2007-02-11 01:31:06 · 7 réponses · demandé par joly J 1 dans Societé et culture ➔ Religions et spiritualité
C'est en Europe seulement que les vocations diminuent.
En 10 ans, elles ont progressé de 85 % en Afrique, de 75% en Asie, stationnaire en Amérique et ont diminué de 20 % en Europe.
Il me semble que ce sont les pays riches seulement qui ont une chute du nombre des vocations et de la pratique religieuse. Le matérialisme et la richesse ne favorisent pas la recherche de Dieu...
Vatican II n'est pas en cause, ou alors son influence diffère fortement d'un continent à l'autre.
2007-02-11 03:27:11 · answer #1 · answered by Kito 6 · 0⤊ 0⤋
Moi je dirai que c'est plutôt la fautes des nouveaux adultes qui délaisse tout sans en parler autour d'eux et que des qu'une histoire de pédophilie ou autre soient d'actualité on fait trop de polémique autour pour dégoûter les gens qui sont intéressés pour les vocations mais si leur foi est plus grande alors il n'ont recours qu'a DIEU heureusement ils ne se basent pas tous sur la crise mais sur leur choix et sur leur vocations religieuses
2007-02-11 10:02:03 · answer #2 · answered by angemarie 6 · 2⤊ 0⤋
Parce que de nos jours il n'y a plus que des vocations sincères.
Autrefois, on se faisait prêtre, moine ou religieuse pour des tas d'autres raisons (financières entre autres). Les vocations sincères n'étaient qu'une minorité.
2007-02-11 09:39:03 · answer #3 · answered by Anonymous · 3⤊ 1⤋
la même que pour le mariage. la peur de prendre des décisions pour la vie. La peur de la fidélité. Tu sais, je connais plusieurs garçons qui ont la vocation de la prêtrise ou de la vie religieuse et qui n'ose pas s'engager. ou alors, ils le font plus tard (plus à 18 ans comme avant mais vers 30, 40 ans).
Je crois qu'en France, les prêtres ne sont pas payés par l'état (pas l'alsace et lorraine) et cela doit jouer un minimum car ils doivent vivre un minimum aussi.
J'ai déjà pu remarqué que les jeunes préféraient rentrè en vie communautaire que prêtre de paroisse.
pour rajouter à Ha Ca, à l'époque (même début 1900, ça se faisait encore), 1er garçon d'une famille était consacré au Seigneur. Ce qui s'est passé pour 1 de mes grands-oncles. Mais il ne l'a jamais regretté en allant aider les + démuni en Bolivie.
Il est sur que les vocations et les chrétiens d'aujourd'hui sont des chrétiens très encrés dans leur foi et ne la lacheront pas comme ça.
2007-02-11 09:41:33 · answer #4 · answered by ? 6 · 1⤊ 0⤋
Salut Joly J
Tu abordes le problème sous tous les angles mais toutes tes questions ont la même cause. je t'ai déjà répondu sur la question des églises vides. Crois-tu vraiment utile d'avoir des curés "catholiques" pour enseigner que toutes les religions sont conduites par l'Esprit saint? (Concile Vatican II, lumen gentium)
2007-02-11 13:40:53 · answer #5 · answered by gérard l 2 · 0⤊ 0⤋
Mis à part les 'golden sixties' en général, je pense que la crise des vocations date en grande partie de Vatican II et son relativisme religieux (faux oecuménisme): si toutes les religions se valent plus ou moins ou sont respectables, si tout le monde va au paradis (Jean-Paul II doutait que quelqu'un soit en enfer !), à quoi bon consacrer encore sa vie à Dieu en choisissant un chemin difficile fait de renoncements ? Dans la foulée, la Messe a été fortement désacralisée (protestantisation), cela s'en ressent dans les chiffres:
1938: 1355 ordinations de prêtres en France
1951: 1028
1960: 595
1965: 646
1968: 501
1969: 370
1970: 285
1975: 161
1976: 136
1977: 99
Depuis on tourne aux alentours d'une centaine par an.
Entrées en vie religieuse:
1941-1948: 800 par an
1949-1953: 650
1954-1957: 550
1958-1963: 450-500
1970-1971: 150-170
1983: 163
Entre 1975 et 1983 : 268 congrégations sur 369 ont du fermer leurs noviciats.
On juge l'arbre à ses fruits...
2007-02-11 09:48:20 · answer #6 · answered by pensassa 7 · 0⤊ 1⤋
manque de sexe
2007-02-11 09:38:05 · answer #7 · answered by Anonymous · 2⤊ 3⤋