Tiens, Panzer, de retour sur le site, toi et ta propagande raciste!!
Retourne voir ton pote Le Pen et son antisémitisme viscéral et ne nous fait pas prendre des vessies pour des lanternes.
On t'a reconnu!
2007-02-04 03:03:22
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answer #4
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answered by Anonymous
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persona non grata, et je crois qu'il n'est pas besoin d'expliquer pourquoi ?
1. Les condamnations de Le Pen par la Justice
* Pour " Banalisation de crimes contre l’humanité, consentement à l’horrible "
- 18 mars 1991 : Le Pen est condamné par la Cour d'appel de Versailles à verser des dommages et intérêts aux associations anti-antisémites, pour un total supérieur à un million de francs, pour avoir parlé de "détail" ("un détail de l'histoire de la seconde guerre mondiale" ) à l’émission " Le Grand Jury RTL-Le Monde " du 13 septembre 1987 à propos de l'existence des chambres à gaz comme technique d'extermination utilisée par les nazis pendant la deuxième guerre mondiale, les juges estimant que cette déclaration était "intolérable" car banalisant "les persécutions et les souffrances infligées aux juifs et aux tsiganes par les nazis" et qu’il y avait " atteinte très grave au souvenir, au respect et à la compassion dues aux survivants du génocide et de leurs familles ".
- 26 décembre 1997 : condamné par le tribunal de grande instance de Nanterre pour avoir réaffirmé, à Munich le 5 décembre 1997, que les chambres à gaz constituaient " un détail de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale ". Il doit verser des dommages et intérêts, pour un total d’environ 500 000 francs, à onze associations anti-antisémites, avec publication à ses frais (300 000 francs) dans dix quotidiens et six hebdomadaires. Le 6 octobre 1998 le Parlement européen lève l'immunité du président du Front national pour sa déclaration de Munich par 420 voix contre 20 et 6 abstentions.
* Pour " Apologie de crime de guerre "
- 14 janvier 1971: Le Pen est reconnu coupable par la Cour de Cassation d'apologie de crime de guerre pour l'édition d’un disque intitulé Le IIIe Reich. Voix et chants de la Révolution allemande, après une première condamnation par la 17e chambre correctionnelle de Paris, le 18 décembre 1968.
Sur le dos de la pochette du disque, qui contient " L’hymne du parti nazi " et " Vive Hitler ", on peut lire : " La montée vers le pouvoir d’Adolf Hitler et du Parti national-socialiste fut caractérisée par un puissant mouvement de masse, somme toute populaire et démocratique, puisqu’il triompha à la suite de consultations électorales régulières, circonstance généralement oubliée ".
* Pour " Antisémitisme, provocation à la haine raciale "
- 11 mars 1986 : condamné par le tribunal d’Aubervilliers à un franc symbolique de dommages et intérêts pour " antisémitisme insidieux " : A la suite d’un discours à la fête des " bleu blanc rouge ", Le Pen avait indirectement attaqué J.-F. Kahn, J. Daniel, I. Levaï, J.-P.Elkabbach et Mgr Lustiger.
- 16 novembre 1987 : condamné pour " provocation à la haine, la discrimination et la violence raciale " pour un tract diffusé en 1983 pour les élections municipales dans le XXème arrondissement de Paris.
- Condamné par la cour d’appel de Paris du 29 mars 1989 pour " provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence raciale " du fait de ses propos au cours de l’émission " L’Heure de vérité " du 14 février 1984, selon lesquels " le monde islamo-arabe " constitue un " danger mortel ".
- Le 23 mai 1991, la cour d'appel de Lyon confirme l’interdiction de l'affiche du Front national " SIDA : Socialisme, Immigration, Drogue, Affairisme ". Les juges expliquent : " L'utilisation du terme SIDA pour stigmatiser l'immigration qui représenterait un danger aussi grave que la maladie porte une atteinte intolérable à la dignité des malades, qui ont droit au respect et à la solidarité et également une atteinte intolérable à la dignité des populations immigrées". Le Front national est condamné à verser des dommages et intérêts aux associations demanderesses.
* Pour " Injures contre des personnes publiques et insultes "
- 15 novembre 1996 : Le Pen est condamné pour avoir " gravement porté atteinte " à un magistrat, après avoir déclaré : " Un jugement n’est pas la bible ".
- 3 juin 1993 : La Cour d’appel de Paris confirme sa condamnation du 7 mars 1991 pour injure publique envers l’ancien ministre Michel Durafour, à la suite de son jeu de mot " Durafour-crématoire " en 1988.
- 9 septembre 1998 : condamnation de le Pen à un franc symbolique de dommages et intérêts pour avoir présenté une tête en carton à l’effigie de Catherine Trautmann lors d’un meeting du Front National en mai 1997.
