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En tenant compte de tous ses aspects:
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- pauvreté,
- services publics, ...

2007-01-30 21:34:48 · 14 réponses · demandé par Anonymous dans Politique et gouvernement Élections

Duffy:
Vous critiquez les services publics français. Mais connaissez vous l'état des services publics britaniques? En particulier le système de santé et l'école. Quant aux services de transport, qui n'est plus public, vous ne le partiquez visiblement pas tous les jours.

2007-01-30 21:50:53 · update #1

14 réponses

Si on l'applique en France , ce ne sera plus le modéle Britanique.

2007-01-30 21:38:34 · answer #1 · answered by Saint Just 4 · 3 2

1. Autant il n'est pas désonhorant, voire intelligent de s'emprunter des "formules" de nos voisns et autres
2. Autant il convient de les adapter, du moins pour certains paramètres au contexte français

2007-01-31 05:40:25 · answer #2 · answered by Anonymous · 4 0

Moi je suis d'accord pour trouver un modele francais... que l'on s'inspire des autres c'est tres bien, mais on est aussi different donc il faudra adapter.
Et puis je considere qu'il est grand temps de changer les choses... pourquoi pas essayer le modele britannique, cela ne sera pas pire que le model actuel... UN PEU DE CHANGEMENT SVP!

2007-01-31 05:42:23 · answer #3 · answered by Tom 2 · 3 0

Toujours est-il pas sur un plan culinaire.

2007-01-31 05:57:58 · answer #4 · answered by TientTient? 2 · 1 0

Et pk pas le modèle danois...
Je pense qu'il serait difficile de le laisser tel quel, sans l'adapter à la realité et aux "particularités" de la société française.
D'accord !! cela demande une adhesion du "plus grand nombre". Qui sera le garant (garante) du respect de cette déclinaison de modèle ?
S'informer et débattre.

2007-01-31 05:57:34 · answer #5 · answered by michel g 5 · 1 0

je ne suis pas sure de ce que tu appelle "modèle brit " mais pour y avoir vécu un temps, il est certain qu'on pourrait copier certaines parties de leur mode de vie ....

Ceci dit Jeanne d'arc risque de se retourner dans sa tombe pour le coup !

2007-01-31 05:51:49 · answer #6 · answered by webwixen 4 · 1 0

Rien de tel pour bien peser la France d'aujourd'hui à son juste poids que de la comparer à ses deux grands voisins historiques : l'Angleterre et l'Allemagne. Une telle comparaison a ses limites : nos ciels et nos terres, nos moeurs, notre art de vivre ne se mesurent ni ne se comparent dans un impossible « bonheur national brut ». En revanche, la richesse nationale, la balance commerciale, la production industrielle, la dette publique, l'inflation, la croissance autorisent des mesures fiables. Celles-là, on peut, on doit les connaître.

Toutes ou presque nous disent que, depuis vingt-cinq ans, la France se fait, disons, « distancer ». Que, par exemple, le produit intérieur brut anglais, qui était, en 1980, inférieur de plus de 25 % au nôtre, lui est, aujourd'hui, de 10 % supérieur. Que l'Allemagne, longtemps encalminée, cingle à nouveau toutes voiles dehors. Il n'y a point d'obsession maniaque à décliner ce déclin relatif. Et il y a faute à le dissimuler. D'autant que, dans le dernier demi-siècle, l'Angleterre et l'Allemagne ont connu à des degrés divers, et comme nous aujourd'hui, une très mauvaise passe. Elles s'en sont sorties. Comment ? Ce ne devrait pas être, pour les candidats présidentiels, une question oiseuse.

Peu de Français se représentent aujourd'hui l'état de l'Angleterre des années 70. Vingt-cinq ans après la guerre et son magnifique héroïsme, l'Angleterre - assommée par un socialisme laxiste qui vidait les caisses - était sur le flanc. Le lion britannique flapi, étouffé par un délire syndical (en 1979, quinze grèves et 100 000 journées de travail perdues), par des nationalisations stériles et la glu bureaucratique. Au bout de ce tunnel : la récession ! Ce qui s'est alors passé, vous le savez : c'est la venue au pouvoir d'une fille d'épicier à poigne de fer, Margaret Thatcher. En refusant de céder à une interminable grève des mineurs, elle a cassé l'abus syndical. Et engagé une révolution conservatrice. Réduction des dépenses publiques, privatisations et baisse d'impôts : le taux maximum d'imposition, qui fut de 83 %, y est ramené à 40 %.

