OK
On parle bien là de pouvoir et non vouloir.
Notre pouvoir vient déjà de notre faculté physique et physiologique à mémoriser.
Notre évolution, l'apprentissage primordial avec l'entourage.
Un exemple avec l'enfant sauvage qui bien qu'humain apprend tardivement et n'arrive pas à rattraper ce retard.
La confrontation sociale est donc d'une importance capitale.
de plus, par conception l'Homme a toujours envie de découvrir, d'essayer car il a appris que cela lui apporte du plaisir.
Voilà quelques idées.
Bonne disserte
2007-02-04 03:49:36
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answer #1
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answered by Anonymous
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T'es gonflée!
Commence déjà par réflechir sur ce que pouvoir et connaitre signifient, indépendemment l'un de l'autre, puis l'un par rapport à l'autre. Puis interroge le notre et enfin le où.
2007-02-04 03:45:34
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answer #2
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answered by choucroute 4
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répond que toi tu ne l'as pas le pouvoir de connaître.
2007-02-04 03:43:35
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answer #3
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answered by flo 4
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Files dans ta chambre faire tes devoirs.
2007-02-04 03:37:51
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answer #4
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answered by Anonymous
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tiens vas là :interdit de copier par contre :-(
http://www.philagora.net/spinoza/spin-ethique9.htm
et voilà un recopié :
Présentation de la philosophie d'Emmanuel Kant :
Celle-ci est divisée en trois parties correspondant aux trois facultés de l'esprit, à savoir la faculté de connaître (ou entendement) qui en constituera la partie de la philosophie théorique, la faculté de juger ou judiciaire qui en constituera la partie esthétique et téléologique et la raison pure (qui est pratique) pour la philosophie pratique:
Introduction à la philosophie d'Emmanuel Kant :
Première introduction à la critique de la faculté de juger (1789):
L'ensemble des pouvoirs de l'esprit se laisse ramener aux trois suivants :
Pouvoir de connaître
Sentiment de plaisir et de déplaisir.
Pouvoir de désirer
Mais au fondement de l'exercice de tous ces pouvoirs on trouve toujours le pouvoir de connaître, bien qu'il n'y ait pas toujours connaissance (car une représentation qui relève du pouvoir de connaître peut également être intuition, pure ou empirique, sans concept). Par suite, dès lors qu'il est question du pouvoir de connaître d'après des principes, à côté des facultés de l'esprit en général, viennent se ranger les pouvoirs supérieurs de connaître que voici : Pouvoir de connaître - Entendement Sentiment de plaisir et de déplaisir - Faculté de juger. Pouvoir de désirer - Raison.
Il se trouve que l'entendement contient des principes a priori propres au pouvoir de connaître, que la faculté de juger n'en contient que pour le sentiment de plaisir et de déplaisir, et la raison de son côté uniquement pour le pouvoir de désirer. Ces principes formels fondent une nécessité, qui pour une part est objective, pour une part subjective, et qui, pour une part également, du fait même qu'elle est subjective présente en même temps une validité objective; voilà pourquoi, grâce aux pouvoirs supérieurs qui s'y ordonnent, ils déterminent les facultés de l'esprit correspondantes que voici :
Pouvoir de connaître Entendement Légalité
Sentiment de plaisir Faculté de juger Finalité
Pouvoir de désirer Raison Finalité qui est en même temps loi (obligation)
Enfin aux principes a priori que nous venons de citer, principes de la possibilité des formes, s'associent également ceux-ci qui en sont les produits :
Pouvoirs de l'esprit Pouvoirs supérieurs de connaître Principe a priori Produits
Pouvoir de connaître Entendement Légalité Nature
Sentiment de plaisir Faculté de juger Finalité Art
Pouvoir de désirer Raison Finalité qui est en même temps loi (obligation) Moeurs
Ainsi la NATURE fonde sa légalité sur les principes a priori de l'entendement comme pouvoir de connaître ; l'ART dans sa finalité a priori se règle sur la faculté de juger en rapport au sentiment de plaisir et de déplaisir ; LES MOEURS enfin (comme produits de la liberté) se situent sous l'Idée d'une forme de la finalité, qui se montre propre à des lois universelles à titre de principe déterminant de la raison relativement au pouvoir de désirer. Les jugements qui résultent en cette façon de principes a priori propres à chaque faculté fondamentale de l'esprit, sont des jugements théoriques, esthétiques et pratiques.
et à partir de maintenant ? fais tes devoirs :-) j'espère que ce n'est pas trop tard ?
2007-02-07 22:18:31
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answer #5
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answered by HJW 7
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Réfléchis un peu à cette citation de Spinoza, tirée de l'éthique... ça ferait même une bonne phrase d'entrée en matière pour ton intro:
"La puissance de l'âme, c'est le pouvoir de connaître: la volonté n'est qu'une abstraction..."
Spinoza veut dire ici que l'intelligence, qui nous permet de connaître, trouve son fondement dans la puissance de l'âme et non pas dans la volonté qui, pour lui, n'existe pas vraiment mais manifeste notre désir de connaître.
Il faut que tu définisses bien les mots pouvoir et connaître, que tu examines l'eventuelle controverse donctrinale qui réside autour de ces termes.
Pour finir, je te recommande de lire l'introduction de Critique de la raison pure de Kant: "nos connaissances ont elles l'expérience pour seule origine?"
Bon courage!
2007-02-04 04:05:21
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answer #6
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answered by lau1806 3
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je peux te faire l'introduction si tu veux :
Il est de notoriété publique que l'inconsistance de la pensée psychique est la conséquence d'une rupture entre les harmonies mystiques du corps et des flux du ch'i à travers le réseau lymphatique et faire savoir que la voyance constitue ce qu'on peut appeler un rapport esotérico-indépendant de la nature.
Cela est donc une preuve irréfutable qu'Heisenberg avait raison, l'incertitude règne partout et que donc le pouvoir de connaitre vient de nos ascendants
j'espère que je t'ai aidé
2007-02-04 03:47:08
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answer #7
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answered by tetras31 3
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il vient de ce que nous sommes des etres superieurs,ambiteux,et curieux
2007-02-04 03:39:08
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answer #8
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answered by Anonymous
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Déjà tu pourras mentionner le Dieu INTERNET !
2007-02-04 03:42:19
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answer #9
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answered by kellequestion! 2
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