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la sagesse et la philosophie qui en découle, s'aquière t'elle par la souffrance, les dures épreuves de la vie.

2007-02-05 00:01:01 · 10 réponses · demandé par Géraldine 4 dans Amour et relations Amitiés

10 réponses

bien sur que les experiences t aguerisse, mais le sage est celui qui retiens les enseignements de la vie.....et agis pour ne plus etre bousculer tel un fetu de paille par les éoliens aléas ...
compris petit scarabée????

2007-02-05 01:15:52 · answer #1 · answered by rack 4 · 0 0

Tu me déranges dans ma méditation que j'effectue sur ma planche à clous

2007-02-05 08:57:23 · answer #2 · answered by ♀♂ton magicien♫♪ 5 · 1 0

Contrairement à ce qu'on peut te répondre, je te surprend si je te dis c'est le contraire: ceux qui sont sages qui souffrent plus parcequ'ils ont devant eux une montagne de mentalité qui n'a rien à voir avec la sagesse. Un sage refuse la violence, la tricherie et le mensonge or que de nos jours c'est devenue monnaie courante . Nehru et Mao Tsé Tong ont souffert ;

2007-02-05 08:22:59 · answer #3 · answered by Abob 4 · 1 0

Chez les philosophes grecs ou dans la tradition orientale, la sagesse (« sophia » en grec) est l'idéal de la vie humaine. Il peut se définir comme un état de réalisation qui s'appuie sur une connaissance de soi et du monde, s'accompagne d'un bonheur suprême et correspond à l'état de perfection le plus elevé que puisse atteindre un humain. La sagesse est le "savoir être heureux" ou encore la science du bonheur. Plusieurs chemins sont possibles.

La sagesse tragique de l'obscur Héraclite propose des aphorismes qui mettent en lumière le perpétuel mouvement des choses, changement qui nous force à rechercher les solutions adaptatives les meilleures et auquel on doit s'acclimater (« Tu ne te baigneras pas deux fois dans le même fleuve »)par une connaissance de la raison des choses : "la sagesse consiste en une seule chose : connaître le logos qui agit toujours et partout."

A la suite de Socrate, modèle de la sagesse antique, les Stoïciens et les Epicuriens définissent la sagesse comme la maîtrise des désirs par la raison et la connaissance de ce qui est de notre ressort et de ce qui ne l'est pas. Les Sophistes évoquent la relativité de la vérité qui s'élabore dans le discours, dans le débat agonistique, dans le maniement de la rhétorique, de la logique et de la résolution des contradictions.


Chez les Académiciens, il s'agit de rechercher le Souverain Bien et Aristote propose avec prudence les activités contemplatives et théorétiques pour y arriver. Socrate prône la cogitation, l'humilité, l'acceptation de son ignorance et le respect absolu des lois de la cité, en l'occurrence : Athènes. Pré-socratique, Parménide examine dans un poème les chemins de l'être, celui du non-être et la possibilité d'un troisième chemin. Les Cyniques insistent sur la notion de joie individuelle, d'ascèse et de liberté (« Ôte-toi de mon soleil » disait ainsi à Alexandre le Grand le philososphe cynique Diogène de Sinope).

Ces considérations de sagesse ne sont en rien exclusives à la pensée occidentale. On les retrouve chez des auteurs aussi divers que le philosophe Confucius ou chez Lao Tseu, le prince et dramaturge indien Sudraka, le poète et mathématicien persan Omar Khayyam, l'auteur de certains livres de la Bible, Qohelet, l'Ecclésiaste, ainsi que le "livre des Proverbes", identifié au Roi Salomon, etc.

En Orient, mais aussi dans l'Occident antique, les sagesses sont parfois difficiles à distinguer des démarches religieuses, notamment parce qu'elles se pratiquent (ou ont été pratiquées) à l'échelle d'une communauté d'individus partageant la même pensée. Bouddha peut par exemple être regardé comme un maître de sagesse ou bien comme le fondateur d'une religion.

