrouver les voleurs de scooter (de personnalités)
moins d'espaces verts et plus d'usines
lutte contre l'homophobie et les mariages gays
suppression de l'ISF pour les smicards et les milliardaires
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non, je plaisantes.
S'il faisait le poids les umpéistes en mission sur Yahoo Q/R lanceraient des débats plutot que des insultes

Answer 3

Tu appelle programme les 4 pages de promesses vagues du site de l'UMP ?
Ou les déclarations contradictoires du candidat ?

Answer 4

On verra ça quand ils seront face à face.

Answer 5

Ségolène? Quel programme? Elle parle dans le vent depuis 1 heure!

Elle va se mettre à pleurer, maintenant?

Answer 6

le programme de ségo est "à bas sarko". le choix est vite fait

Ci-dessous le texte de l’article de Louis Mexandeau :

“Je n’ai aucun contentieux avec Ségolène, rien de personnel contre cette femme au regard clair, au physique agréable, mais sitôt qu’elle apparaît à la télévision, l’historien et militant socialiste que je suis est saisi de crainte, pour ne pas dire d’effroi. Je ne puis m’empêcher de penser à Léon Blum au XXXe congrès national de la SFIO, en juillet 1933, lorsque Marquet préparait avec Déat la scission néosocialiste sous le slogan de l’Ordre et de l’Autorité. Blum s’était exclamé : « Je suis épouvanté ! » Et de fait, je suis terrifié par Ségolène prétendant militariser le traitement de la délinquance ; je suis abasourdi par son projet de jurys populaires façon cours d’assises pour les élus, comme si le suffrage universel et les structures judiciaires appropriées n’existaient pas ; je suis confondu par sa planétaire indigence qui lui fait improviser cette réponse à propos de l’entrée de la Turquie dans l’Europe : « Mon opinion est celle du peuple français. » Je veux être leur chef, donc je les suis !
Mais d’où vient cette propension à la dérive populiste, au démagogique, à l’erratique, au saugrenu, et finalement à la mise en danger de la France ? Cynisme ? Voire ! La vérité est plus simple et bien plus inquiétante : Ségolène, c’est une inculture de taille encyclopédique, une sorte de trou noir de la science. Une ignorance crasse, pire que reaganienne : bushiste.
Comme si elle n’avait pas lu un seul livre. Des cours seulement. Pour passer des concours… Je la connais depuis plus de vingt-cinq ans, j’ai assisté à ses débuts. Sa carrière a commencé en Basse-Normandie, lorsqu’elle venait rejoindre sa mère en fin de semaine dans la demeure familiale de Villers-sur-Mer. Elle gravitait alors autour de l’Elysée, rédigeant des notes à l’intention de Jacques Attali. Dès 1983, elle était conseillère municipale minoritaire de Trouville. Deux ans plus tard, le scrutin proportionnel ayant été adopté en vue des législatives de 1986, se posait la question du deuxième de liste dans le Calvados. Au vu de nos résultats de 1981, même érodés par le désamour, l’obtention de deux sièges apparaissait certaine. Un ticket s’imposait : 1. Louis Mexandeau. 2. Henry Delisle. Mais comme ce dernier venait de perdre la mairie de Mézidon, sa position était fragilisée. André Ledran, qui m’avait succédé comme secrétaire de fédération, se mettait sur les rangs. Rude dilemme que de devoir choisir entre deux amis. La solution n’était-elle pas d’opter pour une troisième personne ? Nous étions dans une période où l’on commençait à parler d’un rôle accru des femmes en politique. Oh ! Avec frilosité, les socialistes se déclarant en faveur de la promotion féminine à condition qu’elle s’appliquât dans le département voisin…
A l’été 1985, lors d’une réunion de la commission exécutive du Calvados, à Caen, il fallut commencer à en débattre. Chacun des 60 participants n’avait encore en tête que l’enjeu entre Delisle et Ledran. L’atmosphère était lourde. Soudain, sur la gauche de la grande salle de la rue Paul-Toutain se leva une frêle créature, une femme jeune et jolie dont j’étais le seul à connaître l’identité. Qui pouvait savoir alors que même sa timidité devait avoir été étudiée ? Même pas moi ! Elle déclara dans un grand silence : « Voilà, je m’appelle Ségolène Royal, je suis membre de la section de Trouville et conseillère municipale. J’ai 28 ans. Je suis mère d’un enfant. Je travaille à l’Elysée auprès de François Mitterrand. Les deux personnes que j’aime le plus au monde, c’est mon bébé et François Mitterrand. Je voudrais être candidate aux élections législatives de l’an prochain en deuxième position, derrière Louis. » Puis elle se rassit. Il n’y eut aucune discussion. Suffoquée par tant d’audace, la salle restait muette. Que cette jeune personne, même présentant bien, même proche, prétendait-elle, du président de la République, mais n’ayant aucune expérience militante, revendique une candidature qui l’enverrait automatiquement au Parlement paraissait complètement incongru, ahurissant, surréaliste. On passa donc sans commentaire à la suite de l’ordre du jour et, au final, quelques semaines plus tard, ce fut Yvette Roudy qui fut choisie.
« Les deux personnes que j’aime le plus au monde, c’est mon bébé et François Mitterrand ! »
Par ces quelques mots, et sans doute pour la première fois, Ségolène effaçait son compagnon, le père de son enfant. François Hollande, dont j’étais, ce soir-là, le seul à connaître le nom, ne cessera plus d’être évacué jusqu’à l’ultime humiliation. Berné, piétiné dès l’origine, le malheureux ! Début 2006, à la question de savoir qui d’elle ou de lui serait candidat à l’investiture, elle avait répondu : « Nous déciderons en couple. » Tu parles ! Vingt et un ans après l’épisode de la rue Paul-Toutain, revoici Hollande rejeté au néant. D’avoir vécu près d’elle pendant un quart de siècle ne lui aura servi de rien.
Surfant sur les sondages favorables, elle l’a lâché, tout comme elle a floué Jospin, Lang et les autres. Paralysés à l’idée de passer pour sexistes - Ségolène excellant dans la posture de prétendue victime - ils l’ont laissée faire la course en tête, tels ces coureurs pistards de l’ancien Vél’d’Hiv, au temps de Toto Gérardin et de Lapébie. Soucieux de ne pas partir les premiers dans le rôle du lièvre, ils n’ont pas pu, ou voulu voir le VTT chevauché par cette amazone qui les coiffe au poteau en leur lançant joyeusement le fameux : « T’as le bonjour d’Alfred ! » Une chose est certaine, en tout cas : si, à la faveur de cette dérive médiatique, elle vient à gagner en novembre, le parti socialiste risque d’entrer dans une phase noire de son histoire, une période glaciaire, telle qu’il en a connu en 1920 et 1940″

