Il faut comprendre dans quel état psychologique
celui-ci est, le met tout à coup en effervescence
corps et âme dans ses oeuvres
artistiques, chacune d' entre-elles
jusqu' à l' extase finale.
Extase finale:-"Repos de l' âme, assouvissement accompli."
La réalisation de cette production soudaine
est un besoin imminent, façon d' exorciser
ce trop plein de cet être renfermé et solitaire.
Il disséque son coeur en son âme.
Se met en travers du temps et en transe
pour exulter ses états d' âmes, incompris
d' une sociétè qui ne peut rien pour lui,
hormis l' amour et cet art, telle une bouffée d' oxygène.
Une photo à elle-seule parle autant
qu' une belle peinture.
Le peintre lui, s' exprime au travers
de sa palette et conjugue les couleurs
en y mettant toute son âme:
-"un amour déçu, un cri, une nuit étoilée,
une perte et autres."
Ceux sont des âmes qui ne savent
mettre de mots à leurs douleurs,
qu' elles soient de haines ou d' amours.
Ils sont pudiques et ne dévoilent jamais en totalité
l' état pur de leurs sentiments profonds.
Telle une carte au trésor, ou une énigme à résoudre.
Ils sont malicieux, pleins de ressources spirituelles
qu' ils font valoir par ce don reçu dès leur plus jeune âge.
Ils ont besoin de retenir l' instant présent, le souffle d'une vie,
une émotion intense, dont ils se nourriront jusqu' à
qu' celle-ci se meurt bref...........jusqu' à la prochaine.
Ils se détruisent inconsciement,
ainsi sans cesse se reconstruisent,
ou tombent dans la folie.
Si le peintre pouvait chanter l' amour, il ne le peindrait pas.
Mais nous saoulerait d' une unique rengaine.............jusqu' à
l' extase finale.
Le pire dans tout cela, serait de perdre l' amour,
l' amour ou va puiser cet être fragile:-"son inspiration."
Il en mourrait.
Bon, je saoule peut-être............et ma réponse finit par s' égarer,
comme d' habitude. Milles excuses.
2007-02-01 09:29:40
·
answer #1
·
answered by ... 5
·
0⤊
0⤋
Un peintre à l'oeuvre y met son âme mais plus il approche de la fin de son tableau et moins celui-ci lui appartient. Tel un enfant le tableau prend son envol, son maître ne s'y reconnais plus et c'est sans doute pour celà que tous les peintres de génie sont insatisfait de leur oeuvre. Une fois celle -ci achevée elle ne leur appartient plus elle appartient au public, à l'acheteur, au mur qu'elle orne...elle a gagné son indépendance...seule la signature du peintre donne sa lignée, sa provenance. Elle fait partie d'une famille, d'un style, d'un courant pictural, d'une période de l'artiste mais elle a sa propre existence encensée sur les murs d'un musée ou abandonnée dans une modeste brocante...
Personnellement j'inverserais la phrase de Nietzche qui parlait de grande peinture et de grands peintre: il faut comprendre l'image pour deviner le peintre...
2007-02-02 01:58:48
·
answer #2
·
answered by Yyyyyy 5
·
1⤊
0⤋
c'est le rapport du créateur avec sa création, qui va de l'attachement total au détachement complet...
2007-02-01 12:08:31
·
answer #3
·
answered by maricimaraj 7
·
1⤊
0⤋
c'est son ame ...
2007-02-01 00:24:50
·
answer #4
·
answered by Anonymous
·
1⤊
0⤋
Je dirais que c'est certainement le rapport du créateur à la chose créée.
Ou de l'amoureux à l'amour.
Une toile nue, c'est une vie en devenir.
Une oeuvre, qu'elle soit picturale ou littéraire, n'est jamais vraiment achevée.
Signer une toile,c'est comme écrire le mot "fin" : ressentir le vide de ce qu'on n'a pas su exprimer et qui reste en vous, réclamant le droit d'exister.
2007-02-01 09:33:06
·
answer #5
·
answered by anne k 5
·
0⤊
0⤋
c'est un échange , main droit.. main gauche.. soulagement ... admiration...
2007-02-01 08:47:46
·
answer #6
·
answered by nakedmind 4
·
0⤊
0⤋
De tt façon il y a toujours une intense émotion...
2007-02-01 02:43:24
·
answer #7
·
answered by exbiker 7
·
0⤊
0⤋
Si le sujet t'intéresse lit L'OEuvre de Zola.
2007-02-01 02:39:03
·
answer #8
·
answered by ? 5
·
0⤊
0⤋
amas d'informations de l'état d'âme et d'esprit du peintre
2007-02-01 02:13:06
·
answer #9
·
answered by Sirius 5
·
0⤊
0⤋
Je ne sais pas ce qui règne dans l’atmosphère des tableaux de Jorge Hernandez (Huelva, 1972) et qui le transforme en un peintre de nostalgie, regret ou mélancolie. Peut-être, contradiction permanente, par l’insolente joie avec laquelle il affronte le pari de la vie à partir d’un festin musical de couleurs et d’images avec une suffocante ardeur juvénile. Dans ce retour et dans cette douleur, la mémoire ou le vide la solitude est combattu avec fraîcheur, insolence et divertissement. La joie, souvent, n’est guère éloignée de la tristesse. Dans la lutte, il vainc dans ce cas, la solution de Hernandez, en nous donnant une peinture avec facteur de surprise, leçon avec quelque chose de tendresse, pudeur et rédemption.
2007-02-01 00:25:26
·
answer #10
·
answered by ? 7
·
0⤊
0⤋