Je ne compte pas le nombre de fois ou on m a repeté que souffrir forge le caractere.Je parle autant des petites fessees donnees par les maîtresses a l ecole ,de punition meritee que d incidents dramatiques:mort tragique d un parent , abandon, maltraitance de toutes sortes.Apres tout la douleur c est une affaire bien subjective ce qui me blesse ne blesse pas forcement un autre.La souffrance est l ecole de la vie , enfin il parait et bien , si il faut être traumatise pour mieux la vivre , je m en passe largement.
Non tu exageres ce n est pas de ce genre de souffrance dont on parle , mais desquelles alors ?Pour moi souffrance=souffrance.
Enfin de compte nous sommes plus ou moins traumatises par ces experiences douloureuses du passé, du present qui conditionnent inconsciemment notre facon d être .Dans ce cas personne ne peut se prevaloir d être mentalement ok , il y a toujours au fond , bien enfouis en nous des souvenirs douloureux, qui nous hantent a notre insu. Qu en pensez -vouS
2007-01-27
10:41:05
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9 réponses
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demandé par
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4
dans
Sciences sociales
➔ Psychologie
Tout vécu, douloureux ou agréable forge notre expérience. Le douloureux ne m'apparaît pas plus formateur.
En plus, on se remet très difficilement de certaines épreuves, et parfois on ne les surmonte pas.
2007-01-27 11:06:33
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answer #1
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answered by Anonymous
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La souffrance n'existerait pas si nous n'avions pas le pouvoir de la rendre réelle !
A partir de n'importe quel fait, nous avons le choix soit de relativiser, soit de souffrir ! comme tu l'explique si bien la douleur est "subjective' et ce qui blesse les uns n'affecte aucunement le autres ! Tu as donc la réponse dans cette phrase !
Bien sûr que tous les évènements de notre vie peuvent devenir souffrance et traumatisme mais il serait cependant faux de penser que cela est "inévitable" et encore moins que cela "forge le caractère" !!
Prendre du recul afin d'appréhender une souffrance et de la canaliser jusqu'à la transformer en "souvenir désagréable" est à mon avis beaucoup plus soft et ce sont "ces expériences" qui nous apporterons la maturité (ce que nous appelons l'expérience de la vie)!
La progression serait donc celle ci :
- Evènement = Analyse =Relativisation et dédramatisation = Adaptation à nos propres émotions et sentiments selon notre seuil de tolérance à la douleur= jugement objectif de la situation = expérience et souvenir désagréable !
Dans ce cheminement nous évitons d'aller jusqu'à la souffrance et la douleur !!
2007-01-31 18:40:41
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answer #2
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answered by monicklhay94 7
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tu as mis le doigts d une realite de la quelle je suis nee. je pourrais ecrire un roman ,et decrire certaines atrocites d un vecu . mais je n ai pas eu envie de vivre dans la haine, la frustration,je voulais connaitre , au fond de moi ,si je pouvais inversser le sense de ma vie , et lui donner le sense d aimer et d etre aimee .de me battre pour mettre l evidence d un coeur nourri d amour, et qui vis pour en donner . ce fut le plus beau combat que j ai mener,je suis parvenue a liberer ma douleur et la transformer en un brin d espoir . je me suis apprivoisee de la douceur dans le pardon , et depuis ,meme si il me reste les cicatrices, d un passe , je vis dans un present ,ou mon corp est toujours aussi atteint dans sa sante ,mais mon esprit est aussi libre,que l oiseau qui danse dans la vie. un jour je m abandonnerais dans les ailes du silence se sera mon dernier combat mais au moins j aurais trouve la paix et je pourrais rejoindre cet oiseau qui ma delivrer.
2007-01-29 03:35:34
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answer #3
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answered by Anonymous
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La souffrance ça peut servir mais point trop n'en faut, c'est étrange mais on apprécie jamais autant le bonheur qu'après une souffrance, bon après c'est dimanche et j'ai la flemme de faire une dissertation ce serait trop une souffrance pour moi, bises Ladykiki (déesse Bastet)
2007-01-27 20:52:32
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answer #4
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answered by Hector ® 6
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pour moi souffrir c'est souffrir. Quand on a mal d'avoir perdu un etre cher: une maman cherie par exemple, peut importe le moment, notre vie a toujours l'impression d'avoir ete empoisonée . Pour moi la question n'est pas de savoir s'il y'a des bonnes ou des mauvaises souffrances? Puisque dans tous les cas il y'a douleur. J e pense simplement qu'il y'a des degres de souffrances. aussi, si nous consevons la souffrance comme un mal, il faut dire que le mal en soi n'est qu'une vue de l'esprit et n'a de sens qu'en rapport avec le bien. Je voudrais donc penser stoique: abstiens toi et supportes
2015-05-24 00:25:30
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answer #5
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answered by ERIC DJOUATSA 1
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Nous avons tous connu des souffrances grandes ou petites, selon les circonstances. Certains les encaissent et se relèvent, d'autres les vivent mal et ne s'en remettent pas. Le parcours de la vie est parsemé d'évènements que parfois nous n'avons aucune possibilité de changer ou éviter, nous assumons.Il faut savoir affronter, accepter, et apprendre pour aller de l'avant et ne pas infliger ce même mal à autrui
2007-02-04 03:39:49
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answer #6
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answered by Ferida B 2
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la souffrance psychique quand elle atteind ce stade necessite l'intervention d'un thérapeute qui saura identifier vos souffrance et les remettre en perspective par rapport à votre histoire de vie
2007-02-04 00:18:41
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answer #7
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answered by Hades et Persephone 7
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La souffrance , on ne la choisit pas (ou alors ...) mais si on en meurt pas , si on arrive à assumer , résoudre le problème etc..., elle nous fait grandir, être plus humain et plus capable de comprendre la souffrance des autres .
J'ai entendu tellement d'inepties de gens qui n'avaient rien vécu de dur : il faut que ...tu 'as qu'à ....tu devrais ....
Mais ne crois pas que je dise qu'il faut la rechercher .Je m'en passerai bien aussi .
Et surtout , chacun a un ressenti différend : la souffrance ressentie n'est pas égale d'une personne à l'autre .
La vie est injuste (comme la mort ) .
2007-01-27 23:11:00
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answer #8
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answered by Amanda 33 7
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Au XVIIIème siecle, les phylosophes disaient que l'enfant n'était qu'un adulte non fini et qu'il fallait qu'il souffre pour le devenir et la notion de maltraitance n'existait pas.
Heureusement, les mentalités ont évolués, et maintenant nous savons que la souffrance détruit plus qu'elle ne construit. Il est néanmoins important de se souvenir de nos souffrances afin de se forger un caractère mais aussi, ne pas les infliger aux gens qu'on aime.
Mais comme tout le monde n'a pas évolué positivement, il existe des personnes qui ont besoins de faire souffrir pour simplement avoir la preuve de leur existence, ou pire, se sentir bien, mais là, c'est psychiatrique.
2007-01-27 11:35:39
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answer #9
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answered by tournesol 5
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