La sagesse chrétienne de l'Antiquité tardive et du Moyen Âge n'échappe pas à cette ambiguïté; les premiers moines comme les philosophes plus tardifs (Saint Augustin, Saint Thomas d'Aquin...) ont visé, à travers leur foi religieuse, à l'idéal de sagesse, parfois en se référant explicitement aux philosophes gréco-romains. Et les communautés monastiques ont elles aussi le plus souvent été fondées par des sages (au sens classique du terme).


La sagesse moderne [modifier]
A partir du XVIème siècle, des mouvements comme l'Humanisme de la Renaissance et plus tard la Philosophie des Lumières vont progressivement instituer d'autres sagesses, proposant d'améliorer la condition humaine par la foi en la raison, au détriment des dogmes religieux. Montaigne incarne le retour de la sagesse antique, avec un scepticisme qui emprunte essentiellement à l'hédonisme épicurien d'un amour simple de la vie. Spinoza incarne la sagesse d'une raison scientifique qui affirme sa puissance d'amour et de joie face au désordre souffrant des passions. Nietzsche propose de revenir à la conception héraclitéenne d'une sagesse tragique fondée sur l'approbation de la réalité (amor fati : l'amour du destin). Au XIXème siècle, les Positivistes comme Auguste Comte vont spécifiquement se tourner vers le progrès technique et associer la sagesse à la science, susctitant des réactions de la part des religieux et des mystiques.

Toutefois, et alors même que l'individualisme se développait dans les sociétés d'Occident, les sagesses (en tant que voies d'amélioration de l'Homme par l'individu) déclinaient au même moment, supplantées par des doctrines visant à apaiser les passions du genre humain au moyen de solutions globales, souvent d'ordre économique et/ou politique (libéralisme, socialisme, communisme, anarchisme,...).

La faillite, ou du moins la forte remise en cause de ces systèmes, de même que la prise de conscience autour de certains problèmes (comme la dégradation de l'environnement par la société matérialiste), ont conduit, depuis quelques décennies, à un regain d'intérêt pour les "sagesses", au sens classique du terme, c'est-à-dire les voies permettant à l'individu de s'améliorer au moyen d'un mode de vie équilibré et d'un certain contrôle de ses passions vis-à-vis du monde extérieur. Cette quête de sagesse n'est cependant pas à l'abri des illusions, comme dans le mouvement hippie des années 1960-70, et des dérives mercantiles voire malhonnêtes, tel que l'atteste le problème des "sectes", mais d'authentiques maîtres spirituels continuent de fournir des enseignements de sagesse, tels Krishnamurti ou Swami Prajnanpad et son disciple français Arnaud Desjardins. Après une longue phase de désintérêt de la part des philosophes, la sagesse redevient aujourd'hui un sujet central de la réflexion contemporaine : La Sagesse des modernes (Comte Sponville et Luc Ferry), Principes de sagesse et de folie (Clément Rosset), L'Amour de la sagesse (Bruno Giuliani)...

2007-02-05 11:27:13 · answer #4 · answered by Anonymous · 0 0

malheureusement OUI

2007-02-05 09:19:11 · answer #5 · answered by moh19700 2 · 0 0

principe du ying et du yang dans les épreuves de la vie savoir pourquoi cet épreuve ce trouves sur notre chemin et en profiter pour ce remettre en question

2007-02-05 08:15:10 · answer #6 · answered by gaston.eahm 4 · 0 0

Oui, et aussi bien par les souffrances que par les bonheurs.

2007-02-05 08:10:42 · answer #7 · answered by coeurdelouve1 4 · 0 0

Bien sûr que OUI, les étapes de la vie nous amenent à atteindre la sagesse!

2007-02-05 08:09:37 · answer #8 · answered by Line 6 · 0 0

un petit proverbe :
il aura fallut être jeune et con pour être vieux et sage.
Je crois que cela résume bien la situation.

2007-02-05 08:08:00 · answer #9 · answered by elise m 5 · 0 0

oui je te promet que oui
de toute façon dans la vie s'il n'y a pas d'épreuves vaut mieux avoir peur !

2007-02-05 08:05:29 · answer #10 · answered by mister M 3 · 0 0

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