Je dirais au palestinien ce qu'un juif a déja dit aux palestiniens..
Nous sommes tous du même père et de la même mère.
Aimez-vous les uns les autres, aimez-vous comme vous aimez dieu.
Tu ne dois pas tuer.
Tu dois aider ton semblable, tu de dois pas faire le mal et ne pas faire à ton frère ce que tu ne voudrais pas qu'il te fasses...
Et au juif je dirai la même chose.
Et au deux je dirai :
Il y avait un boulanger et un paysan.
Le paysan cueillait les olives et buvait le lait de sa chèvre.
Le boulanger n'avait rien d'autre que son savoir faire de boulanger, avec quelques pierres, il avait monté un semblant de four, mais il n'avait pas de bois, car la terre et le bois appartenaient au paysan, et il n'avait pas de farine, car le paysan ne cultivait pas de blé.
Le boulanger haîssait le paysan, et le paysan ne souhaitait que la mort du boulanger.
Un jour, un vieux mendiant vint à passer.
Impossible de lui donner un âge, il semblait aussi vieux que les pierres du chemin.
Il alla chez le boulanger demander un quignon de pain dur qu'il laisserait s'imprégner, à la nuit, de l'eau de la rosée.
"malheureusement, je n'ai pas de pain, de la faute à ce paysan de malheur" dit le boulanger en racontant son histoire...
Le vieux alla donc chez le paysan et lui demanda un peu de pain dur "malheureusement, je n'en ai pas de la faute à ce boulanger" dit le paysan.
Pour apaiser, le vieux demanda simplement s'il pouvait dormir, le paysan accepta.
Dès que le paysan fut endormi, le vieux jeta une poussière de graînes sur le champ du paysan...Avec la lune, les graînes lévèrent, et à la rosée du matin, les épis se mirent à se gonfler, le premier soleil les dora, comme la peau d'une fille du pays.
Le paysan n'en crut pas ses yeux ! il pensa à un maléfice et voulait faire brûler cette récolte qui ne pouvait être que diabolique !
"permets-moi, fit le vieux, de prendre ces herbes et ces graînes". I
l les prit et partit...pour aller chez le boulanger.
Devant celui-ci qui s'interrogeait, il écrasa les graînes et dit
"boulanger, avec la paille, chauffe ton four et cuit un pain avec la farine...", bien qu'il n'y ait eu que peu de farine, le boulanger put faire trois gros pains. Dorés et odorants, ils se reflétaient dans le ciel.
Le vieux dit :
"voilà, un pain pour toi, un pain pour moi, et le 3ème pain est pour le paysan, tu lui porteras de ma part, en paiement de la location de son terrain".
Le paysan accueillit le boulanger avec la plus grande méfiance, prêt à le tuer au moindre geste.
Mais l'odeur du pain chaud était telle, une odeur de miel et d'amandes grillées, qu'il ne put résister à prendre le pain et à le goûter.
Sa femme et ses enfants, partis se cacher à l'approche du boulanger, sortirent et goûtèrent à leur tour, leur esprit, à tous, s'emplit d'un bonheur qu'ils n'avaient jamais connu, il leur semblait qu'is avaient mangé des fleurs odorantes sur un rayon de soleil du matin.
Le vieux s'approcha et dit :
"je dois vous apprendre que, alors que vous vouliez vous enter-tuer, vous étes du même sang : il ya longtemps, j'étais encore jeune, vivait ici un homme qui avait deux fils. L'un partit à l'aventure, alors que l'autre resta dans la maison. Puis les générations passèrent, et des deux côtés, on oublia son ancètre".
"Vous ètes les héritiers du même homme".
"Alors, vous voilà amenés à vivre dans le même pays, toi le paysan, tu sèmeras les graînes que je vais te laisser, tu les récolteras, tu iras les vendras au boulanger qui les moudras et en feras du pain et des gâteaux qu'il vendra aux voisins".
Ainsi fut-il. Bientôt, les deux furent prospères, car le paysan avait appris à faire une bonne récolte, et le pain du boulanger faisait venir les gens de nombres lieues à la ronde.
Pendant ce temps, le vieux qui était resté quelques jours, profita d'un vol d'étourneaux migrateurs pour s'envoler avec eux dans les nuages, et nul ne le revit plus.
Ne méprisons pas celui qui vient, d'où qu'il vienne, il est comme nous de sang humain, du même père et de la même mère. En s'associant à lui, nous apprendrons à le connaître et unis, nous pourrons mieux prospérer.
amen.
2007-01-30 03:49:35
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answer #1
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answered by rolli 7
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a l'enfant juif, qu'il l'a échappe belle, grâce a l'europe.
a l'enfant Palestinien, qu'il n'a aucune chance contre l'hypocrisie de l'europe.
eau de rose? aoromathérapie, fleurs au cimetière, on stop les violons.......
2007-01-30 03:21:51
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answer #11
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answered by bijou 6
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