que diriez vous des personnes qui souffrent d' un complexe d'infériorité?

Question

comment peut on les aider à développer leur personnalité??

Answer 1

Une psychanalyse est indispensable pour regler ce genre de probleme, c'est le genre de choses qu'on ne peut pas regler seul, malgré le soutien des proches

Answer 2

à mon avis,les personnes souffrant d'un complexe d'infériorité ont pour problème le fait de n'avoir jamais fait d'introspection, de ne jamais avoir fait le bilan de ce qu'ils sont en examinant posément *qui* ils sont et quelle est leur valeur.

contrairement à ce qui a été écrit par un autre intervenant, je ne pense pas qu'il faille les féliciter pour la moindre de leurs actions en vue de les aider: la félicitation risquerait de perdre de son importante; si j'étais félicité tous les jours par mes proches après avoir fait pipi, je commencerais à trouver ces félicitations suspectes...

je pense plutôt qu'une bonne chose à faire pour remédier à ce complexe est d'amener la personne à "faire le bilan" de ce qu'elle est, de ce qu'elle vaut, en discutant longuement avec elle de ce sujet... mettre en valeur ses compétences (fait-elle de la poterie ? lui dire que ce qu'elle fait, je ne serais pas capable de le faire, etc.), et lui démontrer que, simplement "tout s'apprend", que nul ne naît avec la connaissance ou la faculté d'être un excellent pianiste; que la différence entre humains est la rapidité avec laquelle une connaissance ou un savoir-faire est assimilé, et que hormis déficience intellectuelle ou physique le seul élément déterminant est la *volonté*.

-en guise d'exemple, je pourrais parler de ce trisomique que j'ai connu, qui VOULAIT devenir photographe malgré son handicap... eh bien il est photographe, aujourd'hui.
"qui veut, peut" est un proverbe qui se vérifie facilement.

vaste sujet, difficile d'y répondre en une question, mais en appliquant la "méthode" dont je viens de parler, j'ai eu quelques bons résultats (-je ne suis en aucun cas un professionnel de la psychologie cependant, ceci doit être précisé.)

Answer 3

IL faut apprendre à observer les autres et, c'est pas beau à dire, mais se délecter de leurs défauts et se dire que sur ces points on est meilleur, l'enchaînement se fait de lui m^me, en faisant tomber l'autre de son pied d'est ale dans son imaginaire, la personne peu sûre d'elle prend alors de l'assurance. Il faut voir les défauts des autres pour accepter les siens et s'affirmer.

Answer 4

il faut faire confiance à vous mème,dans tout les situation

Answer 5

Les accorder le maximum d'attentions possible, les aider à comprendre et à retrouver leur place dans l'entourage quelles évoluent ...
Ca demande beaucoup, mais ça donne de bons résultats.

Answer 6

Qu'elle a été écrasée par quelqu'un. Le conseil que je lui donnerai serait de rompre avec celles et ceux qui l'écrasent ou qui l'ont écrasés. Ne plus voir ces gens ou ces choses qui ne vous permettent pas de vous épanouir. J'ai eu plusieurs cas autour de moi, de jeunes qui sont partis à l'étranger, loin de frères et soeurs ou de parents trop pesants, et qui en sont revenus transformés.

Un autre conseil est de se spécialiser dans quelque chose, devenir bon, excellent dans un truc, ça c'est très bon, ça donne de l'assurance et cela change le regard des autres.

Et un bon psy, ça sert beaucoup aussi.

Answer 7

De ne pas leur faire croire qu'ils peuvent tous être des présidents de la République.

Pour en savoir plus sur ce sentiment d'infériorité :

"Les lieux de vie créent une ambiance permettant aux gens de prendre conscience de leur souffrance. Le travail soignant sera d'aider l'individu dans son expérience, de pourvoir à ses besoins élémentaires, de laisser surgir l'effondrement, puis la guérison sans s'immiscer dans le processus. Ces lieux s'opposent aux valeurs de la famille nucléaire, et font éclater la vie de couple et les liens de parenté.

Il faut voir cela comme une tentative de débarrasser le malade de toute contrainte sociale. Et aussi comme une acceptation et une réponse par rapport au langage de la folie. Le personnel est référent privilégié des malades. Dans chaque communauté, chacun peut discuter des faits et gestes de tout le monde. Il faut assister le malade dans son délire plutôt que l'arrêter. Il y a une reconsidération de la maladie mentale, comme partie intégrante d'un processus social. Puisque les hôpitaux psychiatriques ne peuvent accueillir les expériences communautaires, les participants sont obligés de fonder leurs propres locaux. Le malade est quelqu'un en crise et le soignant est là pour recueillir cette crise. Les buts de l'antipsychiatrie sont la tolérance et l'acceptation de la folie. Ainsi est l’avis de Ronald Laing."

Lien : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sentiment_d'inf%C3%A9riorit%C3%A9

Answer 8

commencer d'abord par ne pas se sous-estimer.

Answer 9

Juste les aimer, et leur dire qu'ils sont intéressants.

Answer 10

en les valorisant pour la moindre chose qu'elles font bien