Cette violente réaction n'aurait pas, à elle seule, remis le malade sur pied sans un second miracle : le socialiste Blair se gardera de larguer l'essentiel des réformes Thatcher. Il les humanise, réanime les services publics, installe un salaire minimum horaire. Son New Labour, son néotravaillisme, relance la machine sociale sans la laisser s'empâter à nouveau. Les prélèvements obligatoires sont, aujourd'hui, de 10 points inférieurs aux nôtres.

Résultat : l'Angleterre vogue désormais avec une croissance moyenne de 2,9 % ; son inflation est maîtrisée ; son taux de chômage, qui fut jadis de plus de 10 %, est retombé à 4,6 %. Tous les pays d'Europe (sauf la France) vont peu ou prou, et chacun à sa manière, emprunter la voie blairiste. Tandis que le vieux socialisme français continue de la diaboliser en l'accusant d'« appauvrir les pauvres », on constate qu'il y a, en Angleterre, deux fois moins de SDF qu'il y a dix ans...

L'Allemagne, qui fut avant la France, et plutôt plus que la France, abrutie par les drogues de l'Etat-providence, n'a pas vécu une révolution aussi intense et dramatique. Mais son réformisme plus récent a bel et bien engagé un virage déterminant dans une semblable direction. C'est le socialiste Schröder qui l'a engagé. Non sans courage, il a bousculé quelques grands tabous d' avantages acquis (aujourd'hui, l'Allemagne recule l'âge de la retraite de 65 à 67 ans). Le miracle aussi, ce fut qu'à petits pas réguliers la coalition droite-gauche, sous la direction réaliste et ferme d'Angela Merkel, aura poursuivi et parfois amplifié les réformes, fussent-elles impopulaires comme l'accroissement de la TVA.

Résultat, une grande nation engourdie (avec l'excuse d'une ruineuse réunification) repart désormais du bon pied avec une croissance rétablie et des exportations faramineuses.

De ces leçons d'histoire nul ne conclura, bien sûr, qu'il est aisé, voire avisé, pour la France de prétendre reproduire à l'identique les cures anglaise et allemande, d'ailleurs dissemblables. Mais on retiendra qu'aucun traitement ne fut - et ne sera - possible tant que la vérité n'est pas connue et répandue. Aujourd'hui, notre essoufflement national est caché par le mensonge et l'endettement : les parents dépensent, les enfants trinqueront. C'est ce que démontrent, dans une insolite communication de l'Institut, deux anciens Premiers ministres (1). Pierre Messmer et Raymond Barre, peu suspects de rabouillage électoral, acquiescent à ce verdict : au train qui est actuellement le sien, les risques pour la France sont majeurs.

(Larges extraits de l'édito de Claude Imbert, Lepoint.fr)

2007-01-31 05:45:05 · answer #7 · answered by Anonymous · 1 0

Le modèle britannique n'est pas un modèle, c'est une illusion... on ne parle que des points positifs ou estimés tels dans les médias (productivité, niveau de vie, PIB, taux de chômage, flexibilité), mais on ne mentionne jamais les aspects négatifs (inégalités criantes, pauvreté supérieure à la France, précarité, zones industrielles sinistrées, banlieues délaissées, transports onéreux et peu surs, système de santé en faillite, retraites misérables...etc...).

La meilleure preuve est que les anglais en revienent eux même de ce soi-disant système fabuleux : ils débarquent en france pour le niveau de vie, et il y a des charters réguliers affrétés pour permettre à beaucoup de venir se faire soigner en France).

2007-01-31 05:44:09 · answer #8 · answered by Bâtard Bol Misputh 6 · 3 2

manque on à ce point d'imagination qu'il nous faille "emprunter" aux autres des modèles qui peut-être fonctionnent dans certains contextes mais seraient probablement catastrophiques en France.. il y a déjà un modèle français et si il ne se porte pas très bien c'est parce que un nombre grandissant de français a renonce à le promouvoir, le défendre...
Un modèle anglais?? parce qu'il y a un modèle anglais?? je dirai une absence de modéle qui a fini par s'adapter à merveille à la dé régularisation généralisée..combien de britanniques "sur le carreau"??

2007-01-31 06:06:48 · answer #9 · answered by lebomina 5 · 0 0

bien sur. certes il n'est pas parfait mais je pense qu'il faudrait l'adapter à la france ou du moins s'en inspirer

2007-01-31 05:49:57 · answer #10 · answered by Anonymous · 1 1

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