- 6 janvier 1997 : Le Pen est condamné par le tribunal de Strasbourg pour avoir qualifié l’association " Ras-le-front " de " mouvement de tueurs de flics ".
- 4 juillet 1997 : il est condamné pour avoir traité Fodé Sylla, président de SOS Racisme, de " gros zébu fou ".
* Pour " Violences physiques "
- 27 avril 1964 : Le Pen est condamné à une amende et à des dommages et intérêts, pour coups et blessures volontaires.
- 16 janvier 1969 : Le Pen est candamné pour coups et blessures volontaires à trois mois d’emprisonnement avec sursis, près de 20 000 francs de dommages et intérêts, par le tribunal de Grande Instance de Paris.
- 2 avril 1998 : condamné en première instance pour " violence en réunion " et " injures publiques " après l’agression de la candidate socialiste Annette Peulvast-Bergeal, lors de la campagne des législatives de 1997 : Jean-Marie Le Pen est condamné à 3 mois de prison avec sursis, 20 000 francs d’amende et deux ans d’inéligibilité, réduits à un an après le jugement de la Cour de Cassation. Son recours devant la Cour européenne des droits de l’homme a été rejeté le 7 juin 2001.
* Pour " Oublis de plus-value boursière et sous-estimation de loyer "
- Jean-Marie Le Pen est condamné le 8 novembre 1995 à un redressement de 1,4 millions de francs. Il a fait appel de cette décision.
2. Les procès perdus de Jean-Marie Le Pen
* Contre l’accusation de provocation au racisme, au nazisme, à l’antisémitisme
- Un arrêt de la cour d’appel d’Amiens du 28 octobre 1985 relaxe les responsables du Courrier Picard poursuivis en diffamation par Le Pen pour l’avoir accusé de constituer " en permanence une incitation au racisme " et " une provocation à l’antisémitisme ou au nazisme ".
- Un arrêt de la cour d’appel de Lyon du 27 mars 1986 relaxe les responsables de la fédération du Parti socialiste poursuivis en diffamation par Le Pen et le FN à la suite d’un communiqué dans lequel ils accusaient l’extrême droite d’incitation à la haine et au racisme.
- Jugement correctionnel du TGI de Toulon du 20 juin 1990, arrêt de la cour d’appel d’Aix-en-Provence du 25 février 1991 (confirmatif) : le tribunal relaxe Roger Hanin et le directeur du journal qui avait publié ses propos. R. Hanin avait notamment déclaré à propos du FN : " ses dirigeants ne sont pas seulement des fascistes mais aussi de véritables nazis ".
* Contre l’accusation de pratique de la torture
- Le 22 juin 1994, la 11e chambre de la cour d'appel de Paris relaxe Michel Rocard, poursuivi par Le Pen pour l'avoir accusé, le 2 février 1992, à 7 sur 7, d'avoir torturé en Algérie. La cour rappelle qu'" en 1957 et dans les années suivantes, Jean-Marie Le Pen avait approuvé et légitimé l'utilisation de la torture en Algérie ", ajoutant que ses propos sur ce qu'il avait ou non personnellement fait " étaient très ambigus ". Le jugement est confirmé par la cour d’appel de Rouen.
2007-02-04 02:53:46
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answer #5
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answered by Anonymous
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Voici un texte que vous ferriez mieux de vous fourrer dans le crâne:
"Toute personne a droit à la liberté d'expression. Ce droit comprend la liberté d'opinion et la liberté de recevoir ou communiquer des informations ou des idées sans qu'il puisse y avoir ingérence d'autorités publiques et sans considération de frontière. Le présent article n'empêche pas les etats de soumettre les entreprises de radiodiffusion, de cinéma ou de télévision à un régime d'autorisations.
L'exercice de ces libertés comportant DES DEVOIRS et des RESPONSABILITES peut être soumis à certaines formalités, conditions, restrictions ou SANCTION PREVUES PAR LA LOI, qui constituent DEs MESURES NECESSAIRES DANS UNE SOCIETE DEMOCRATIQUE, A LA SECURITE NATIONALE? A L4INTEGRITE TERRITORIALE OU A LA SURETE PUBLIQUE, à la défense de l'ordre et à la prévention du crime, à la protection de la santé ou de la MORALE, à la PROTECTION DE LA REPUTATION OU DES DROITS D'AUTRUI, pour empecher la divulgation d'informations confidentielles ou pour garantir l'autorité et l'impartialité du pouvoir judiciaire"
VOTRE LIBERTE D'EXPRESSION S'ARRETE LÀ OU COMMENCE CELLE DES AUTRES!!
2007-02-05 23:13:33
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answer #6
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answered by Dave 5
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