pour être dépassé, il faut un jour avoir été à la hauteur et je ne me rappelle pas de quel jour cela été le cas, lol.
2007-01-29 08:32:43
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answer #1
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answered by Anonymous
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Oui je pense que les politiques ont beaucoup moins de pouvoir qu'ils ne veulent bien le faire croire. Ils prétendent résoudre tous les problèmes une fois élus mais ils n'en n'ont pas toujours la possibilité, et ce n'est pas seulement par manque d'idée mais plutôt par manque de marge de manoeuvre. Certains phénomènes sont inévitables dans une société, comme la délinquance ou le chômage par exemple : on ne peut pas les éradiquer totalement. De plus, les politiques ne maîtrisent pas tous les paramètres (météo, démographie, marché, ...). Qu'ils essayent déjà ne pas agraver les problèmes existants en sortant des mesures absurdes et ce sera déjà pas mal.
2007-01-29 16:33:09
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answer #2
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answered by lottie14 5
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Entre chaque élection, nos « responsables » politiques ont plusieurs années pour mettre fin au chômage, à la précarité, à la pauvreté, à l’insécurité ou à la pénurie de logements. Pourtant, au cours du 20ème siècle, tous les gouvernements de toutes tendances se sont engagés à « résoudre » ces problèmes… sans jamais y parvenir.
Bien sûr, lors de chaque reprise économique, l’amélioration de la situation de l’emploi peut amener les salariés à penser qu’ils ont choisi le bon candidat aux dernières élections. Mais cette illusion ne dure que le temps… de la reprise économique, justement. Pense-t-on sérieusement que si un gouvernement quelconque n’avait trouvé la méthode lui permettant d’éliminer les problèmes une fois pour toutes, il ne serait trop content de l’appliquer, ne serait-ce que pour s’assurer la victoire aux élections suivantes ?
Le caractère récurrent, mais aussi planétaire, de nos problèmes met en lumière le fait qu’ils font partie intégrante du système social qui s’étend sur le monde – le capitalisme – et que les gouvernements, pas même ceux des pays les plus puissants, ne sont ni à l’origine de ces problèmes ni capables de les résoudre.
La raison en est bien simple : les entreprises et les richesses naturelles sont monopolisées par une petite partie de la population – la classe capitaliste – au profit exclusif de laquelle elles sont inévitablement gérées. Et ce que signifie la propriété privée des moyens d’existence de la société par la petite minorité capitaliste, c’est que les entreprises capitalistes produisent des biens et des services, non dans le but de satisfaire les besoins individuels et collectifs (ils ne peuvent pas être satisfaits dans le cadre de ce système !) des membres de la société, mais dans le but de satisfaire les seuls besoins rentables, c’est-à -dire les besoins des seuls consommateurs qui sont susceptibles de rapporter un profit à la minorité possédante.
Or, aucune réforme quelle qu’elle soit ne remet en cause l’appropriation des moyens d’existence de la société par cette minorité dominante et parasite ; aucune réforme ne le pourrait d’ailleurs pas puisqu’elle serait aussitôt sanctionnée par une vague de délocalisations.
De toute évidence, le capitalisme est un système qui, par définition, ne peut fonctionner que dans l’intérêt des capitalistes ; il nous démontre d’ailleurs tous les jours qu’il ne peut apporter aux salariés le bien être et la tranquillité, si l’on exclue la fameuse parenthèse (d’ailleurs bien refermée) des « Trente Glorieuses », qui ne furent, ne l’oublions pas, ni trente ni glorieuses pour tout le monde. D’ailleurs, qui osera prétendre que nous vivons dans le meilleur des mondes possibles ? Qui rêve de léguer à ses enfants un monde où règnent l’inégalité, la précarité, la violence, le chômage ou, pour ceux qui ont la « chance » d’avoir un emploi, la menace permanente de se retrouver sans travail ? Qui encore peut ignorer les millions de victimes annuelles de la famine et des guerres, faisant, d’ailleurs, du capitalisme le plus criminel des régimes ?
Instruits des erreurs passées, et soucieux de ne pas les reproduire, les socialistes refusent de tomber dans l’utopie réformiste et proposent donc, comme seule solution réaliste et immédiate, l’instauration de la propriété sociale (d’où le nom de socialisme) des moyens d’existence de la société, de manière à assurer leur gestion par (et, donc, dans l’intérêt de) la collectivité tout entière.
2007-01-29 16:32:25
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answer #3
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answered by b@st@ 4
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Une fois au pouvoir, la situation de la France a des priorités donc les idées politiques n auront plus d importance; le nouveau gouvernement devra prendre des décisions d urgence
2007-01-29 16:27:13
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answer #4
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answered by vegas95 5
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De toute façon c'est l'europe qui décide des grandes lignes
Nos politiques vont plutôt devenir des gouverneurs de province
que des décideurs.
2007-01-29 16:34:45
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answer #5
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answered by pif paf 2
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comme toujours, la France est en attente d'un "homme providentiel"... En moyenne, il y a en à un par siècle, le dernier en date étant De Gaulle. Et vu les clients en présence lors du prochain scrutin présidentielles, ce n'est pas encore cette fois qu'on pourra trouver notre nouveau De Gaulle. Pour vraiment peser sur le évènements, il faut être un "Homme d'Etat" et pas seulement un homme politique.
2007-01-29 16:31:52
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answer #6
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answered by Anonymous
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clair ils ont 50 ans de retard...
Meme aux etats unis
les americains se moquent de GBUSH
qui ne connait rien a internet
et qui dit toujours InternetS avec un S....
Je pense que le probleme reside dans l origine de L homme
si nous venons d une autre planete...
ou si nous sommes le hasard du fruit de l evolution...
dans le premier cas...il faut continuer d avancer..et on doit bien pouvoir sortir de la merde dans laquel on est...
dans le deuxieme cas..eh bien ...on est voue au communisme.internationale et a une existante larvaire...
2007-01-29 16:31:07
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answer #7
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answered by saarkostricht 3
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Tu as un peu raison, ils ont des idées (que j'approuve ou pas) mais ils sont dans l'impossibilite de trouver le début du commencement de leur mise en oeuvre. Soit parce qu'ils sont trop loin des réalités quotidiennes, soit parce qu'ils on peur de bousculer l'ordre qui les a établi dans leurs fonctions.
2007-01-29 16:29:02
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answer #8
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answered by Anonymous
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oui je suis complètement de ton avis, aucun d'eux ne donne un vrai programme, à croire que l'on vote par dépit et non par conviction, mais que veux-tu il faut bien en choisir un !
2007-01-29 16:27:56
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answer #9
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answered by - 3
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Aucun n'a vraiment la solution, il faudrait un mix de tout.
Chaque partie a de bonnes idées mais pas que des bonnes, hélas.
2007-01-29 16:27:03
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answer #10
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answered by raleuse64 3
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