Answer 7

Enfin, elle promet d'"aider les victimes". Elle veut notamment qu'il soit possible de "déposer plainte par Internet" pour "briser la loi du silence". A.P
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C'est bien là le problème de S.Royal : elle mène une Campagne Virtuelle !
Elle fait bien partie de cette Gauche Caviar qui s'imagine que tout le monde en France a un ordinateur ! surtout chez les plus démunis !
Déjà que la Justice a bien du mal à démêler le vrai de l'abusif dans les Plaintes (tout comme les gendarmes ou la Police dans les enquêtes préliminaires)...
Imaginons les ABUS par Internet ! qui deviendrait dans le domaine de la diffamation une plaie comme la pédophilie qui envahie Internet...
La Justice appréciera d'avoir à traiter les plaintes sur Internet ! en plus d'avoir à devenir plus rapide... plus expéditive... comme en Chine !

Mais S.Royal imagine-t-elle un instant ce que provoquerait comme effet une pareille possibilité !
Un Gouvernement de Vichy, de retour... n'importe qui pourra dénoncer n'importe quoi et détruire des vies en une minute sur Internet... l"info. filant à la vitesse de l'éclair !
Le matin vous vous levez tranquille, la conscience en paix... le soir vous vous retrouvez en garde à vue sur une quelconque accusation d'un collègue de travail, un voisin, un amant (te), un ex-conjoint(e) etc... qui vous en veut !
Toutes les dérives deviendront possibles ! et que fait-elle de la présomption d'innocence et des accusations mensongères qui sont dejà légions dans les Tribunaux ou Porcureurs et Juges ont bien du mal à s'y retrouver...
S.Royal et F.Hollande sont pourtant les PREMIERS à se plaindre de diffamation ... et sur Internet précisément !!!!!!!!!! Effrayant des propositions pareilles !

Profitez vite de pouvoir vous exprimer librement sur Internet... parce que demain, quand Ségolène sera à l'Elysée... vous serez accusé de diffamation et poursuivi en Justice...
Sauf si vous insulter Sarkozy...ça vous pourrez continuer à le faire...

Answer 8

ce qui est sur c'est que ces programmes sont radicalement différents!
Sarko: il faut qu'on bosse tous ensemble pour remettre un peu de fric dans les caisses
Ségo: "les banques du coeur", distribution de fric à tous ceux qui en manquent, sauf que qu'il n'y a plus rien dans les caisses.

Answer 9

tu appelles ça un programme ce qu'elle est en train de sortir?
je ne vois meme pas d'approche de la politique internationale, de l'Europe, juste des mesurettes genre dispensaires dans les quartiers difficiles, tu parles d'un programme, hihihi...

Answer 10

La difference c'est que Sarkozy s'efforce d'appeler un chat un chat, alors que Blanche Neige voit un monde en rose sans vraiment saisir les vrais enjeux. Chacun des citoyens francais veut savoir ce qu'il aura dans sa gamelle demain, le reste, de la politique politicienne...

le discours de Sego, elle n'a pas du en ecrire un virgule! a voir comment elle se penche pour le lire!!!

Answer 11

J'ai déjà posé la question sans obtenir de réponse. Il est ou le programme de Sarkozy ? Et je ne parle pas du pdf de deux pages et demi sur son site qui énoncent des banalités inimaginables...

Ce qui est marrant, c'est que l'UMP a promis une campagne sur le fond, sans être capable de fournir le moindre fond.