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9 réponses

on faisait les plans sur des calques dans un premier temps, ensuite on plaçait le calque sur un papier sensible à la lumière, le tout dans une "tireuse", sorte d'appareil qui insolait le tout , enfin on plaçait le papier sensible à la lumière qui a été insolé dans une pièce où il y avait de l'ammoniac (là où je travaillais, on enroulait le plan, on le mettait dans une hotte (une sorte de huche à pain) où au fond il y avait une coupelle remplie d'ammoniac)), on attendait une demie heure, et hop! on avait un plan!
ça permet d'avoir plusieurs exemplaires d'un plan!
l'erreur à éviter dans ce procédé, c'est de mettre le calque à l'envers (bah oui! après toutes les écritures sont à l'envers)

2007-02-04 03:04:48 · answer #1 · answered by thomas veil the nowhereman 6 · 2 0

le papier Ozalid (anagramme de diazol) est sensibilisé par un tube à ultraviolet, la couleur bleue vient d'une réaction chimique produite sous l'effet de cette lumière ; avec le temps elle peut virer au sépia.

2007-02-05 19:35:05 · answer #2 · answered by boite à outils 38 4 · 1 0

Je confirme la réponse de thomas veil.
Le produit sensible à la lumière réagissait aux vapeurs d'ammoniac.
Pourquoi bleu et pas noir? Je ne sais pas.
En revanche, il existait aussi une technique qui consistait à faire un calque à partir du calque d'origine (appelé "contrecalque"). Exposé aux vapeurs d'ammoniac, les traits apparaissaient en noir.

2007-02-04 13:24:07 · answer #3 · answered by suntzu93270 6 · 1 0

Je récapitule:
Jusqu'à présent les réponses 3-4 et 5 se complètent.
- Il y a du papier sensible. (enroulé et protégé par un film noir avant utilisation).
- Il y a une tireuse de plans équipée de:
- tubes UV.
- et d'ammoniaque.
- Des résistances électriques chauffantes.
Dans la tireuse un plan de format A0 ( en général) et mis juxtaposé avec du papier sensible de même dimenssions (ou un peu plus grand).
Ces deux papiers passent en serpentin sur une série de rouleaux et sont exposés aux rayons UV et à la vapeur d'ammoniaque.
Un plan bleu sort de la tireuse encore humide, que l'on sèche à l'air libre ou sous un ventilateur.

2007-02-04 12:55:11 · answer #4 · answered by ZIRCON 6 · 2 1

un ancien système pour développer les plans . le papier blanc par une réaction chimique au contact de vapeur d'ammoniac, de venait bleu . un bleu plus ou moins clair suivant le temps d'exposition .et les dessins apparaissaient ..

2007-02-04 12:16:53 · answer #5 · answered by ? 7 · 1 0

Utilisation d'une insoleuse à ammoniac avec du papier sensible.

2007-02-05 11:44:02 · answer #6 · answered by Encyclopédie 5 · 0 0

L'appellation bleu d'architecte, ou d'ingénieur, provient de la technique utilisée autrefois pour faire les "tirages" des dessins technique à partir des calques.

Les dessins étaient réalisés sur du papier calque, puis par procédé de reprographie par insolation ils étaient reproduits sur un papier au ferroprussiate qui, après développement, donnait des tirages de couleur bleue.
À noter que pendant longtemps, les tirages se réalisaient sans inversion, le résultat ressortait en négatif, c'est-à-dire que les traits et les inscriptions étaient blancs et que le fond de plan était bleu.

2007-02-04 11:46:00 · answer #7 · answered by Patrick M 7 · 0 1

parce qu'a l'époque les tireuses de plan faisaient la reprographie grâce a une lampe a ultra violet! au départ le papier n'était pas bleu. au contact de l'air le tirage devenait bleu avec le temps par oxydation. ( c'est ce qu'on m'a expliqué! a confirmer)

2007-02-04 10:56:18 · answer #8 · answered by wondernat 4 · 1 3

Les copies de plan se faisait grâce à un procédé employant l'alcool. Les stencyl je crois

2007-02-04 10:54:59 · answer #9 · answered by KOp 3 · 0 2

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