Mon silence t’a-t-il semblé douloureux ? Gentil Fou, je sais bien que non.. :)
Tu m’as seulement laissé sans voix face tes mots.
Mon silence est devenu bruyant à mes oreilles, de ne pas pouvoir t’exprimer cette « raisonnance » qui vit en moi.
Maintenant, tu le sais, tu le sens, je ne suis pas morte.
La mort pourtant à son écho, pour peu qu’on sache l’entendre. La mort n’est que le silence de l’image ; mais les voix sont déjà en toi.
La solitude serait davantage « le bourreau » face à la mort éternelle, silencieuse et discrète qui frappe à ton cœur pour reprendre sa place en sa demeure.
En Gardant tes mains près de ton coeur, tu entendras, vivras, verras et sentiras tout le bien de ceux qui ne sont plus là.
2007-02-05 11:19:35
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answer #1
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answered by Kanaille 3
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Pfff... c'est compliqué et je ne suis pas tout à fait en état de "philosopher" (viens de me casser le nez et j attends le medecin!) ms, ca m aide a oublier la douleur alors, allons-y! Je ne sais pas! Ce qui est sûr c'est que le silence est la conséquence d un acte volontaire, contrairement à la mort qui elle, est implacable. La mort nous dépasse. Le silence, c'est l inertie... et contre l inertie... c'est bien connu! Maintenant dire que le silence soit plus douloureux que la mort, c est aller un peu vite je pense! S il y a "silence", il y a vie... Et s'il y a vie, ce n est pas une fin en soi! Or, la mort est irrémédiable... Alors si supporter le silence est douloureux, supporter la mort l'est autant avec, de plus, la révolte de l'impuissance! Dans un cas comme dans l autre il y a un travail de deuil à faire, c'est sûr... Bon courage, si ça te concerne de près! ;)
2007-02-01 10:14:59
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answer #2
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answered by Anonymous
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Sans doute lorsqu'il s'agit d'un silence fait de mépris, d'abandon, de rejet, d'indifférence...
2007-02-05 23:54:19
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answer #3
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answered by Walter 3
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Oui , comme les demi mensonges .. plus dangereuse que les mensonges...
2007-02-05 23:15:29
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answer #4
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answered by nakedmind 4
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La Mort sera le retour à l'Indolore: douleur décroissante
Le Silence est une perte de Présence: douleur croissante
2007-02-02 08:21:31
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answer #5
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answered by zéphyr 5
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Bonjour tendre poète....
As-tu déjà entendu le silence? Tend l'oreille, ferme les yeux, il te chuchotera tes pensées les plus intimes.. Il te caressera l'ouïe, et fera danser ton imagination.. Le silence est un son.. Un tendre son provenant de l'abyme, qui fait surgir en nous les rêves et les espoirs en temps normal oubliés.. Le silence est nu fatalement: il ne cache rien, il se fait ami à notre solitude, et fait naitre en nous un sentiment de plénitude. Le silence est témoin d'une rencontre, lorsque deux regards se croisent, mais des mots ne peuvent se former. Le silence porte les regards, et les transforment en language silencieux.
La mort n'est connu que des défunts. Comment la définir sans la sentir au fond de soi?.. Comment lui attribuée la souffrance alors qu'elle n'est pour l'instant que fatalité?...Ce n'est peut être pas la mort qui est souffrance, mais l'instant qui précède la mort..
Le silence se veut sauvage, mais il peut se faire ami si l'on prend le temps de l'écouter..
La mort est inconnue, et l'on ne sait quelle sort elle nous réserve..
Je t'embrasse fort :-><
2007-02-02 04:32:48
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answer #6
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answered by ♥Funny♥ ♥(^_^)♥ ♥.·:*¨¨*:·.♥ 4
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se taire ces pouvoir parler ,etre mort (en terme commun)c est se taire à jamais
2007-02-01 10:16:05
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answer #7
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answered by marge 4
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Le silence éternel de ces noirs espaces infinis m'effraie.
2007-02-01 10:11:48
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answer #8
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answered by petrvss 6
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La mort est bien plus douloureuse car le silence qu'elle impose restera définitif, figé dans l'éternité. Quant au silence proprement dit, il n'est pas irrémédiable puisqu'il fait partie de la vie, il sera toujours possible de retrouver la parole... Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir...
2007-02-05 09:18:39
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answer #9
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answered by Anonymous
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Réponse prosaïque? Dans la mort on est forcément silencieux, mais il y a encore quelque chose de plus: l'infinité de ce silence. Or le silence n'est que silence. Donc la mort est pire.
Maintenant, l'intentionnalité supposé du silence (qu'il n'y a pas dans la mort, puisqu'on ne la choisit pas), le charge d'une connotation plus affective, plus essentialiste, plus affective. Ce qui la rend pire que la mort prise comme simple fait biologique (cessation de la vie).
2007-02-01 19:12:14
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answer #10
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answered by Gally Léo 5
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